jeudi 24 novembre 2011

Puni (3ème partie)

J'étais attaché, totalement paniqué. Je me débattais sous le regard agacé d'Yvan. Il ordonna :
- Tenez-le les mecs ! Il va pas nous emmerder quand même !
Alex et Christian s'approchèrent de moi et m'appuyèrent sur les épaules. Gaétan entra un gode en métal en moi. J'avais déjà vu ça mais je ne l'avais jamais testé. Je me calmais un peu mais je transpirais terriblement. Je pouvais voir l'air à la fois fasciné et dégoûté de Marc. J'avais peur mais je comprenais que je ne pouvais pas résister. Je m'immobilisais. Ils relâchèrent leur étreinte. 
- Tu vas subir ça pour moi, me chuchota Yvan à l'oreille. Ca va me donner beaucoup de plaisir. D'accord ?
Je ne répondis pas.
- D'accord ?
Je reçus une gifle.
- Oui...
Gaétan resserra les pinces sur mes tétons. Je ne bougeais pas. J'étais totalement crispé et le gode me faisait mal. Il fallait absolument que je me décontracte sinon ça allait être insupportable. Je m'en rendais parfaitement compte. Gaétan posa deux petites pinces sur la peau de mon prépuce. 
- Ca va irradier et ça le fera bander malgré lui.
Il expliquait ça comme un technicien. 
- Alors petit gars, je vais t'expliquer ce qui va se passer. Je vais t'envoyer de l'électricité alternativement dans les seins, le cul et la bite. Ton mec n'a pas voulu que tes couilles soient torturées. Estime-toi heureux car là c'est dur. T'es près ?
Je ne répondis pas. Nouvelle gifle d'Yvan.
- Réponds, putain ! 
-...oui...
Gaétan s'assit. Il commença à appuyer sur un bouton. Je sentis une petite décharge dans le cul. C'était comme une vibration et je trouvais cela plutôt excitant et agréable. Une autre décharge de la même force électrisa mes tétons puis mon sexe. C'était très étonnant mais pas douloureux. Je bandais immédiatement. J'ouvris les yeux et croisais le regard fasciné de Marc. Il devait me dire plus tard qu'il ne comprenait pas pourquoi mais qu'il avait été excité de me voir me faire torturer. Une autre décharge dans ma bite me fit mal. Elle m'arracha un cri. Je bandais vraiment dur. J'étais totalement stimulé. C'était une sensation étrange de douleur et d'excitation. La décharge suivante dans mes tétons fut franchement douloureuse. Je criai. Je me tortillais.
- Alors mon Chéri. Tu résistes ?
- Oui...
- On continue.
Gaétan intensifia le courant. Je reçus une décharge violente dans le cul qui me fit tressauter très fort. L'une de mes mains se détacha. Christian fit ni une, ni deux, il s'approcha de moi et rattacha ma main.
- Ca fait mal bâtard ?
- Oui... 
Il regagna le fond de la pièce et le courant m'irradia de nouveau. Cette fois, les trois parties de mon corps furent électrocutées. Je hurlais. Yvan me regarda dans les yeux. 
- Il fait beaucoup de bruit vous ne trouvez pas. Marc, désape-toi et mets lui ton slip dans la gueule.
Contre toute attente, Marc s'exécuta. Il se mit lentement totalement nu. Je tremblais. Ce répit me soulagea. Mon amant du vendredi, s'approcha de moi et enfonça son boxer dans ma bouche. Il ne disait pas un mot. Son corps nu m'excita, je ne sais pas pourquoi et je bandais encore plus fort sans électricité. Gaétan ne me laissa pas le temps de dire ouf et me renvoya une décharge. Je criai mais le son fut étouffé par la présence du calbut dans ma bouche. C'était assez terrible. Je me débattis. Je me sentais si impuissant et la douleur était si forte que mon coeur battait à tout rompre. J'aurais voulu qu'ils arrête mais une autre décharge plus violente me fit bouger malgré mes liens. Les pinces de mes tétons tombèrent. Yvan cria :
- Ca fait rien, renvoie.
Une autre décharge et je hurlais. La douleur était intense. Je n'en pouvais plus. J'essayai de supplier malgré mon baillon. Yvan s'approcha de moi.
- Allez, sois un peu courageux. Fais-moi honneur devant mes invités. 
Il fit un signe de tête et Gaétan continua. Je n'en pouvais plus. Je hurlais malgré tout. Je me débattais. Mes poignets me faisaient mal. Gaétan fit un signe à Yvan.
- C'est bon. Son coeur bat trop vite, il faut arrêter. 
Il me retira les pinces. J'avais mal dans le corps entier. Le retrait du gode de mon cul fut difficile. J'étais tellement endolori que j'avais peur de bouger. Alex me détacha. Je revois encore son crane rasé de près et son visage dur au dessus de moi. Il me retourna sur le ventre. J'étais terriblement fatigué. Christian suçait Marc tandis qu'Yvan se pencha sur moi.
- C'est bien petit bâtard. Tu nous as bien excité. T'es fatigué ?
- Oui.
- J'ai envie de te baiser. 
Gaétan s'était approché de nous. Il me releva. Il était encore habillé mais se colla contre moi. Il était plus petit que moi. Il ne devait pas mesurer plus d'un mètre soixante-huit. Il ne me plaisait pas du tout pourtant je me mis à genoux et je commençais à le sucer. Les autres s'étaient approchés. Je fis des efforts pour les lécher les uns après les autres. Je n'en n'avais pas envie. Je n'avais pas envie non plus qu'Yvan mette sa grosse queue dans mon cul endolori pourtant j'obéissais. J'étais à quatre pattes quand il cracha dans mon cul et y entra doucement. Bizarrement, je n'avais pas mal. Je ressentais même du plaisir. Je sentis les premiers jets de sperme sur mon visage alors qu'Yvan me baisait doucement avec son sexe dur comme du béton. Il accéléra le mouvement mais il était si excité que je le sentis éjaculer en moi. Il se retira d'un coup et là, j'ai eu mal. Je me laissais tomber sur la dalle de béton. J'étais en sueur, couvert de sperme, endolori et humilié à mort. C'était un moment terrible. Les gars se rhabillaient autour de moi pourtant je ne pouvais pas bouger. J'étais comme un morceau de chiffon. Yvan me pris dans ses bras. Il m'embrassa et m'aida à me lever. Bizarrement, je ne lui en voulais pas du tout. C'était l'attitude de Marc que je ne comprenais pas. A chacun de nos rendez-vous, il essayait de me convaincre de quitter Yvan car il m'humiliait sans arrêt alors que là, il avait été excité par mon supplice. Le soir et le lendemain, nous ne baisâmes pas. Je dormis blotti contre Yvan la nuit du samedi au dimanche et, après le déjeuner, nous sommes rentrés à Lyon. Ce week end m'avait un peu perturbé et j'avais souffert mais bizarrement, je n'avais pas envie de m'enfuir. J'étais même plus accroc à Yvan que jamais.

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