Mes fesses et mon dos étaient endolories lorsque Vincent et Luc me libérèrent du pilori. A certains endroits, j'avais même l'impression que la peau avait été entaillée. Ma nuque aussi me faisait mal et j'avais du mal à tenir sur mes jambes. S'adressant à Luc, en sirotant une bière Vincent fit quelques commentaires sur ce qui venait de m'arriver :
- T'as raison, il encaisse pas mal. Allez, on va l'allonger sur la table et lui suspendre les panards comme ça on verra un peu son trou.
Je dus m'allonger sur le dos ce qui fut un exercice assez périlleux car j'avais vraiment mal. Luc attacha mes mains à des menottes en cuir qui pendaient de chaque côté de la table et passa une corde pour me fixer à mon "socle" sous mes côtes. Il la serra suffisamment pour qu'elle me coupe le souffle si j'avais l'outrecuidance de bouger pendant que je subissais leurs tortures. Mes chevilles furent aussi reliées à des bracelets en cuir attachés à une poulie qui permettait de me tenir les jambes à la fois en hauteur et écartées. La position était assez inconfortable mais ce n'était pas pire que le pilori.Vincent s'approcha de mon visage.
- T'as les tétons percés. Sensible de ce côté-là ?
- Oui Monsieur.
- Bien, on va commencer par là. Luc passe-moi la cravache rouge qui est pendue derrière toi.
Luc apporta l'objet à son acolyte comme s'il portait le Saint Sacrement et Vincent commença à me donner de petit coups bien ciblés sur chaque tétons.
- Il faut que je te dise, je ne supporte pas les gémissements. Tu peut en émettre ou même crier, personne ne t'entendra mais ça m'énervera et ta punition sera intensifiée.
Les coups reprirent et je serrais les dents. La douleur du métal des anneaux de mes tétons qui bougeaient à chaque pression était assez terrible mais en même temps, me faisaient bander. Je suis vraiment sensible des bouts et même si je suis moyennement excité, ça marche parfaitement. Je pouvais voir Luc. Il croisait les bras et me regardait sans mot dire d'un air très méprisant. Vincent s'énerva :
- Qui t'as permis de bander ?
- Pardon Maître, c'est plus fort que moi.
Il arrêta de frapper et me considéra d'un air encore un peu plus inquiétant.
- Je vais être obligé de sévir. Tu t'en rends compte ?
- Oui... Monsieur.
- Je vais entrer un gode en métal dans ton cul. Il sera relié à des électrodes. Je vais aussi placer des pinces électrifiées sur ton prépuce et tes tétons. Si tu bandes ou si j'entends un gémissement, j'envoie une décharge électrique sans te dire où elle te pincera. Plus je juge que tu n'obéis pas plus la décharge sera puissante.
Je commençais à transpirer. Je n'avais encore jamais été torturé à l'électricité mais j'avais vu les réactions de Cyril, le soumis de Jacques à chaque décharge et franchement j'avais peur. Je ne voulais pas que les deux salauds s'en rendent compte et je voulais qu'ils puissent dire à Yvan que j'avais été courageux. Luc me fit sniffer un peu de poppers pour que le gode rentre en moi facilement. Les pinces furent disposées aux endroits sus mentionnés par Vincent et je faisais attention de ne pas émettre de son. Toutes les pinces, y compris les électrodes fixées sur le gode étaient reliées à un petit appareil. J'allais bientôt découvrir que Vincent savait très remarquablement s'en servir. Pour l'instant, il repris ses petits coups de cravaches. Au début, ma peau était un peu anesthésiée alors je ne sentais rien. Il tendis la cravache à Luc.
- Ne le ménage pas. Il est là pour souffrir.
Luc était costaud et il faisait mal, je le savais donc je me tendis un peu ce qui me provoqua une légère douleur à l'anus qui se serrait autour du gode en métal. Au bout du second ou du troisième coup j'émis un petit gémissement et la punition fut immédiate. Mon prépuce fut irradié par une décharge électrique qui m'arracha un cri terrible. Tout mon pénis se mit à me faire mal.
- Arrête de bouger ou tu en prends une autre. Luc, cravache lui l'intérieur des cuisses. Je les trouve très blanches.
Je ne sais pas pour vous mais moi je suis très sensible de cet endroit-là et les coups bien appliqués me faisaient mal. Je ne pus réprimer un cri. Aussitôt, je reçus deux décharges dans le cul et une dans les tétons ce qui provoqua un cri encore plus fort et une autre dans le prépuce.
- Je t'avais prévenu mec, je n'ai aucune pitié pour les bâtards.
Je transpirais, mon coeur battait à tout rompre. Des décharges simultanées secouèrent mon corps. Il m'en avait envoyé sur chaque électrode. Je suis bien incapable de vous décrire la douleur et la sensation mais je me mis à mouiller terriblement et à hurler. Luc fit signe à Vincent de se calmer un peu. Pour toute réponse, il lança :
- Va chercher les mecs, on va s'amuser.
La journée avait un peu avancé et j'étais attaché sans défense dans une cave loin de chez moi. Je n'avais pas de notion du temps mais il pouvait bien être le début de l'après-midi. Vincent s'approcha de moi et me détacha. Il me fit mettre à quatre pattes par terre.
- Bouffe-moi les couilles. C'est pas fini. Ne me fais pas jouir tout de suite.
Je m'exécutais. Quelques secondes plus tard, j'entendis des pas derrière moi mais je n'osais pas me retourner. Vincent m'ordonna de m'allonger sur le ventre. J'entendis les pas se rapprocher. En fait, Luc revenait accompagné de deux mecs cagoulés. L'un portait un jean et un blouson en cuir noir et l'autre était en survêt avec une grosse inscription "Adidas" sur la jambes. La voix de Vincent s'éleva.
- Allez Kader, latte-le. Ne le ménage pas. Si ton pote veut participer c'est encore mieux.
Je reçus des coups de pieds dans les côtes et l'un des mecs me maintenait au sol en ayant posé son pied sur mon visage.
- Bouge-pas bâtard de merde.
D'autres coups de pieds. L'un des mecs marchait sur mon dos déjà endolori par les coups de fouet. La séance dura quelques minutes mais j'avais l'impression qu'elle avait été très longue. Ils me relevèrent et me giflèrent à tour de bras tout en me crachant au visage. Luc et Vincent se joignirent à eux.
- Allez les gars, défoncez-le. Il y a des capotes. On va lui élargir le cul.
Je suçais Luc un peu pour la forme lorsque le premier mec entra en moi. La sodomie ne fut ni douloureuse ni agréable mais il me donnait de grands coups de rein jusqu'à éjaculer dans la capote. Vincent vient en second tandis que je suçais le mec masqué en survêt qui devait être Kader. L'autre avait rentré son sexe circoncis dans son jean et s'était mis à l'écart. Vincent se retira pour éjaculer sur mon dos meurtri et Kader pris sa place. Là, je ressentis un peu de plaisir. Il était doué. Manifestement, il se souciait bizarrement de mon plaisir. Il éjacula dans la capote tandis que Luc s'était vidé sur mon visage.
Kader me lâcha et je tombais au sol. Ils sortirent tous sans mot dire sauf Luc qui m'aida à me lever.
- T'as bien assuré.
- Je peux m'essuyer ?
Il me tendis un rouleau de papier "essuie-tout" et je le passais sur mon corps, dans mes cheveux, sur mon anus.
- J'ai redescendu tes vêtements. Rhabille-toi. Je te conseille de ne pas remettre ton slip. Tu es encore tout collant et ça sera désagréable dans le train.
J'avais mal partout et j'aurais voulu prendre une douche. J'avais l'impression que dans le TGV, tout le monde allait sentir l'odeur du sperme sur moi mais je n'osais pas le demander. J'avais vraiment mal partout. Nous remontâmes dans le loft. Vincent, rhabillé, nous attendait.
- Je suis content de toi. Je demanderai à ton Maître de te renvoyer chez moi à l'occasion. Rentre bien.
Je ne dis rien. J'étais un peu fracassé. Luc m'aida à monter dans sa voiture :
- Ca va aller ?
- Aucun problème.
Quelques minutes plus tard, j'étais à ma place dans le train et à 20 h 30, j'étais rentré à la maison. Yvan me fit déshabiller et examina mon corps. Je dus lui raconter par le menu ce que l'on m'avait fait. Il m'embrassa et me fit dormir dans son lit.
- T'as les tétons percés. Sensible de ce côté-là ?
- Oui Monsieur.
- Bien, on va commencer par là. Luc passe-moi la cravache rouge qui est pendue derrière toi.
Luc apporta l'objet à son acolyte comme s'il portait le Saint Sacrement et Vincent commença à me donner de petit coups bien ciblés sur chaque tétons.
- Il faut que je te dise, je ne supporte pas les gémissements. Tu peut en émettre ou même crier, personne ne t'entendra mais ça m'énervera et ta punition sera intensifiée.
Les coups reprirent et je serrais les dents. La douleur du métal des anneaux de mes tétons qui bougeaient à chaque pression était assez terrible mais en même temps, me faisaient bander. Je suis vraiment sensible des bouts et même si je suis moyennement excité, ça marche parfaitement. Je pouvais voir Luc. Il croisait les bras et me regardait sans mot dire d'un air très méprisant. Vincent s'énerva :
- Qui t'as permis de bander ?
- Pardon Maître, c'est plus fort que moi.
Il arrêta de frapper et me considéra d'un air encore un peu plus inquiétant.
- Je vais être obligé de sévir. Tu t'en rends compte ?
- Oui... Monsieur.
- Je vais entrer un gode en métal dans ton cul. Il sera relié à des électrodes. Je vais aussi placer des pinces électrifiées sur ton prépuce et tes tétons. Si tu bandes ou si j'entends un gémissement, j'envoie une décharge électrique sans te dire où elle te pincera. Plus je juge que tu n'obéis pas plus la décharge sera puissante.
Je commençais à transpirer. Je n'avais encore jamais été torturé à l'électricité mais j'avais vu les réactions de Cyril, le soumis de Jacques à chaque décharge et franchement j'avais peur. Je ne voulais pas que les deux salauds s'en rendent compte et je voulais qu'ils puissent dire à Yvan que j'avais été courageux. Luc me fit sniffer un peu de poppers pour que le gode rentre en moi facilement. Les pinces furent disposées aux endroits sus mentionnés par Vincent et je faisais attention de ne pas émettre de son. Toutes les pinces, y compris les électrodes fixées sur le gode étaient reliées à un petit appareil. J'allais bientôt découvrir que Vincent savait très remarquablement s'en servir. Pour l'instant, il repris ses petits coups de cravaches. Au début, ma peau était un peu anesthésiée alors je ne sentais rien. Il tendis la cravache à Luc.
- Ne le ménage pas. Il est là pour souffrir.
Luc était costaud et il faisait mal, je le savais donc je me tendis un peu ce qui me provoqua une légère douleur à l'anus qui se serrait autour du gode en métal. Au bout du second ou du troisième coup j'émis un petit gémissement et la punition fut immédiate. Mon prépuce fut irradié par une décharge électrique qui m'arracha un cri terrible. Tout mon pénis se mit à me faire mal.
- Arrête de bouger ou tu en prends une autre. Luc, cravache lui l'intérieur des cuisses. Je les trouve très blanches.
Je ne sais pas pour vous mais moi je suis très sensible de cet endroit-là et les coups bien appliqués me faisaient mal. Je ne pus réprimer un cri. Aussitôt, je reçus deux décharges dans le cul et une dans les tétons ce qui provoqua un cri encore plus fort et une autre dans le prépuce.
- Je t'avais prévenu mec, je n'ai aucune pitié pour les bâtards.
Je transpirais, mon coeur battait à tout rompre. Des décharges simultanées secouèrent mon corps. Il m'en avait envoyé sur chaque électrode. Je suis bien incapable de vous décrire la douleur et la sensation mais je me mis à mouiller terriblement et à hurler. Luc fit signe à Vincent de se calmer un peu. Pour toute réponse, il lança :
- Va chercher les mecs, on va s'amuser.
La journée avait un peu avancé et j'étais attaché sans défense dans une cave loin de chez moi. Je n'avais pas de notion du temps mais il pouvait bien être le début de l'après-midi. Vincent s'approcha de moi et me détacha. Il me fit mettre à quatre pattes par terre.
- Bouffe-moi les couilles. C'est pas fini. Ne me fais pas jouir tout de suite.
Je m'exécutais. Quelques secondes plus tard, j'entendis des pas derrière moi mais je n'osais pas me retourner. Vincent m'ordonna de m'allonger sur le ventre. J'entendis les pas se rapprocher. En fait, Luc revenait accompagné de deux mecs cagoulés. L'un portait un jean et un blouson en cuir noir et l'autre était en survêt avec une grosse inscription "Adidas" sur la jambes. La voix de Vincent s'éleva.
- Allez Kader, latte-le. Ne le ménage pas. Si ton pote veut participer c'est encore mieux.
Je reçus des coups de pieds dans les côtes et l'un des mecs me maintenait au sol en ayant posé son pied sur mon visage.
- Bouge-pas bâtard de merde.
D'autres coups de pieds. L'un des mecs marchait sur mon dos déjà endolori par les coups de fouet. La séance dura quelques minutes mais j'avais l'impression qu'elle avait été très longue. Ils me relevèrent et me giflèrent à tour de bras tout en me crachant au visage. Luc et Vincent se joignirent à eux.
- Allez les gars, défoncez-le. Il y a des capotes. On va lui élargir le cul.
Je suçais Luc un peu pour la forme lorsque le premier mec entra en moi. La sodomie ne fut ni douloureuse ni agréable mais il me donnait de grands coups de rein jusqu'à éjaculer dans la capote. Vincent vient en second tandis que je suçais le mec masqué en survêt qui devait être Kader. L'autre avait rentré son sexe circoncis dans son jean et s'était mis à l'écart. Vincent se retira pour éjaculer sur mon dos meurtri et Kader pris sa place. Là, je ressentis un peu de plaisir. Il était doué. Manifestement, il se souciait bizarrement de mon plaisir. Il éjacula dans la capote tandis que Luc s'était vidé sur mon visage.
Kader me lâcha et je tombais au sol. Ils sortirent tous sans mot dire sauf Luc qui m'aida à me lever.
- T'as bien assuré.
- Je peux m'essuyer ?
Il me tendis un rouleau de papier "essuie-tout" et je le passais sur mon corps, dans mes cheveux, sur mon anus.
- J'ai redescendu tes vêtements. Rhabille-toi. Je te conseille de ne pas remettre ton slip. Tu es encore tout collant et ça sera désagréable dans le train.
J'avais mal partout et j'aurais voulu prendre une douche. J'avais l'impression que dans le TGV, tout le monde allait sentir l'odeur du sperme sur moi mais je n'osais pas le demander. J'avais vraiment mal partout. Nous remontâmes dans le loft. Vincent, rhabillé, nous attendait.
- Je suis content de toi. Je demanderai à ton Maître de te renvoyer chez moi à l'occasion. Rentre bien.
Je ne dis rien. J'étais un peu fracassé. Luc m'aida à monter dans sa voiture :
- Ca va aller ?
- Aucun problème.
Quelques minutes plus tard, j'étais à ma place dans le train et à 20 h 30, j'étais rentré à la maison. Yvan me fit déshabiller et examina mon corps. Je dus lui raconter par le menu ce que l'on m'avait fait. Il m'embrassa et me fit dormir dans son lit.
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