dimanche 16 octobre 2011

Une bonne raclée (2ème partie)

Je restai un peu endolori tout l'après-midi des coups que j'avais reçu. Les trois autres ne parlaient de moi qu'à mots couverts pourtant Kévin vint vers moi lorsque je débarrassais la table du repas du soir.
- Ca arrive souvent que tu te prenne un correction ?
- C'est par période mais là Yvan y est allé un peu fort.
- Tu trouves ça excitant.
- L'humiliation pas trop mais souffrir pour mon mec oui, franchement. Je n'analyse pas du tout, je vis les choses.
- Ca m'épate.
- En tout cas, ça te fait bander, je l'ai bien vu tout à l'heure.
- J'ai pas pu m'en empêcher.
Yvan nous appela :
- Alors ça avance cette vaisselle ? Apportez-vous du café.
Je préparai ce qui m'avait été demandé et je suivis Kévin dans le salon. Je le regardais de dos. Il était impressionnant, musclé, trapu, puissant et j'imaginais aisément la taille de sa queue que Gérard et Yvan ne laissaient pas de mentionner. En plus il s'habillait comme un sportif, survêt, baskets, tee shirt un peu détendu. Nous étions encore en hiver et, malgré le chauffage, nous supportions bien nos pulls mais lui était en manches courtes. J'étais impressionné par ses bras. C'était une brute mais il avait quelque chose de jeune et viril qui le rendait charmant. Nous bûmes le café et, comme il se faisait tard, Yvan alloua leurs chambres à ses invités. Nous ne fûmes pas plutôt dans la nôtre qu'il me mordilla l'oreille et le cou. Je savais que j'allais passer à la casserole et ça me plaisait.
- Tu m'as donné du plaisir tout à l'heure et il est temps de me vider  les couilles tu crois pas ?
Je me laissais embrasser, longuement, langoureusement et il ne me fallut pas longtemps pour bander comme un âne. La proximité des invités me faisait flipper et m'excitait à la fois.
- Pas besoin d'êtres discrets, ils savent ce que c'est le cul ! C'est des adultes...
Je compris ce qu'il avait en tête. Il voulait que Gérard et Kévin nous entendent. Il me repoussa sur le lit et commença à enlever sa chemise puis s'allongea sur moi. Il me pinçait cruellement les tétons. Il savait que j'adorais ça et que ça me faisait gémir.
- Ca te plait, hein ?
Il me fit sucer son sexe violemment sans prendre le temps de me déshabiller entièrement.
- Bouffe salope ! 
Il parlait suffisamment fort pour que Kévin, dans la chambre d'à côté, nous entende. Il termina de se débarrasser de son jean et de son boxer puis me lécha le cul.
- J'adore quand tu as les fesses rouges, ça m'excite !
Il me pénétra d'un coup, m'arrachant un cri puis se mit à progresser en moi. Je m'accrochais à ses épaules en essayant de l'embrasser mais il me coucha sur le lit et remonta mes jambes de part et d'autres de son cou. J'étais immobilisé et je n'avais plus qu'à subir ses coups de queue. Je gémissais. Plus il me défonçait plus les sons qui sortaient de ma bouche étaient forts. On aurait pu croire qu'entre la taille de son sexe et sa brutalité, il m'aurait fait mal mais pas du tout. Il me transperçait littéralement et je me disais qu'il pouvait continuer toute la nuit.
- Tu l'aimes ma queue ?
- Oui...
- Tu la sens bien, là ?
Il parlait fort et je suis certain que nos invités entendaient. Il finit par éjaculer en moi et nous nous endormîmes. Le lendemain matin, ce fut le bruit d'une douche qui coulait dans la salle de bain qui nous éveilla. Il me chuchota à l'oreille :
- Je suis sûr que c'est Kévin, va te brosser les dents tu l'apercevra peut-être à poil. Tu verras la taille de sa queue, elle est impressionnante. Avant la fin du week end, elle sera dans ton cul, fais-moi confiance. 
Je me levais et enfilai quand même un des caleçons propres que j'avais emporté et me ruais dans la salle de bain. Sans prendre garde à la personne qui était sous la douche, je commençais à me passer la tête sous l'eau puis à me brosser les dents. 
Effectivement, quelques secondes plus tard, Kévin sortit de la douche en s'essuyant avec une serviette que je lui avait passé la veille. Il ne semblait avoir aucun complexe. Effectivement, la taille de sa verge, même au repos était impressionnante. Elle pendant sur sa cuisse et le diamètre était incroyable. Il ne sembla pas avoir de pudeur vis à vis de moi et me rejoignis devant la glace. Je fis mine de ne pas mater sa queue mais je suis persuadé qu'il avait vu mon manège.
- Bien dormi ?
- Ouais et toi ?
- Ouais. Pousse-toi, un peu je vais me laver les dents aussi. 
Je me décalai de quelques centimètres mais nos hanches se touchaient. Je me concentrais sur autre chose car j'avais une furieuse envie de bander.
- Ca l'avait excité Yvan hier soir...
- Tu nous a entendu ?
- Ouais.
- Ca te dégoûte pas trop deux mecs qui baisent ensemble ?
- Tu sais, au rugby, des mecs à poil on en voit tout le temps, il ne faut pas croire qu'il n'y a jamais d'attirance. On va pas au bout c'est tout.
Sa réponse était très étrange. Il me regarda et sourit.
- T'inquiète pas, je préfère la chatte de ma copine mais je me suis toujours demandé ce que ça faisait.
- Ah ?
- Tes fesses sont très marquées ? Tu me montres ?
Je baissais mon boxer sans discuter.
- Ah ouais, ça fait presque un hématome. T'as pas trop mal ?
- Ca va. Un peu quand je m'assois.
Il rigola puis acheva de se sécher. Il était encore plus impressionnant nu qu'habillé. Il ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans et il avait une masse corporelle incroyable. Il passa la main sur mes fesses et je vis son sexe se tendre un peu.
- La soumission ça m'a toujours excité. T'as raison, hier je bandais quand il t'a puni. 
Il enfila son calbut et son survêt mais resta pieds et torse nu.
- J'ai faim, tu viens prendre ton petit déj ?
- Je vais d'abord aller voir Yvan pour savoir s'il vient maintenant.
- Ah, on doit référer au Maître !
Il rigola. C'était un moment de complicité étrange avec ce jeune mec de mon âge que je ne connaissais presque pas.
Je retournai dans la chambre et racontai par le menu notre conversation à Yvan. 
- Rejoins-le dans la cuisine, j'arrive dans un moment.
Je descendis l'escalier, toujours en caleçon, la maison s'était réchauffée et il devait au moins faire 25 degrés à l'intérieur. Gérard s'était levé et buvais une tasse de café au bar de la cuisine. Il était aussi torse nu. Il avait de beaux restes mais il n'était pas du tout aussi impressionnant que Kévin. Je proposai des oeufs et du jambon, du café. Chacun prit sa commande. La conversation était assez banale sur la région, les bons vins et toutes les choses qui font les dialogues masculins mais je sentais le regard de Kévin dans mon dos. Yvan allait arriver à ses fins et, avant la fin de la journée, j'allais me faire sauter par le beau rugbyman. C'était incroyable. Yvan descendis en peignoir et s'installa avec nous. Il se montra ostensiblement empressé avec moi. Je trouvais ça gênant et j'étais un peu tendu. Ca l'énerva :
- T'as pas assez été puni hier ?
- Si...
- Tu veux une autre trempe ?
Il cherchait manifestement une occasion. Je ne répondis pas. 
- Qu'est-ce que vous en pensez, les mecs, je suis gentil et il me repousse, il mérite une raclée.
Gérard me regarda intensément.
- Ouais, je crois que t'as raison Yvan.
Il s'approcha de moi et me gifla à toute volée. Je tombais sur le tapis. Je ne pus m'empêcher de voir le petit sourire en coin d'Yvan.
- On règlera ça tout à l'heure. Si ça vous dit, on va s'habiller et se balader un peu. 
La tension retomba. La gifle de Gérard m'avait fait mal bien sûr mais elle m'avait surtout humilié terriblement. Je montai dans notre chambre sans dire un mot et enfilai un sweat shirt, des chaussettes, un jean et des baskets. Yvan me rejoignis.
- Je crois qu'on va bien s'amuser...
Il m'embrassa langoureusement.
- Et bande pas sinon tu seras puni deux fois.
Je souris. Nous rejoignîmes les deux autres et partîmes nous balader. Il faisait plutôt froid dehors et j'avais envie de rentrer dans la douce chaleur de la maison.  Il était presque midi lorsque nous passâmes la porte. Je servis l'apéritif. Yvan et les invités étaient installés dans le salon et parlaient sexe comme souvent. Kévin disait que sa copine n'aimait pas trop ça et que la taille de sa queue lui faisait un peu peur alors qu'elle se contractait à chaque rapport sexuel. Yvan s'adressa à moi :
- Tu sais que tu dois être puni. J'ai pas oublié.
- Oui...
- Ok, fous-toi torse nu et baisse ton jean. Tu te poses sur cette chaise à plat ventre. J'ai pas encore décidé ce que je vais faire de toi.
Je m'exécutais sans discuter. J'ôtais mon sweat shirt et baissais mon pantalon et mon slip puis me plaçais à quatre pattes sur une des chaises du salon. 
- Alors les gars, à votre avis, que mérite-t-il ?
Gérard s'approcha de moi.
- Dis-donc, il cicatrise vite. T'as vu ses fesses, elles sont presque plus bleues.
- T'es vicelard toi... Tu veux t'en charger ?
- Ok pas de problème. Avec la badine ?
- Ouais, vas dans le tiroir et choisis l'instrument que tu veux. Toi, fous-toi complètement à poil.
Je me relevais et me déshabillais entièrement. J'appréhendais terriblement la punition car, contrairement à ce que disaient Gérard et Yvan, mes fesses étaient encore douloureuses. 
- Tu lui donnes cinq coups bien appliqués. On verra après.
Ils me firent pencher sur un petit bureau qui se trouvait à l'autre bout de la pièce. Me retrouver complètement à poil devant ces deux mecs hétéros m'excitait et pourtant je me sentais très humilié. C'était une sensation bizarre, un mélange d'appréhension, de crainte, de plaisir de l'exhibition et de honte. Je serrai les dents et Gérard se plaça derrière moi.
- J'adorerai faire ça à une meuf.
- T'as qu'à venir à nos soirées du "Birch", parfois il y a des filles.
- Tu me diras quand aura lieu la prochaine.
- Sans problème, allez, commence.
Je reçus le premier coup assez fort et je ne pus réprimer un cri et un mouvement.
- Arrête de bouger. Dit Yvan. Celui-là comptait pas. Recommence Gérard.
Il frappa encore plus fort, la douleur était insupportable. Je bougeais à nouveau.
- Kévin, va lui tenir les bras sinon on va jamais en finir. On recommence.
Kévin eut un temps d'hésitation puis s'approcha de moi et me bloqua les bras très solidement en se mettant de l'autre côté du bureau. Mon supplice le faisait bander, c'était net. Je reçus un autre coup et serrait les dents. J'avais l'impression que mon cul était déjà en sang. Je sentais parfaitement les boursouflures que faisait la cane à chaque coup. Je criai franchement au quatrième et au cinquième. Kévin relâcha son étreinte. Les larmes coulaient le long de mes joues. Yvan s'approcha de moi me faisant tressaillir.
- Je te fais peur ?
- Non...
- Allez allonge-toi sur le ventre par terre sur le tapis.
J'obéis et me couchais. 
- Écartes tes jambes.
Encore une fois, je ne me fis pas prier. Il se baissa et passa la main sur mes fesses absolument brûlantes. Je tremblais un peu mais j'avais arrêté de pleurer.
- Kévin, attache-lui les mains.
Je sentis notre jeune invité hésiter à nouveau puis s'approcher de moi. Je ne pouvais voir que ses pieds. Il serra mes bras derrière mon dos et lia mes poignets avec une cordelette. 
- C'est pas assez serré. Allez, t'es un homme, arrête de faire ta gonzesse. 
Il resserra mes liens puis m'aida à me mettre à genoux. Il ne disait rien mais sa braguette était si gonflée qu'elle était prête à exploser. 
- Mets ta gueule par terre. Kévin, latte-lui le cul à coups de pompes. 
Je reçus un premier coup de pied assez faible.
- Allez, plus fort, c'est mou tout ça.
Un autre, puis un autre. Mes fesses déjà très irritées par les coups me faisaient mal et je tombais à plat ventre.
- Relève-le. 
Le jeune rugbyman s'approcha de moi et se baissa.
- Non, pas comme ça, avec tes pieds. Frappe !
Il me donna un coup dans les côtes et je repris la position tant bien que mal. Je cherchais un peu ma respiration. Il me donna d'autres coups de pieds sur les fesses et le dos. J'avais  mal c'était indescriptible.
- Allez, ça suffit. Maintenant, fais-toi sucer, je suis certain que t'en as envie.
- Non, c'est bon, laisse-le.
Gérard regardait la scène à l'autre bout de la pièce. Il encouragea son jeune copain :
- Allez Kév, une petite pipe, ça n'a jamais fait de mal à personne et tu bandes comme un taureau.
Un peu gêné, il défit les boutons de la braguette de son jean et sortit son sexe. Il était à peine plus impressionnant en action qu'au repos mais j'eus du mal à prendre son gland dans ma bouche. Je sentis ses mais se crisper sur ma tête. 
- Maintenant, tu vas prendre une capote sur le bureau et tu vas le ramoner.
- Non, laisse-le, tu vois bien qu'il n'en peut plus.
- T'as pas envie de te vider les couilles ?
Il eut une hésitation.
- Alors ?
- Si...
- Enfile une capote, c'est des king size, mets lui un peu de gel et défonce lui son cul.
J'étais toujours à quatre pattes, les mains attachées dans le dos . Il me libéra et me pencha sur le bureau. Yvan vint me tenir les bras. 
Je sentis le gel glacé contre mon anus. Maladroitement et fébrilement, Kévin me pénétra. C'était excellent, je ressentais chaque poussée de son sexe en moi. Je prenais un pied d'enfer mais je ne voulais pas le montrer trop car j'avais peur d'une nouvelle punition. 
- Allez, défonce !
Il me prit par les hanches et commença des va et viens de plus en plus violents. Je fus presque déçu quand il éjacula au bout de quelques minutes dans la capote. Il resta un instant en moi après avoir éjaculé en haletant bruyamment. Tout à coup, je vis qu'Yvan se branlait au dessus de moi. Je sentis son sperme couler sur mon dos et mes fesses.
- Allez Gérard, à toi.
- Non, pas cette fois mais c'était très excitant.
- Alors Kévin, t'as aimé.
- Ouais... C'était excellent. Je n'aurais jamais cru que j'allais être si excité.
- Allez, va l'aider à se doucher et lui passer de la crème sur les fesses.
Nous montâmes tous les deux dans la salle de bain sans mot dire pendant que les deux autres continuaient de prendre l'apéro. J'étais si meurtri que j'avais du mal à monter l'escalier. Je me reposai sur Kévin. Je me douchais ce qui me fit du bien car tout mon corps était endolori puis je m'allongeais à plat ventre sur le lit et Kévin soigna mes fesses avec un désinfectant et une crème à la cortisone. 
- T'aimes ça avoir mal ?
- Oui mais là je vais avoir du mal à me remettre.
- Je ne comprends pas ça.
- Tu as mal quand tu joue au rugby et que c'est violent. C'est une performance. 
- C'est vrai.
- Et Yvan attend ça de moi. Je ne veux absolument pas le décevoir. 
- Tu as aimé que je t'encule ?
- Ne le dis à personne mais oui.
- J'ai adoré te frapper et te voir souffrir. Ca me trouble. Je n'aurais pas cru avoir ce genre de fantasme. En plus, t'es un mec.
- Ne te pose pas de question. Si Yvan t'a invité c'est qu'il sentait que ça t'exciterait.
Je me rhabillais et nous allâmes déjeuner avec les autres comme si rien ne s'était passé. Mon corps était si douloureux et mes fesses si meurtries que j'eus du mal à m'assoir pendant plusieurs jours. Nous rentrâmes à Lyon en discutant joyeusement. Je rebaisais  Kévin plusieurs fois par la suite puis nous nous perdîmes de vue.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire