vendredi 13 janvier 2012

Dimitri (4ème partie)

Nous passâmes le reste de la semaine à Lyon. Dimitri et Yvan se montraient toujours durs avec moi et je devais être sexuellement à leur disposition à tout moment. Je recevais des gifles sans arrêt, des coups de pieds, j'étais menotté souvent. Je n'avais pas le droit de m'habiller. Si j'avais un peu froid, un caleçon et un tee shirt seuls étaient tolérés. Une fois, ils m'envoyaèrent faire une course et simulèrent un viol dès que je rentrais. 
La semaine passa et, malgré les brimades, les traces des coups que m'avaient infligés Zlavko, Dimitri et Yvan commençaient à s'estomper. Le vendredi arriva le jour de mon anniversaire. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi Yvan n'avait pas encore fait visiter les clubs gays et les saunas à son ami. Je supposais qu'il y était allé seul pendant les moments de la journée où il n'était pas à la maison. Dimitri m'offrit un tee shirt très moulant et Yvan un bracelet-manchette en platine. Je ne porte jamais de bijoux mais cette espèce de menotte allait rester à mon poignet des années durant. Nous dinâmes de manière frugale et Yvan commença à proposer quelque chose :
- Ce soir, on pourrait aller au Motor Men Bar. C'est un bar cuir et SM avec une backroom.
Dimitri me regarda :
- Et on l'emmène ?
- Oui c'est son anniversaire. En plus j'ai un peu prévu, j'ai demandé au barman qui est un copain de lui trouver un beau partenaire. On le regardera déjà se faire sauter et après on verra ce qu'on fait de lui. 
Je n'aimais pas vraiment la tournure que prenaient les évènements. Lorsque mon Maître avait ce sourire, je savais que j'allais être humilié. Je connaissais l'existence du Motor Men Bar. Je savais qu'Yvan y allait souvent boire un verre le vendredi après le boulot mais j'ignorais qu'une backroom comme à Berlin y existait. J'enfilai donc le tee shirt blanc offert par notre invité et Yvan me choisit un treillis que je portais rarement ainsi qu'une paire de baskets et mon bombers. L'ensemble était assez bizarre mais je savais que je n'allais pas garder mes vêtements bien longtemps. Il m'imposa aussi un jockstrap. Je pense que Dimitri le lui avait demandé car il m'en avait fait porter un la veille avant de me prendre. Je lui avais vidé les couilles toutes la semaine mais je commençais à ne plus supporter qu'il me touche. Son mépris me tapais sur les nerfs. La soumission que je vivais au quotidien avec Yvan était déjà assez dure à certains moments et là, je devais passer mes vacances à faire les quatre volontés de ce type. Je prenais de l'âge, j'avais commencé un second cursus universitaire et j'étais moins malléable même si je rechignais peu lorsque je recevais un ordre. Nous prîmes le métro. Je me trouvais parfaitement ridicule habillé comme ça mais j'essayais de ne pas y penser. En plus, je me disais que tous les mecs allaient voir les restes de marques sur mon corps. Ca avait beau être dans le bon contexte, c'était humiliant au possible. Nous descendîmes du métro place Bellecour et, heureusement, le "Motor's" était tout prêt. Je n'avais pas à déambuler dans la rue trop longtemps habillé comme ça. Yvan sonna et nous entrâmes. Le bar était plutôt petit et sombre. Le barman était grand, rasé, vêtu d'une veste en cuire. Je crois qu'il s'appelait Michel mais je n'en suis plus certain. Yvan et lui s'embrassèrent longuement. Nous étions seuls avec lui pour le moment et aucun verre sur le comptoir ne laissait supposer qu'il y avait d'autres mecs. Yvan ne dit pas un mot de moi mais présenta Dimitri comme un copain russe en visite. Celui que nous appellerons Michel me regarda des pieds à la tête.
- Mignon... tu nous le cache ?
- C'est son anniversaire alors je le sors un peu mon clebs. Allez, fous-toi à poil et montres-en un peu plus à mon pote.
J'obéis directement. Je fus nu et en baskets en deux minutes. Michel me donna la clef d'un vestiaire pour que je puisse mettre mes affaires.
- C'est une soirée privée, tu pourrais les laisser là mais j'aime pas le désordre. 
J'étais nu. Dimitri et Michel me regardaient d'un air amusé. Michel s'approcha.
- Vous lui avez fait quoi pour que ses fesses et son dos soient dans cet état ?
- Il était pas sage, il a été puni. En fait, je le punis même s'il est sage, ça m'excite. 
- Tu vas voir boy, tu vas passer un bon anniversaire. Je t'ai trouvé un beau mec et en plus c'est un bon coup. 
Sur ce, la sonnette de la porte retentit. Michel alla ouvrir et expliqua que c'était une soirée privée et que l'établissement était fermé. Yvan se pencha pour regarder la gueule du mec et parla à l'oreille de son copain pour le laisser entrer. Un grand type habillé en cuir pénétra dans le bar. Pendant ce temps, Dimitri m'avait  attaché les mains dans le dos, forcé à m'accroupir et à lécher ses rangers. J'entendis mon Master et le barman discuter avec le nouveau. Il pouvait avoir la cinquantaine, il était très musclé et assez laid. 
Mon mystérieux partenaire ne semblait pas se montrer. Je m'appliquais à lécher les pompes de notre invité. J'avais entendu que quelqu'un montait l'escalier métallique de la backroom. J'aperçus du coin de l'oeil la silhouette d'un mec de mon âge à peu près. Il se rapprocha, il était châtain, plutôt grand, extrêmement bien fait. Il devait avoir mon âge à peu près. Lorsqu'il s'approcha, je pus, malgré ma posture prostrée, me rendre comptes qu'il avait un regard magnifique.
- Renaud, je te présente Yvan, Dimitri, Joël et ta future victime.
Le gars me regarda. 
- Pas mal, j'aime bien les blond... et toi, tu aimes le cul ?
- Réponds bâtard !
-...oui...
Il regarda Dimitri.
- Je peux te l'emprunter ?
Il m'aida à me lever. Il me plaisait vraiment beaucoup. Il y avait quelque chose de dur dans son regard mais il était vraiment sexy. Il m'examina. Je me sentis plus nu que nu. 
- T'as des marques, ton mec te punis ?
- Oui...
Les quatre autres nous regardaient. J'étais là, debout, les mains attachées, devant lui. Il me roula une très longue pelle et je commençais à bander.
- Je vais te sauter devant ton maître. Tu aimes qu'on te baise ?
- Oui...
J'apercevais une lueur tout à fait inquiétante dans le regard d'Yvan. Je savais ce qui allait se passer. J'allais prendre mon pied et Dimitri me punirait devant tout le monde. Je connaissais mon maître. Renaud m'emmena jusqu'à la plus grande partie du bar. Là, il me pencha sur une espèce de table et commença à écarter mes fesses. Ils me bouffa le cul comme on me l'avait rarement fait. C'était tout à fait jubilatoire mais j'évitais de trop le montrer. Le regard des autres se penchait sur moi. C'était très humiliant. Je savais qu'il y avait des zébrures sur mon dos et que ce n'était pas fini. Renaud arrêta quelques minutes.
- Vous n'allez pas le laisser la bouche vide, c'est son anniversaire.
Le cinquantenaire baissa son pantalon en cuir et enfonça son sexe dans ma bouche. J'étouffai direct et bavais! Dimitri frappa mon dos avec son poing et me coupa le souffle.
- Mieux que ça, bâtard !
Je m'appliquais mais la langue de Renaud me rendait dingue. C'était super excitant. Tout à coup il arrêta. Dimitri avait pris la place du mec. Les commentaires fusaient.
- Il se débrouille bien. Disait Michel.
- Il est bien dressé finalement, répondait Dimitri. 
Yvan ne parlait pas, il se contentait de me regarder. Je sentis le gland de Renaud contre mon cul il entra d'un coup. Ce fut un mélange de plaisir et de douleur. Je supportais très bien et redoublais d'efforts pour sucer Dimitri. Je voulais le faire éjaculer mais les coups de butoir de Renaud me déconcentraient. Je prenais mon pied. C'était génial. Yvan me fit sniffer du poppers et j'étais déchainé. J'allais payer mais tant pis, ce beau mec qui me baisait, c'était trop bon. Renaud était bien monté mais surtout, malgré son jeune âge, il était très doué pour me faire prendre mon pied. J'éjaculai bientôt tout seul. Je ne contrôlais plus rien. Yvan me posa un morceau de scotch sur la bouche.
Le beau gosse se retira et me pris dans ses bras. Il me posa sur le dos sur le bar et recommença à me baiser. Je n'en n'avais plus envie. Il fallait que je trouve de l'excitation dans ma tête. C'était dur mais j'y arrivai, je recommençais à bander. D'un coup, il se retira.
- Alors, bon anniversaire petit bâtard, me dit Yvan.
Je me laissais glisser. Mes pieds touchèrent le sol. Michel regardait la scène d'un peu loin, l'autre mec me fit mettre à genoux et je dus le sucer. J'étais à nouveau excité. Yvan me chuchota à l'oreille :
- Tu as bien pris ton pied, maintenant tu vas nous faire prendre le nôtre. Je vais te fouetter et Dimitri prendra le relais.
Ils se saisirent de moi et m'attachèrent à un crochet au milieu du bar. Michel actionna une poulie et mes pieds touchaient à peine le sol. Yvan s'était saisi d'un martinet à longues lanières. Le premier coup fut dur à supporter. Renaud proposa :
- On fixe un nombre de coups et on le fait compter ?
Yvan répondis : 
- Non, on fait tout le temps ça et j'ai envie de changer. On, frappe à tour de rôle jusqu'à ce que je décide que ça suffit.
Il frappa à nouveau. Je criai derrière mon baillon. Les mecs, à l'exception de Michel avaient sorti leurs bites.
- Allez Dimitri, honneur aux invités. Continue. Je veux qu'il s'en souvienne.
Le russe me faisait mal à chaque coup. Mon dos, mes fesses, mes cuisses. Je haletais. Je gémissais. Je transpirais. J'avais éjaculé pourtant, je bandais encore. Je me tortillais. Je n'arrivais pas du tout à me contrôler. Je crus que j'allais éjaculer à nouveau. Mes bras me faisaient horriblement mal et quand je commençai à ne plus pouvoir résister à la position, l'excitation retomba. Dimitri frappait, encore et encore. J'avais l'impression que ça n'allait jamais finir. Entre deux traits de douleur, je remarquais que Renaud avait changé d'attitude. Il ne s'amusait plus. Il parlait à l'oreille d'Yvan. Mon maître ordonna d'arrêter. Je restai un moment comme ça, pendu par les bras, haletant, les larmes aux yeux. Yvan s'approcha de moi.
- Tu peux remercier Renaud. Il trouvais que tu souffrais trop. Tu vas le sucer à fond pour lui montrer ta gratitude. J'aurais aimé que Dimitri continue. 
Il me détacha. Je me laissais glisser dans ses bras. Je crois que le martinet avait un peu entamé la peau de mes fesses sur un côté. Je me mis à quatre pattes et commençais à lécher les couilles de Renaud.
- Merci...
- Allez, suce-moi comme tu l'as fait à tes potes tout à l'heure. Applique toi. 
Je passais ma langue. J'avais complètement repris mes esprits. Dimitri, le cinquantenaire et Yvan s'approchèrent de moi. Je sentis les mains de mon maître sur mon dos endolori alors que les deux autres se branlaient. Ils se firent jouir. Yvan non, il me caressait. Je sentis le sperme de Renaud couler sur mon visage. Il ne put retenir un cri. Yvan me releva, me pris dans ses bras et m'embrassa.
- Bon anniversaire petit bâtard. Tu as de la chance, tu m'excites toujours autant.
Je m'essuyai, acceptai une bière et me rhabillai. Il était à peu près une heure du matin lorsque nous rentrâmes. Yvan et Dimitri parlaient en russe. Je demandais l'autorisation d'aller me coucher. Yvan me rejoignis presque tout de suite et commença à me prendre sans me demander mon avis. Je me souviens avoir eu envie de lui comme jamais. Le lendemain, il raccompagna Dimitri à l'aéroport le lendemain en début d'après-midi. Je n'entendis plus jamais parler de lui.


vendredi 6 janvier 2012

Dimitri (3ème partie)

J'étais endolori et attaché. Je me tortillais au sol tout habillé tandis que mes geôliers me donnaient des coups de pieds. Yvan avait posé sa basket sur ma tête aussi ma joue se râpait contre le ciment du garage. Je recevais des mollards, des insultes en russe. Je croyais avoir tout subi avec mon Maître mais je ne me doutais pas qu'il allait m'avilir encore plus et que j'allais le supporter. Yvan me releva.
- Gémis pas ! Soit un mec putain !
Dimitri me détacha :
- Fous-toi à poil. Tu gardes juste tes chaussettes c'est plus humiliant. 
Je m'exécutais. J'avais eu à faire ça un grand nombre de fois et me retrouver nu au milieu de mecs habillés ne me faisait plus rien. En un clin d'oeil j'avais enlevé tee-shirt, pantalon et slip. Je me mis automatiquement à genoux les mains sur la tête. Zlavko et Yvan échangèrent un clin d'oeil complice. Dimitri m'attacha et je dus baisser la tête sur le sol.  Je les entendis s'éloigner. Je n'osais pas bouger. Yvan pouvait se montrer très dur. Ils étaient dans un autre coin du garage. Ils parlaient en russe mais à voix basse ce qui augmenta mon angoisse. Je me souviens avoir transpiré. Je sentais la sueur couler le long de mes tempes. Je ne savais pas ce qu'ils allaient faire de moi et je faisais confiance à Yvan pour être inventif. J'étais conscient que la punition allait être marquante au propre comme au figuré. Je les entendis se rapprocher. Leurs pas sur le sol me font tressaillir. Yvan commence à s'adresser à moi :
- On a décidé ce qu'on allait te faire. Tu es prêt à te dépasser ?
Je ne répondis pas. Je reçus un coup de pied dans les fesses.
- Je t'ai posé une question.
- Oui...
- Bien. Nous allons t'installer pour que tu sois frappé. Chacun d'entre nous choisira son instrument et le nombre de coups que tu devras recevoir. Après, pour nous remercier, tu nous suceras en t'appliquant. Ok ?
-...oui...
Je sentis des mains sur moi et on me décolla du sol. J'avais les yeux bandés et je ne voyais absolument rien. Je ne me débattis pas. Prenant sur moi et serrant les dents. Je savais qu'Yvan et ses copains ne me feraient pas de cadeau. Je fus attaché face au mur. On me mit des menottes en cuir reliées à une corde. La position était très inconfortable. Je sentis qu'on m'enlevait le bandeau que j'avais sur les yeux. J'étais si près du mur que si j'avançais un tant soit peu, je me râpais le visage. Je n'osais pas me retourner pour voir mes tourmenteurs. Je me suis senti très petit. Il faut dire que, si Dimitri était de taille moyenne, Slavko et Yvan étaient de grands costauds. Mon Maître ouvrit le bal. Il avait choisi un fouet à une lanière. Pour ceux qui ont essayé, c'est un instrument très douloureux.
- Je vais m'occuper de ton dos, Dimitri te fera rougir les fesses à la badine et Zlavko avisera sur la suite des coups à te donner. Tu es prêt ?
-...oui...
- Je ne te donne pas un nombre de coups comme ça tu auras la surprise. Fais-moi honneur devant mes invités sinon je vais être très en colère.
Il n'avait pas terminé de parler que j'entendis le fouet siffler dans l'air et que je ressentis une violente douleur sur le côté du corps. Je ne pus m'empêcher de lâcher un cri.
- T'es pas très courageux, tu vas pas commencer à gueuler au premier coup. Tu ne manques quand même pas d'entraînement.

J'entendis les autres se marrer lorsque mon dos se zébra. Je n'avais pas eu le temps de reprendre ma respiration donc je toussait un peu. J'encaissais les deux coups suivants sans hurler mais les larmes coulaient le long de mes yeux. Yvan me faisait très mal et il le savait bien. Je reçus les autres coups sans trop broncher mais le dernier fut dur. Je ne sais pas combien de fois Yvan m'avait frappé mais j'ai hurlé. Mon corps était très endolori. J'avais l'impression que ma peau était déchirée. En fait les zébrures allaient passer au bout de quelques jours. Je pleurais à chaudes larmes quand les deux autres me libérèrent. Dimitri me regarda :

- Tu ne supportes pas mal. Tu pourrais presque être en compétition avec mon esclave personnel.
- Tu as eu un compliment. Tu pourrais répondre, m'invectiva Yvan.
-... merci... Maître Dimitri...
- Ah c'est quand même mieux. Alors tu vas lui faire quoi ?
- On va l'attacher et il recevra 20 coups sur les fesses et les cuisses.
Ils se saisirent de moi et m'attachèrent de manière à faire ressortir mes fesses pour la punition. Je transpirais. J'avais peur. Les gifles de Dimitri étaient déjà dures à supporter, je me demandais comment j'allais encaisser la punition. Slavko qui parlait toujours beaucoup, ne disait rien. Il servait d'homme de main. 
- Avant ta punition, tu vas sucer un peu Yvan pour le remercier.
Mon Maître vint se planter devant moi et sortit sa queue. Je la pris dans ma bouche. Il bandait très dur. Son odeur renforcée par la transpiration occasionnée par l'effort me grisa et je commençais à être excité. Il se fit sucer un moment puis relâcha ma tête. 
- Tu vas recevoir 20 coups maintenant. Tu vas les compter. Si tu te trompes, Dimitri recommence à zéro.
Je connaissais cet exercice, je l'avais déjà pratiqué et je m'en sortais toujours très bien. A cette époque-là, j'étais vraiment endurant mais je redoutais la force des muscles secs du Russe. Je reçus le premier coup.
- Un... deux... trois... quatre...
Je gémissais mais ne hurlais pas. 
- Cinq... six... sept...huit...aaah...
C'était très difficile. Dimitri, qui avait commencé doucement, tapait de plus en plus fort. Je supportais. Le côté progressif dénotait chez lui une expérience incroyable. Plus on y va progressivement et plus on peut frapper longtemps. Le soumis supporte mieux.
- Neuf... dix... onze... douze... treize...quatorze...
Je me concentrais pour ne pas me tromper et ne pas repartir à zéro. J'avais mal mais j'encaissais. Dimitri était concentré mais Zlavko et Yvan discutaient à voix basse. D'un coup d'oeil, je vis qu'ils s'étaient déshabillés.
- Quinze... seize... dix-sept...dix-huit...aaaah...dix-neuf...
Je pleurais à nouveau. C'était insupportable mais j'étais attaché et je ne pouvais pas bouger beaucoup. Le réflexe était terrible. Si j'avais pu, je me serais sauvé malgré moi. Bizarrement, la douleur me faisait bander. J'étais partagé lorsque je reçus le premier coup entre l'excitation et la volonté que ça se termine. Je pleurais et bandais à la fois.
- Vingt.... aaaahhhh....
Je haletais. Je pleurais fort. De véritables sanglots. 
Dimitri s'approcha de moi et baissa son pantalon de survêtement.
- Allez, remercie-moi. Suce.
Je m'exécutais. Il avait des poils blonds comme les biens. Je repris immédiatement mes esprits et me fis un devoir de le sucer le mieux possible. Je pleurais. Zlavko arriva pour se faire sucer aussi.
- Si tu te débrouilles bien, je ne te punirais pas aujourd'hui mais il faut que tu me fasse jouir. 
Je me mis à sucer les trois queues alternativement. J'avais une vraie envie maintenant. Tout à coup, Slavko éjacula sur mon visage et dans mes cheveux. Dans le même temps, Dimitri me doigta et me sodomisa dans la foulée en m'arrachant un cri.
- Tu peux toujours gueuler, personne ne t'entendra. 
Je sentis les va-et-viens dans mon cul. C'était super excitant et je prenais du plaisir tandis que je suçais Yvan. Le sperme de Slavko (qui était en train de se rhabiller) coulait sur mon visage et mon dos. Je haletais. Je transpirais encore. Rarement, je m'étais autant détendu après une punition. Je pris le sperme d'Yvan dans la bouche. Peu après, Dimitri se retira, ôta sa capote et me la mit dans la main. Il éjacula à son tour sur mon visage en poussant un cri. J'étais absolument couvert de sperme et ma bouche recrachait presque celui de mon Maître. Je retombais sur le sol. Les  trois compères se tapèrent dans les mains. Yvan lança :
- On a bien mérité une bière. Allez essuie-toi et rhabille-toi.
J'obéis et on me rattacha sur ma chaise. J'y restais un certain temps et nous rentrâmes à Lyon. Je ne le savais pas encore mais mon Maître et son invité allaient m'emmener dans un sex club qui n'existait pas depuis longtemps et que je ne connaissais pas.



A suivre