Au début de ma 22ème année, Yvan entraînait des jeunes au rugby. Je ne sais plus si je vous en ai parlé mais il avait été semi-professionnel bien avant notre rencontre. Cette activité le tenait éloigné de la maison le lundi et le mercredi soir. Je ne savais pas vraiment ce qu'était son équipe ni quel était l'âge des joueurs. Il n'en parlait pas vraiment d'ailleurs. Cette nouvelle activité l'éloignait un peu de moi. Notre vie sociale s'en ressentait aussi. Pour ce qui était des week end SM, nous ils étaient un peu restés au placard pendant l'hiver. Je me doutais que nous allions retourner chez Jacques mais nous étions en mars et il ne nous recevait jamais vraiment avant fin mai. J'avais reçu assez peu de corrections ce qui laissait à ma peau le temps de se reposer un peu. Sexuellement, nous nous entendions toujours très bien car ni le boulot, ni les entraînement de rugby n'empêchaient Yvan de me sauter au moins une fois par jour. Pour ma part, j'avais un peu laissé tomber l'aviron pendant l'hiver et je reprenais petit à petit. C'était toujours lorsqu'une certaine routine que je trouvais confortable s'installait qu'il allait avoir de nouvelles idées assez saugrenues. Je crois que c'était à la fin du mois de mars qu'il décida qu'il était temps de rouvrir la maison de la Drôme. Il invita donc des copains venir passer le week end avec nous. Il y avait Gérard, un fervent de rugby et Kévin, un des jeunes joueurs qu'il entraînait. J'avais déjà aperçu ce dernier. Il avait à peu près mon âge et je n'avais pas compris qu'il était un de ces joueurs car je les pensais bien plus jeunes. Gérard, quant à lui était un homme que j'avais toujours vu dans l'entourage d'Yvan. Je ne sais pas vraiment quelles étaient leurs relations passées mais, à l'époque, il avait la cinquantaine et il était divorcé depuis déjà plusieurs années. Je ne voyais pas comment ce week end pouvait dériver vers le sexe et le SM avec une telle assemblée mais je faisais confiance à la perversité de mon Master pour savoir ce qu'il faisait. Le vendredi, il me fit préparer nos valises en étant, comme toujours, très précis sur ce que nous devions emporter comme fringues. Le lendemain matin, Gérard arriva le premier à la maison. Affable, je lui proposai du café. Il me regarda de pied en cap. Je n'étais pas tout à fait habillé. J'étais en tee shirt et en caleçon. Son regard de mâle hétéro viril me mis mal à l'aise.
- Eh dis donc Yvan, tu l'as bien dressé le petit !
- Qu'est-ce que tu crois. Il m'en fallait un obéissant, c'est pour ça que je l'ai pris aussi jeune.
Ils rigolèrent et je filai dans ma chambre finir de sauter dans mes vêtements avant de me faire engueuler. Quelques minutes plus tard, on sonna à la porte. Je n'avais pas entendu l'interphone mais Kévin entra dans l'appartement. Il avait tout du rugbyman, un physique de bourrin, un beau sourire et une excellente éducation. Je me suis toujours dit que les pratiquants de ce sports étaient des paradoxes vivants. Il s'approcha de moi et me serra chaleureusement la main.
Son regard rieur me plaisait. Yvan n'était pas dupe, il avait choisi comme invité, le mec de son équipe qui avait le plus de chance de me séduire. Je ne comprenais toujours pas du tout où il voulait en venir. Il s'assumait complètement en tant qu'homo dans ce milieu mais ses deux invités avaient, pour l'un une copine et pour l'autre une ex-femme et regardaient plutôt les seins des filles que les culs des mecs. C'est sur cette interrogation que nous prîmes la route. Il était tôt et nous arrivâmes dans la Drôme assez rapidement. Dans la voiture, la conversation était animée. Il était assez rare que je fréquente des garçons de mon âge alors je sympathisais avec Kévin. Il parlait de sport, je lui appris que je faisais de l'aviron. L'ambiance était très virile et très agréable. Dans la maison, nous avons fait les lits et commencé à préparer le déjeuner dans la même atmosphère. Yvan déboucha une bouteille de vin et nous déjeunâmes. L'alcool aidant, la conversation, habilement menée par Yvan, dévia sur le sexe. Il parlait à Kévin de sa copine dont j'avais remarqué l'absence. Yvan se fit plus précis :
- Allons, ne me dis pas que tu n'as pas de fantasmes comme baiser dans un ascenseur ou attacher Aurélie.
- Bien sûr que si mais quand tu fais des projets avec une personne, tu n'ose pas lui parler de ce genre de truc, déjà qu'elle aime pas trop que je la baise fort. Paraît que je lui fait mal.
- Il faut dire qu'avec la taille de ta queue...
- J'ai pas choisi. Les mecs aiment la mater sous la douche, ils en ont envie d'une pareille mais ce n'est pas tellement un avantage.
- C'est toujours un fantasme masculin les grosses bites, n'est-ce pas Étienne ?
- Euh... oui... Je trouve la tienne excitante...
Gérard ne disait rien, il souriait. Il écoutait cette conversation sans trop broncher. Yvan repris :
- Moi, par exemple, mon fantasme, c'est la domination, parfois, je punis Étienne même quand il n'a rien fait, juste pour m'exciter sexuellement.
- Tu le punis ???
- Oui, je suis un dominateur et il n'est pas seulement mon copain, il est aussi mon petit soumis.
- Il accepte ça ?
Ils faisaient comme si je n'étais pas dans la pièce et je commençais à voir le moment où il allait lui proposer une démonstration. Je n'en revenais pas, il avait décidé d'emmener ces deux hétéros purs et durs, plutôt conventionnels et légèrement bourrins dans ses délires pervers. Le plus incroyable était qu'il pouvait bien y arriver.
- Il n'a pas le choix, il le sait depuis le début. Allez Kévin, lève-toi et ouvre le tiroir de la commode qui est juste derrière-toi.
Le jeune homme s'exécuta et ses yeux s'arrondirent en voyant les menottes, canes, martinets et autres entraves qui se trouvaient-là.
- Je t'ai toujours soupçonné d'avoir des goûts bizarres, dit Gérard en souriant. Ca ne me surprend pas.
- Pas bizarres. C'est la normalité pour moi.
- Tu te sers de tout ça ?
- Ouais tu veux une démonstration ?
- Euh... Mais, il a rien fait, tu vas pas le battre pour rien...
- Je t'assures que si. Donne moi la plus petite des badines.
Kévin hésita et finalement l'apporta à Yvan.
- Tu vas quand même pas le frapper ?!
Yvan ne prêta aucune attention aux supplications de son invité il s'adressa à moi.
- Allez, en position.
Je baissais mon pantalon et m'allongeai à plat ventre sur l'accoudoir du canapé.
- Enlève carrément tout.
Je me relevai et m'exécutai. L'humiliation était totale. Je croisai le regard goguenard de Gérard et celui un peu incrédule de Kévin.
- Quinze coups et tu vas les compter.
- Un... deux... trois...
Yvan voulait frimer et il n'y allait pas de main morte, je supportais assez bien à ce moment-là mais je devais tout de même faire des efforts pour que mes mains ne reviennent pas sur mes fesses ou pour ne pas bouger.
- Sept... huit... neuf...
- Arrête, dit Kévin. C'est pas juste de le punir.
- N'inquiète pas, il a l'habitude.
- Quatorze... merci Yvan.
- Allez, la dernière.
- Quinze... aaarhhh
Mes mains se posèrent sur mes fesses brûlantes. Je sentis comme quelque chose d'humide. J'avais du saigner un peu.
- Alors les gars, c'est pas excitant de le voir souffrir pour moi.
Gérard marqua quelques secondes de silence.
- Franchement, ça me fait bander.
- Et toi Kévin ?
Il ne répondit pas mais son sexe était gonflé et comprimé dans son jean.
- Tu vois, c'est excitant un cul de mec surtout quand il rougit.
J'avais les larmes aux yeux lorsque je me rhabillais et allais leur servir le café. Ce n'était que le début du week end. Je me demandais bien comment tout ça allait évoluer...
A suivre...
- Eh dis donc Yvan, tu l'as bien dressé le petit !
- Qu'est-ce que tu crois. Il m'en fallait un obéissant, c'est pour ça que je l'ai pris aussi jeune.
Ils rigolèrent et je filai dans ma chambre finir de sauter dans mes vêtements avant de me faire engueuler. Quelques minutes plus tard, on sonna à la porte. Je n'avais pas entendu l'interphone mais Kévin entra dans l'appartement. Il avait tout du rugbyman, un physique de bourrin, un beau sourire et une excellente éducation. Je me suis toujours dit que les pratiquants de ce sports étaient des paradoxes vivants. Il s'approcha de moi et me serra chaleureusement la main.
Son regard rieur me plaisait. Yvan n'était pas dupe, il avait choisi comme invité, le mec de son équipe qui avait le plus de chance de me séduire. Je ne comprenais toujours pas du tout où il voulait en venir. Il s'assumait complètement en tant qu'homo dans ce milieu mais ses deux invités avaient, pour l'un une copine et pour l'autre une ex-femme et regardaient plutôt les seins des filles que les culs des mecs. C'est sur cette interrogation que nous prîmes la route. Il était tôt et nous arrivâmes dans la Drôme assez rapidement. Dans la voiture, la conversation était animée. Il était assez rare que je fréquente des garçons de mon âge alors je sympathisais avec Kévin. Il parlait de sport, je lui appris que je faisais de l'aviron. L'ambiance était très virile et très agréable. Dans la maison, nous avons fait les lits et commencé à préparer le déjeuner dans la même atmosphère. Yvan déboucha une bouteille de vin et nous déjeunâmes. L'alcool aidant, la conversation, habilement menée par Yvan, dévia sur le sexe. Il parlait à Kévin de sa copine dont j'avais remarqué l'absence. Yvan se fit plus précis :
- Allons, ne me dis pas que tu n'as pas de fantasmes comme baiser dans un ascenseur ou attacher Aurélie.
- Bien sûr que si mais quand tu fais des projets avec une personne, tu n'ose pas lui parler de ce genre de truc, déjà qu'elle aime pas trop que je la baise fort. Paraît que je lui fait mal.
- Il faut dire qu'avec la taille de ta queue...
- J'ai pas choisi. Les mecs aiment la mater sous la douche, ils en ont envie d'une pareille mais ce n'est pas tellement un avantage.
- C'est toujours un fantasme masculin les grosses bites, n'est-ce pas Étienne ?
- Euh... oui... Je trouve la tienne excitante...
Gérard ne disait rien, il souriait. Il écoutait cette conversation sans trop broncher. Yvan repris :
- Moi, par exemple, mon fantasme, c'est la domination, parfois, je punis Étienne même quand il n'a rien fait, juste pour m'exciter sexuellement.
- Tu le punis ???
- Oui, je suis un dominateur et il n'est pas seulement mon copain, il est aussi mon petit soumis.
- Il accepte ça ?
Ils faisaient comme si je n'étais pas dans la pièce et je commençais à voir le moment où il allait lui proposer une démonstration. Je n'en revenais pas, il avait décidé d'emmener ces deux hétéros purs et durs, plutôt conventionnels et légèrement bourrins dans ses délires pervers. Le plus incroyable était qu'il pouvait bien y arriver.
- Il n'a pas le choix, il le sait depuis le début. Allez Kévin, lève-toi et ouvre le tiroir de la commode qui est juste derrière-toi.
Le jeune homme s'exécuta et ses yeux s'arrondirent en voyant les menottes, canes, martinets et autres entraves qui se trouvaient-là.
- Je t'ai toujours soupçonné d'avoir des goûts bizarres, dit Gérard en souriant. Ca ne me surprend pas.
- Pas bizarres. C'est la normalité pour moi.
- Tu te sers de tout ça ?
- Ouais tu veux une démonstration ?
- Euh... Mais, il a rien fait, tu vas pas le battre pour rien...
- Je t'assures que si. Donne moi la plus petite des badines.
Kévin hésita et finalement l'apporta à Yvan.
- Tu vas quand même pas le frapper ?!
Yvan ne prêta aucune attention aux supplications de son invité il s'adressa à moi.
- Allez, en position.
Je baissais mon pantalon et m'allongeai à plat ventre sur l'accoudoir du canapé.
- Enlève carrément tout.
Je me relevai et m'exécutai. L'humiliation était totale. Je croisai le regard goguenard de Gérard et celui un peu incrédule de Kévin.
- Quinze coups et tu vas les compter.
- Un... deux... trois...
Yvan voulait frimer et il n'y allait pas de main morte, je supportais assez bien à ce moment-là mais je devais tout de même faire des efforts pour que mes mains ne reviennent pas sur mes fesses ou pour ne pas bouger.
- Sept... huit... neuf...
- Arrête, dit Kévin. C'est pas juste de le punir.
- N'inquiète pas, il a l'habitude.
- Quatorze... merci Yvan.
- Allez, la dernière.
- Quinze... aaarhhh
Mes mains se posèrent sur mes fesses brûlantes. Je sentis comme quelque chose d'humide. J'avais du saigner un peu.
- Alors les gars, c'est pas excitant de le voir souffrir pour moi.
Gérard marqua quelques secondes de silence.
- Franchement, ça me fait bander.
- Et toi Kévin ?
Il ne répondit pas mais son sexe était gonflé et comprimé dans son jean.
- Tu vois, c'est excitant un cul de mec surtout quand il rougit.
J'avais les larmes aux yeux lorsque je me rhabillais et allais leur servir le café. Ce n'était que le début du week end. Je me demandais bien comment tout ça allait évoluer...
A suivre...
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