En quelques secondes, mon trou du cul fut rasé de près par Patrick tandis que Bara m'appuyait sur les épaules pour que je ne bouge pas de la couchette de la cellule. Patrick se délectait de la situation. Plus j'attendais, plus mon angoisse montait et il le savait. Il se branla et éjacula sur mon dos. Je sentis son sperme couler.
J'espérais qu'on me laisserait au moins la compagnie de Cyril pour la nuit et que je n'attendrai pas le petit matin seul. C'était compter sans la dureté de mon Maître. Yvan exigea qu'on libère mon compagnon de cellule après qu'on nous ait apporté à manger. Je ne pouvais plus me rétracter. J'avais une peur bleue. Je transpirais, je ne réussissais pas à dormir. J'ai du me retourner vingt mille fois sur ma couchette livré à moi même en m'angoissant au moindre bruit. Vers une heure proche de l'aube il me semble j'entendis des pas descendre l'escalier qui menait à la cave. Je me mis à trembler et à claquer des dents d'une manière totalement incontrôlable. Il faisait noir et le mec qui marchait s'éclairait avec une minuscule lampe électrique. Je l'avais aperçu la veille mais je ne le connaissais pas. L'ambiance médiévale de la cave était renforcée par les torches accrochées au mur qu'il enflammait une à une. Il était jeune, assez beau, je l'avais déjà remarqué la veille. Il ne me regardait pas. Je ne voulais pas lui parler. La pièce s'éclairait petit à petit. D'autres pas descendirent l'escalier. Je ne pouvais plus me contrôler. Je me retournai contre le mur sous la couverture rêche et me recroquevillais comme pour me dire que si j'étais si tendu, ils n'arriveraient pas à se saisir de moi. D'autres gars étaient dans la pièce. Ils étaient habillés en noir. Je les avisai du coin de l'oeil. Ils chuchotaient. Ils installèrent quelque chose mais je ne voulais pas voir ce que c'était et je fermai les yeux encore plus fort. De longues minutes s'écoulèrent et j'entendis une clef tourner dans la serrure de la porte de ma cellule. Je me recroquevillai d'avantage. Encore des pas. C'était Jacques.
- Il faut te préparer. On a allumé le braséro, le bourreau est prêt, il ne manque plus que toi.
- Je ne veux pas. Je ne peux pas...
Je sanglotais. J'espérais qu'Yvan allait entrer dans la cellule mais je ne le voyais nulle part.
- Tu as promis à ton maître d'être courageux.
- Punissez-moi, faites ce que vous voulez mais pas ça...
- Allez les gars, attachez-le.
Bara et Patrick, en noir aussi, entrèrent dans la cellule et m'extirpèrent de la couchette. Je me débattais mais la force de Bara était telle que ses mains sur mes bras me broyaient les muscles. Je criais. Patrick leva les yeux au ciel.
- Et bien, on dirait que tu n'as jamais été torturé... Tu vas te calmer !
Ils me couchèrent à plat ventre sur le lit et me lièrent avec de la corde. C'était serré, je ne pouvais plus bouger ni les bras ni les épaules mais mes jambes restaient libres. Malgré moi, je les bougeais dans tous les sens. Je suppliais. J'étais vraiment pitoyable. Ils m'extirpèrent de la cellule. La pièce contigüe avait été totalement modifiée. Des gradins de fortune avaient été installés et au centre, une espèce de tréteau sur lequel j'allais être penché. Le "Bourreau" était là, il remuait les braises avec un morceau de métal qui était encore noir. Il commença à donner ses ordres.
- Allez les gars, installez-le.
Je fus saisi par les épaules et amené devant lui. Je cherchais Yvan des yeux. Il était au premier rang. Assis, torse nu. Je l'implorai du regard mais il se contenta de sourire. Patrick m'attacha sur le tréteau.
- Il risque de bouger quand même quand je m'approcherai avec le fer donc vous restez là et vous le tiendrez au besoin. Tu es prêt bâtard ?
Je ne répondis pas. Je tremblais, je claquais des dents. Je ne transpirais plus mais j'avais froid malgré la chaleur dégagée par le braséro. Lorsque Patrick m'attacha les jambes, mon corps se relâcha un peu. J'allais avoir mal quelques minutes, je savais que ça ne durerait pas mais voir ce type immense, énorme, comme devaient l'être les bourreaux médiévaux et tous ces regards braqués sur moi augmentaient mon angoisse. Je sentais l'odeur du fer qui rougissait petit à petit. Le bourreau se rapprocha de moi :
- Je vais te brûler légèrement à l'intérieur de la fesse afin qu'on ne te pose aucune question si tu dois passer des visites médicales. La douleur est intense mais elle ne durera pas. Aussitôt que j'aurais appliqué le fer et que je l'aurai retiré, tu seras détaché.
Je serrai les dents, je tremblais tellement fort que je ne l'entendis pas repartir vers le braséro. Je l'aperçus seulement regarder le Y rougi du fer puis le replonger dans le feu.
- C'est pas suffisant messieurs. Il faut que ce soir incandescent sinon la marque sera ratée.
Il tritura les braises encore un peu. Des flammes se formaient et retombaient et il retira le fer.
- Allez on y va.
Sans me contrôler je me mis à me débattre alors que mes liens me faisaient mal. Patrick me maintint très solidement. Le "Bourreau" écarta mes fesses et je ressentis une douleur indescriptible.
C'était presque pire que ce que j'avais imaginé. Je hurlais. Je ne me serais jamais cru capable de crier aussi fort puis mon corps se relâcha totalement. Je commençais à être gagné par une espèce de nausée comme au bord de l'évanouissement.
- C'est fini, dit Jacques. Détachez-le.
Je sentis les mains des deux aides de camps du "bourreau" dénouer les cordes et la lanière en cuir qui me tenait attaché mais j'étais incapable de bouger. Lorsque je ne me sentis plus tenu, je me laissais glisser doucement sur le sol. La dalle froide me fit du bien. La brûlure était douloureuse mais c'était presque supportable. Jacques prit la parole :
- Messieurs, nous allons le laisser reprendre ses esprits mais si vous voulez vous vider les couilles, Cyril vous attends sur le sling. Capotes et gel sont à votre disposition.
J'étais prostré sur le sol lorsque je vis les boots de moto de mon Maître. Je sentis la main d'Yvan sur mes fesses.
- Je t'ai évité la marque visible que je voulais te faire faire.
Je sanglotais. C'était une sensation terrible. Il continua :
- Là où tu es marqué, tu ne pourras pas servir pendant quelques jours. Tout à l'heure, Cyril te passera une pommade cicatrisante mais il faut encore qu'il bosse un peu... toi aussi d'ailleurs. Tu vas me sucer.
Je n'étais pas excité et je n'en n'avais aucune envie mais j'obéis et pris son gland dans la bouche. Je n'eus aucun effort à faire. Sa bite était d'une raideur indescriptible. Je me souviens des poils de ses bourses dans la bouches quand il me fit lécher. Il éjacula assez vite dans ma bouche et j'avalai tout sans en laisser une goutte. Il me releva et me porta sur la couchette de la cellule sans dire un mot. Il m'y allongea sur le ventre. J'avais du pisser sous moi car j'avais une impression d'humidité sur le ventre. La douleur était toujours là, lancinante. Je me détendis un instant mais elle me rappela à l'ordre pourtant, au bout de quelques minutes, ni les halètements de Cyril et des mecs dans la pièce d'à côté ni la brûlure ne m'empêchèrent de m'assoupir et de somnoler. Ce ne fut que lorsque l'on ramena mon compagnon de cellule que je m'éveillais. Il me passa la crème promise ce qui me soulagea un peu.
- C'était dur n'est-ce pas ?
- C'est de pire en pire. Il exige toujours plus et je n'arrive pas à me dire que je peux vivre sans lui.
- Ils vont de plus en plus loin, Jacques est pareil mais toi tu as une famille, peut-être des copains, un boulot... tu pourrais partir.
- Je ne bosse pas encore mais je pourrais partir. Depuis que j'ai dix-sept ans, je me dis ça et je ne le fais pas. J'ai l'impression qu'il pourrait me casser en morceaux et que je l'aimerai encore.
- Tu es complètement dingue. J'étais masochiste à la base je pense, mais je voudrais vivre autre chose. On dirait que toi non.
J'ai longtemps médité ses paroles. Je ne voulais pas qu'Yvan me quitte. J'avais plus peur de ça que de la pire des douleurs physique. Parfois, lorsqu'il me faisait mal ou me faisait faire mal, je ressentais du plaisir, parfois c'était l'horreur et pourtant je me pliais à tout.
Nous sommes rentrés à Lyon vers la fin de l'après-midi comme nous étions venus, avec la même station de radio d'info et le même silence. Une fois dans le salon, il me regarda me déshabiller. J'avais pleuré doucement pendant tout le trajet.
- Tu m'en veux ?
- Je ne sais pas.
- Tu pouvais partir et on pouvait se quitter.
- Je ne veux pas.
- Je le sais et j'en profite. Tu devrais partir. Je repousse les limites tout le temps.
- Tu ne veux plus de moi ?
- Tu m'appartiens plus que jamais non ?
- Oui.
Il m'embrassa et commença me caresser sur tout le corps, me faisant bander.
- Ne t'inquiètes pas, personne ne verra la marque. Elle est très bien placée et quand tu en auras marre de moi et que tu seras avec un mec normal, il ne te posera aucune question.
- Ca n'arrivera pas.
- Oh si, ça arrivera. Pas tout de suite. Pas l'an prochain, mais ça arrivera un jour.
- Non.
Il me sourit. Quelques mois plus tard, la brûlure ne se sentait plus au toucher. Personne par la suite ne m'a parlé de ce petit Y qui avait été la pire douleur que j'avais jamais ressenti.
J'espérais qu'on me laisserait au moins la compagnie de Cyril pour la nuit et que je n'attendrai pas le petit matin seul. C'était compter sans la dureté de mon Maître. Yvan exigea qu'on libère mon compagnon de cellule après qu'on nous ait apporté à manger. Je ne pouvais plus me rétracter. J'avais une peur bleue. Je transpirais, je ne réussissais pas à dormir. J'ai du me retourner vingt mille fois sur ma couchette livré à moi même en m'angoissant au moindre bruit. Vers une heure proche de l'aube il me semble j'entendis des pas descendre l'escalier qui menait à la cave. Je me mis à trembler et à claquer des dents d'une manière totalement incontrôlable. Il faisait noir et le mec qui marchait s'éclairait avec une minuscule lampe électrique. Je l'avais aperçu la veille mais je ne le connaissais pas. L'ambiance médiévale de la cave était renforcée par les torches accrochées au mur qu'il enflammait une à une. Il était jeune, assez beau, je l'avais déjà remarqué la veille. Il ne me regardait pas. Je ne voulais pas lui parler. La pièce s'éclairait petit à petit. D'autres pas descendirent l'escalier. Je ne pouvais plus me contrôler. Je me retournai contre le mur sous la couverture rêche et me recroquevillais comme pour me dire que si j'étais si tendu, ils n'arriveraient pas à se saisir de moi. D'autres gars étaient dans la pièce. Ils étaient habillés en noir. Je les avisai du coin de l'oeil. Ils chuchotaient. Ils installèrent quelque chose mais je ne voulais pas voir ce que c'était et je fermai les yeux encore plus fort. De longues minutes s'écoulèrent et j'entendis une clef tourner dans la serrure de la porte de ma cellule. Je me recroquevillai d'avantage. Encore des pas. C'était Jacques.
- Il faut te préparer. On a allumé le braséro, le bourreau est prêt, il ne manque plus que toi.
- Je ne veux pas. Je ne peux pas...
Je sanglotais. J'espérais qu'Yvan allait entrer dans la cellule mais je ne le voyais nulle part.
- Tu as promis à ton maître d'être courageux.
- Punissez-moi, faites ce que vous voulez mais pas ça...
- Allez les gars, attachez-le.
Bara et Patrick, en noir aussi, entrèrent dans la cellule et m'extirpèrent de la couchette. Je me débattais mais la force de Bara était telle que ses mains sur mes bras me broyaient les muscles. Je criais. Patrick leva les yeux au ciel.
- Et bien, on dirait que tu n'as jamais été torturé... Tu vas te calmer !
Ils me couchèrent à plat ventre sur le lit et me lièrent avec de la corde. C'était serré, je ne pouvais plus bouger ni les bras ni les épaules mais mes jambes restaient libres. Malgré moi, je les bougeais dans tous les sens. Je suppliais. J'étais vraiment pitoyable. Ils m'extirpèrent de la cellule. La pièce contigüe avait été totalement modifiée. Des gradins de fortune avaient été installés et au centre, une espèce de tréteau sur lequel j'allais être penché. Le "Bourreau" était là, il remuait les braises avec un morceau de métal qui était encore noir. Il commença à donner ses ordres.
- Allez les gars, installez-le.
Je fus saisi par les épaules et amené devant lui. Je cherchais Yvan des yeux. Il était au premier rang. Assis, torse nu. Je l'implorai du regard mais il se contenta de sourire. Patrick m'attacha sur le tréteau.
- Il risque de bouger quand même quand je m'approcherai avec le fer donc vous restez là et vous le tiendrez au besoin. Tu es prêt bâtard ?
Je ne répondis pas. Je tremblais, je claquais des dents. Je ne transpirais plus mais j'avais froid malgré la chaleur dégagée par le braséro. Lorsque Patrick m'attacha les jambes, mon corps se relâcha un peu. J'allais avoir mal quelques minutes, je savais que ça ne durerait pas mais voir ce type immense, énorme, comme devaient l'être les bourreaux médiévaux et tous ces regards braqués sur moi augmentaient mon angoisse. Je sentais l'odeur du fer qui rougissait petit à petit. Le bourreau se rapprocha de moi :
- Je vais te brûler légèrement à l'intérieur de la fesse afin qu'on ne te pose aucune question si tu dois passer des visites médicales. La douleur est intense mais elle ne durera pas. Aussitôt que j'aurais appliqué le fer et que je l'aurai retiré, tu seras détaché.
Je serrai les dents, je tremblais tellement fort que je ne l'entendis pas repartir vers le braséro. Je l'aperçus seulement regarder le Y rougi du fer puis le replonger dans le feu.
- C'est pas suffisant messieurs. Il faut que ce soir incandescent sinon la marque sera ratée.
Il tritura les braises encore un peu. Des flammes se formaient et retombaient et il retira le fer.
- Allez on y va.
Sans me contrôler je me mis à me débattre alors que mes liens me faisaient mal. Patrick me maintint très solidement. Le "Bourreau" écarta mes fesses et je ressentis une douleur indescriptible.
C'était presque pire que ce que j'avais imaginé. Je hurlais. Je ne me serais jamais cru capable de crier aussi fort puis mon corps se relâcha totalement. Je commençais à être gagné par une espèce de nausée comme au bord de l'évanouissement.
- C'est fini, dit Jacques. Détachez-le.
Je sentis les mains des deux aides de camps du "bourreau" dénouer les cordes et la lanière en cuir qui me tenait attaché mais j'étais incapable de bouger. Lorsque je ne me sentis plus tenu, je me laissais glisser doucement sur le sol. La dalle froide me fit du bien. La brûlure était douloureuse mais c'était presque supportable. Jacques prit la parole :
- Messieurs, nous allons le laisser reprendre ses esprits mais si vous voulez vous vider les couilles, Cyril vous attends sur le sling. Capotes et gel sont à votre disposition.
J'étais prostré sur le sol lorsque je vis les boots de moto de mon Maître. Je sentis la main d'Yvan sur mes fesses.
- Je t'ai évité la marque visible que je voulais te faire faire.
Je sanglotais. C'était une sensation terrible. Il continua :
- Là où tu es marqué, tu ne pourras pas servir pendant quelques jours. Tout à l'heure, Cyril te passera une pommade cicatrisante mais il faut encore qu'il bosse un peu... toi aussi d'ailleurs. Tu vas me sucer.
Je n'étais pas excité et je n'en n'avais aucune envie mais j'obéis et pris son gland dans la bouche. Je n'eus aucun effort à faire. Sa bite était d'une raideur indescriptible. Je me souviens des poils de ses bourses dans la bouches quand il me fit lécher. Il éjacula assez vite dans ma bouche et j'avalai tout sans en laisser une goutte. Il me releva et me porta sur la couchette de la cellule sans dire un mot. Il m'y allongea sur le ventre. J'avais du pisser sous moi car j'avais une impression d'humidité sur le ventre. La douleur était toujours là, lancinante. Je me détendis un instant mais elle me rappela à l'ordre pourtant, au bout de quelques minutes, ni les halètements de Cyril et des mecs dans la pièce d'à côté ni la brûlure ne m'empêchèrent de m'assoupir et de somnoler. Ce ne fut que lorsque l'on ramena mon compagnon de cellule que je m'éveillais. Il me passa la crème promise ce qui me soulagea un peu.
- C'était dur n'est-ce pas ?
- C'est de pire en pire. Il exige toujours plus et je n'arrive pas à me dire que je peux vivre sans lui.
- Ils vont de plus en plus loin, Jacques est pareil mais toi tu as une famille, peut-être des copains, un boulot... tu pourrais partir.
- Je ne bosse pas encore mais je pourrais partir. Depuis que j'ai dix-sept ans, je me dis ça et je ne le fais pas. J'ai l'impression qu'il pourrait me casser en morceaux et que je l'aimerai encore.
- Tu es complètement dingue. J'étais masochiste à la base je pense, mais je voudrais vivre autre chose. On dirait que toi non.
J'ai longtemps médité ses paroles. Je ne voulais pas qu'Yvan me quitte. J'avais plus peur de ça que de la pire des douleurs physique. Parfois, lorsqu'il me faisait mal ou me faisait faire mal, je ressentais du plaisir, parfois c'était l'horreur et pourtant je me pliais à tout.
Nous sommes rentrés à Lyon vers la fin de l'après-midi comme nous étions venus, avec la même station de radio d'info et le même silence. Une fois dans le salon, il me regarda me déshabiller. J'avais pleuré doucement pendant tout le trajet.
- Tu m'en veux ?
- Je ne sais pas.
- Tu pouvais partir et on pouvait se quitter.
- Je ne veux pas.
- Je le sais et j'en profite. Tu devrais partir. Je repousse les limites tout le temps.
- Tu ne veux plus de moi ?
- Tu m'appartiens plus que jamais non ?
- Oui.
Il m'embrassa et commença me caresser sur tout le corps, me faisant bander.
- Ne t'inquiètes pas, personne ne verra la marque. Elle est très bien placée et quand tu en auras marre de moi et que tu seras avec un mec normal, il ne te posera aucune question.
- Ca n'arrivera pas.
- Oh si, ça arrivera. Pas tout de suite. Pas l'an prochain, mais ça arrivera un jour.
- Non.
Il me sourit. Quelques mois plus tard, la brûlure ne se sentait plus au toucher. Personne par la suite ne m'a parlé de ce petit Y qui avait été la pire douleur que j'avais jamais ressenti.
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