mercredi 14 décembre 2011

Marquage (3ème partie)

Je m'étais un peu calmé lorsque Jacques, Yvan et plusieurs autres mecs que je ne connaissais pas (dont ceux qui avaient assisté à ma tonte) entrèrent dans la cave. Avec eux se trouvaient également Patrick, Bara et un type impressionnant, costaud, voire même un peu gros, barbu, un vrai ogre de contes pour enfant. Ils s'approchèrent de la cellule et ouvrirent la grille. Yvan me désigna.
- C'est lui.
Le costaud me regarda en détails. 
- Il est jeune, il n'a même pas vingt ans.
- Vingt et un pour être précis.
- Il est à toi depuis longtemps ?
- Quelques années déjà.
Il me scruta encore. Les autres semblaient excités de me voir ainsi examiné. Jacques s'approcha de moi et me fit mettre à quatre pattes devant tout le monde. Je n'en n'étais plus à ça prêt et l'humiliation était totale. 
Yvan avait pris du recul. Il semblait prendre un plaisir pervers à me voir ainsi terrorisé. Il m'ordonna d'écarter mes fesses avec mes mains. C'était de pire en pire. Imaginez-moi nu devant des mecs habillés, la gueule par terre et ouvrant mon cul. Yvan et Jacques ne m'épargnaient rien. Le gros type s'approcha.
- Il sert souvent ?
- Je le saute tous les jours et il vide les couilles de mes potes régulièrement.
- Il a l'air serré quand même.
Je ne voyais pas le rapport avec mon marquage mais je continuais à me laisser palper comme de la viande. Autour de moi, les autres commençaient à se palper. J'étais le centre d'intérêt mais je m'en serai bien passé. Jacques prit la parole :
- Tu penses qu'il faut lui raser le cul ?
Le costaud répondis :
- Ouais ça peut se faire mais c'est pas indispensable. Tu sais c'est chauffé à rouge le poil n'est pas un problème.
- Yvan qu'est-ce qu'on fait, on lui rase ?
- Si c'est pas obligatoire, je préfère pas mais il faut que ça aille à notre bourreau. 
J'avais le visage totalement collé par terre et je ne pouvais pas voir mes tourmenteurs. tout d'un coup, je sentis des doigts qui s'inséraient en moi et tiraient les poils autour de mon trou du cul.
- Ca par contre, il faudra enlever parce que si je veux jouer avec lui avant ou après l'exécution, j'aime pas...
- On ne lui rase que la rondelle alors ?
- Pour moi, c'est d'accord, ça repoussera.
J'entendis la voix de Patrick s'élever à son tour :
- Il est quand même mignon le petit Etienne, même avec le cul rasé, il nous fera bander. 
Yvan s'approcha du "bourreau" et de moi. Il se pencha et me chuchota à l'oreille :
- Tu ne te débattra pas. N'oublie pas, je dois être fier de toi.
Je me mis à trembler encore plus. S'il insistait autant c'était que la sentence était terrible et que j'allais vraiment souffrir.
- J'ai peur...
- C'est normal d'avoir peur. Ce n'est pas une pratique courante mais tu as conscience que ça devient nécessaire pour marquer ton appartenance.
J'avais du mal à me contrôler, je vis les boots de moto d'Yvan s'éloigner de moi et le "bourreau" se pencher près de mon corps.


- Ca ne dure pas longtemps, tu verras, ça se passera bien.
Je tremblais de plus en plus. Patrick et un des mecs, un jeune, très mignon, m'aidèrent à me relever et m'allongèrent sur la couchette.
- On revient, on va te raser la rondelle.


A suivre...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire