Je n'étais pas très rassuré depuis l'arrivée de Dimitri. Il se faisait servir comme un prince et parlait sans arrêt en russe avec Yvan. Ils prenaient un air entendu. J'avais peur de ce qu'ils mijotaient. Il se faisait sucer sans arrêt et éjaculait sur mon visage pour le plus grand plaisir de mon maître. Jusqu'au deuxième jour, il ne m'avait pas baisé. En revanche, il m'avait giflé de nombreuses fois ce qui fascinait mon Maître. En sortant de la douche, il proposa quelque chose :
- Que pense-tu d'aller à la campagne ?
- Je pensais que tu me montrerais les endroits gay de Lyon.
- On pourra le faire en fin de semaine mais j'ai une autre idée pour débuter les vacances. Un de mes copains me prête sa maison. Si l'envie nous prends de maltraiter Etienne, il pourra crier, personne ne l'entendra.
Ils échangèrent un regard complice. La conversation avait eu lieu en français pour que je puisse entendre et avoir peur. Ce fut chose faite.
- Tu me montreras ce que tu infliges à tes soumis en Russie. Tu en as combien ?
- Deux, un homme et une femme.
- Tu ne les baise pas ?
- Si mais pour ce qui est d'Etienne, j'attends un peu. Il n'est pas assez soumis. Il faut le dresser davantage.
- Tu es venu pour ça n'est-ce pas. On se mettra en route après le petit déj.
Nous nous habillâmes. Je ne disais rien. Il y avait un je-ne-sais-quoi qui me faisait peur chez Dimitri. Je ne sais si c'était le fait qu'il était russe et que je ne comprenais pas une partie des conversations. Je pense aussi que l'extrême jubilation de mon Master ne me disait rien qui vaille. Je m'habillais avec les fringues qu'Yvan avait choisi. Bizarrement, il avait prévu un slip. Nous partîmes. Pendant tout le voyage, le deux complices parlaient en russe. Je ne comprenais pas un traître mot de ce qui se disait mais je devinais que ça me concernait. Nous arrivâmes chez Alex une demi-heure après. Je fus surpris de ce qui m'arriva. Nous fûmes accueillis par Slavko. Il m'extirpa de la voiture.
- Allez, ramène ton cul.
Je le suivis alors qu'il me tenait par le col de mon blouson. Il m'emmena jusqu'au garage et m'attacha très serré sur une chaise sans avoir pris le soin de me faire déshabiller. Il me banda les yeux et la conversation entre eux repris. Je les entendis s'éloigner. Dans le garage, il faisait froid. Malgré mon pull et mon tee shirt. J'eus l'impression d'attendre des heures mais je pense que mes geôliers revinrent au bout d'un quart d'heure. Yvan s'adressa à moi en français :
- Dimitri et Slavko trouvent que je te traite un peu trop bien. Je vais donc admirer la manière qu'ont les slaves de dresser leurs esclaves. Dimitri, chacun de tes esclaves a des obligations journalières ?
- Oui, nettoyer mes chaussures avec leur langue, me faire plaisir tout le temps. Je ne baise mon esclave fille que par le cul car elle n'aime pas ça. Je crois que l'esclave ne doit pas prendre son pied, c'est le privilège du maître.
- Tu penses donc qu'il faut le faire éjaculer avant de commencer la séance ?
- Pas forcément mais il n'a pas le droit de jouir du tout.
C'est une idée. Il restera sans jouir tout le week end.
Slavko m'enleva le bandeau sur les yeux. Je fus aveuglé par la lumière. Je ne voyais que leurs silhouettes. Ils me tirèrent les cheveux et Dimitri me gifla.
- Tu vas nous donner satisfaction !
Il me détacha de la chaise mes mains et mes chevilles restaient liées. Ils me firent tomber au sol.
- Lèche !
Il me tendis l'une de ses bottes. Malgré ma position et la douleur qu'occasionnaient les liens de mes chevilles qui étaient trop serré, je m'appliquai. Yvan posa son pied sur mon dos et une main sur ma tête.
- Mieux que ça ! Je dois être fier de mon slave.
Slavko cracha sur ma tête et sa salive coula sur la botte de Dimitri. Je m'empressai de nettoyer puis il me tendis son autre pied. Slavko me frappa les fesses avec sa semelle. C'était dur. J'étais dans la poussière de ciment du garage et je devais obéir. J'avais un peu peur de ce qu'ils me réservaient.
A suivre...
- Que pense-tu d'aller à la campagne ?
- Je pensais que tu me montrerais les endroits gay de Lyon.
- On pourra le faire en fin de semaine mais j'ai une autre idée pour débuter les vacances. Un de mes copains me prête sa maison. Si l'envie nous prends de maltraiter Etienne, il pourra crier, personne ne l'entendra.
Ils échangèrent un regard complice. La conversation avait eu lieu en français pour que je puisse entendre et avoir peur. Ce fut chose faite.
- Tu me montreras ce que tu infliges à tes soumis en Russie. Tu en as combien ?
- Deux, un homme et une femme.
- Tu ne les baise pas ?
- Si mais pour ce qui est d'Etienne, j'attends un peu. Il n'est pas assez soumis. Il faut le dresser davantage.
- Tu es venu pour ça n'est-ce pas. On se mettra en route après le petit déj.
Nous nous habillâmes. Je ne disais rien. Il y avait un je-ne-sais-quoi qui me faisait peur chez Dimitri. Je ne sais si c'était le fait qu'il était russe et que je ne comprenais pas une partie des conversations. Je pense aussi que l'extrême jubilation de mon Master ne me disait rien qui vaille. Je m'habillais avec les fringues qu'Yvan avait choisi. Bizarrement, il avait prévu un slip. Nous partîmes. Pendant tout le voyage, le deux complices parlaient en russe. Je ne comprenais pas un traître mot de ce qui se disait mais je devinais que ça me concernait. Nous arrivâmes chez Alex une demi-heure après. Je fus surpris de ce qui m'arriva. Nous fûmes accueillis par Slavko. Il m'extirpa de la voiture.
- Allez, ramène ton cul.
Je le suivis alors qu'il me tenait par le col de mon blouson. Il m'emmena jusqu'au garage et m'attacha très serré sur une chaise sans avoir pris le soin de me faire déshabiller. Il me banda les yeux et la conversation entre eux repris. Je les entendis s'éloigner. Dans le garage, il faisait froid. Malgré mon pull et mon tee shirt. J'eus l'impression d'attendre des heures mais je pense que mes geôliers revinrent au bout d'un quart d'heure. Yvan s'adressa à moi en français :
- Dimitri et Slavko trouvent que je te traite un peu trop bien. Je vais donc admirer la manière qu'ont les slaves de dresser leurs esclaves. Dimitri, chacun de tes esclaves a des obligations journalières ?
- Oui, nettoyer mes chaussures avec leur langue, me faire plaisir tout le temps. Je ne baise mon esclave fille que par le cul car elle n'aime pas ça. Je crois que l'esclave ne doit pas prendre son pied, c'est le privilège du maître.
- Tu penses donc qu'il faut le faire éjaculer avant de commencer la séance ?
- Pas forcément mais il n'a pas le droit de jouir du tout.
C'est une idée. Il restera sans jouir tout le week end.
Slavko m'enleva le bandeau sur les yeux. Je fus aveuglé par la lumière. Je ne voyais que leurs silhouettes. Ils me tirèrent les cheveux et Dimitri me gifla.
- Tu vas nous donner satisfaction !
Il me détacha de la chaise mes mains et mes chevilles restaient liées. Ils me firent tomber au sol.
- Lèche !
Il me tendis l'une de ses bottes. Malgré ma position et la douleur qu'occasionnaient les liens de mes chevilles qui étaient trop serré, je m'appliquai. Yvan posa son pied sur mon dos et une main sur ma tête.
- Mieux que ça ! Je dois être fier de mon slave.
Slavko cracha sur ma tête et sa salive coula sur la botte de Dimitri. Je m'empressai de nettoyer puis il me tendis son autre pied. Slavko me frappa les fesses avec sa semelle. C'était dur. J'étais dans la poussière de ciment du garage et je devais obéir. J'avais un peu peur de ce qu'ils me réservaient.
A suivre...