mercredi 28 septembre 2011

Séjour à Paris pour mes 21 ans (3ème partie)

Mon corps était totalement endolori par les coups que j'avais reçu. Je suçais quand même mon Master avec application. 
- Allez, bâtard, remercie-moi de t'avoir fait un si beau cadeau d'anniversaire.
Je redoublais d'efforts et tout à coup je sentis ses mains se crisper sur ma tête et le goût un peu javelisé du sperme d'Yvan emplir ma bouche. Il cria légèrement et nous restâmes dans cette position un moment puis il me repoussa. Je tombais à plat ventre sur le sol. 
Il entra son sexe dans son pantalon et rajusta son blouson. 
- Voilà les mecs. Cette fois il est à vous.
Je relevai la tête avec un air paniqué. 
- Je vais te laisser avec eux. On a bien joué. Maintenant ils vont faire de toi ce que bon leur semble.
- Tu m'avais promis...
- Allez, bâtard, un peu de courage. Tu devrais déjà être content, tu m'as donné du plaisir. 
Je sentis les mains de Luc sur mes épaules. J'essayai de me lever pour supplier Yvan de rester mais j'étais bloqué.
- Allez, faites ce que vous avez à faire, je vous attends dans la voiture. 
Je le vis s'éloigner et gagner un coin du hangar qui n'était pas éclairé. Je paniquais. Et si tout ça n'était pas un jeu ? Si Yvan m'avait vraiment abandonné ? Si Luc et ses acolytes n'étaient pas des skins de carnaval mais de vrais fachos... J'avais peur. Je n'avais pas entendu Yvan sortir de l'entrepôt mais je n'eus pas le temps de dire ouf. Luc m'ordonna de me mettre à plat ventre sur le sol. Presque machinalement, j'obéis. L'un des mecs posa sa pompe sur mon visage.
- Maintenant, on va faire ce qu'on veut de toi. Tu vas morfler.
Je reçus un coup de pied dans les côtes qui me coupa le souffle. Yvan m'avait vraiment abandonné à ces cinglés et ils allaient me massacrer. Je tremblais. Le poids de la ranger pesait sur mon visage. L'un des mecs, je ne voyais pas lequel commença à marcher sur mon dos qui était déjà endolori par les coups que j'avais reçu. Je tentais de hurler mais j'avais du mal à respirer. Bizarrement, sous moi, je continuais à bander. Il me donnait des coups de semelles sur les fesses. 
- On va te défoncer !
Je n'avais pas vu qui était en train de piétiner mon dos et mes fesses mais il était lourd. Je reprenais comme je pouvais ma respiration. Il descendit et je fus saisi de toutes parts. Ils m'emmenèrent dans un autre coin de l'entrepôt et me déposèrent sur une table. Je reçus plusieurs crachats.
- T'es à nous maintenant ! T'es prêt à nous vider les couilles ? Vous avez, vu les mecs, il bande ! 
Je cherchais Yvan du regard. Le hangar était peu éclairé mais je ne le voyais nulle part. Luc me tenait les jambes relevées. Il me crachait au visage encore et encore. J'avais un peu peur mais la situation était excitante. L'un des mecs cracha à son tour dans mon cul et enfonça un doigt qui me fit mal. Je tentais de me débattre mais Luc était costaud et je du supporter la queue de son pote qui entrait en moi brutalement. Il me défonçais. J'avais mal. Lorsque l'on a mal l'or d'une sodo, je trouve qu'on débande vite et pourtant ce ne fut pas le cas. Il se coucha un peu sur moi et je sentais son haleine. Une odeur de bière. Tandis qu'il me prenait, il gueulait :
- Sâle bâtard. T'aimes ça ! T'aimes ça ! 
L'autre se branlait et les mains de luc me faisaient mal aux jambes. Le plus curieux était que je ressentais du plaisir. C'était très bizarre. Il se contracta et éjacula. J'espérai qu'il avait une capote car je ne pouvais pas m'en rendre compte. L'autre mec prit la relève sans m'humecter encore une fois l'anus. Je criai. Luc me gifla.
- Ta gueule ! Allez Fabrice défonce-lui son cul !
Il me pilonna mais je ne ressentais plus rien. Il sentait encore plus la bière et la transpiration que l'autre mec. Il me giflait à tour de bras.
- Réagis ! Bouge ton cul ! 
Fabrice était très laid. Il avait un visage dur. Il était vraiment effrayant. Il posa ses mains sur mon cou et commença à serrer tandis qu'il continuait à me baiser. Je me débattais. Je suffoquais. Je bandais terriblement. Il me faisait mal mais j'étais très excité. Je le sentis à son tour se contracter et éjaculer.  Il poussa un cri, desserra son étreinte et s'effondra sur moi. Je repris mon souffle. Il se retira et disparu à son tour. J'étais désormais seul avec luc.
- Maintenant, tu es mon slave. Il va falloir me faire plaisir.
J'essayai de me lever mais j'avais trop mal partout pour aller bien loin. Fabrice et son acolyte sortirent de l'ombre et me bloquèrent le passage. Luc s'approcha de moi.
- Tu n'iras nulle part. Tu es à moi maintenant. 
Je paniquais à nouveau.
- Allez les mecs, remettez-le sur la table.
Je fus soulevé du sol et remis en position sur la table métallique. Je tremblais. Je me demandais bien pourquoi Yvan attendait depuis si longtemps dans la voiture. Qu'est-ce qui allait encore m'arriver ? Cette fois, c'était le dénommé Fabrice qui me tenait les jambes relevées et le cul offert. Luc me regarda droit dans les yeux.
- T'as aimé qu'on te serre la gorge pendant que tu te faisais défoncer. On va aller plus loin. Je t'avais prévenu en début de soirée.
Il approcha son visage du mien.
- Maintenant, tu m'appartiens. Je peux faire de toi ce que je veux.
J'avais peur mais j'étais excité à la fois. Cette soumission extrême et contrainte me fit bander sans que je puisse le contrôler. Luc entra un doigt dans mon cul. 
- Mes potes ont bien fait le passage. 
Il ôta son ceinturon de son pantalon et me passa la sangle en cuir autour du cou.
- Je t'avais prévenu. Je vais t'étrangler et te baiser en même temps. Tu es à moi... rien qu'à moi... 
Il déchira une capote. J'étais à la fois totalement paniqué et excité. La sueur froide coulait partout sur mon corps lorsqu'il entra en moi. Ses coups de rein étaient espacés et violents. Il était profondément planté dans mon cul. Ses mains serraient le cuir qui enserrait mon cou. Je suffoquait de nouveau. Je ne pouvais plus respirer. En plus, la douleur était intense pourtant je bandais très dur. La sensation était absolument inédite. Ses coups de reins s'intensifièrent. Le contact de sa queue à l'intérieur de mon anus et le manque d'air provoquaient en moi un plaisir intense et une panique conjuguées. J'eus l'impression de perdre un peu connaissance comme quand on a abusé du poppers. L'étau de ses mains se desserra légèrement et je pris une profonde respiration puis la sangle m'étrangla à nouveau. Il toucha à peine mon pénis et mon sperme inonda mon torse. 

Il se retira et cessa de m'étrangler puis jouit à son tour sur ma poitrine et mon visage. Je toussais, haletais, reprenais péniblement ma respiration. La sensation était étonnante. J'étais vidé. Mon corps ne me faisait presque pas mal en dépit des coups reçus à l'extérieur comme à l'intérieur. Fabrice me lâcha et je me laissai tomber sur le sol. J'étais dans un étrange état. Je voyais leurs pompes au niveau de mon visage. Ils m'aidèrent à me relever et je vis Yvan se diriger vers moi sortant comme par enchantement d'un coin d'ombre.
- Tu as eu peur ?
Je ne répondis pas, je me blottis dans ses bras. Les autres sortirent de mon champ de vision en lui tapant sur l'épaule.
- Tu as vraiment cru que je t'avais abandonné ?
- Je ne sais pas.
Il me caressait doucement la tête alors que je m'accrochais à lui.
- Je t'avais dit que tu te souviendrais de tes 21 ans. Ce que tu as subi est un contrôle de la respiration. Tout était prévu d'avance. C'est assez dangereux, il faut éviter de le faire mais je voulais que cette soirée soit spéciale.
Je me serrais dans ses bras et ne répondis rien. J'avais eu vraiment peur mais je ne lui en voulais pas du tout. J'avais vécu quelque chose de fort, d'effrayant et de fantastique à la fois. Il m'aida à me rhabiller et nous sortîmes. Les deux potes de Luc étaient partis et nous remontâmes en voiture. Nous en descendîmes devant notre hôtel. J'étais rompu et je m'effondrai sur le lit tout habillé. Yvan ôta mes vêtements et me lécha le corps, le visage, comme pour me nettoyer de ce que je venais de vivre. Il me pénétra doucement, sans aucune bestialité et éjacula en moi après seulement quelques va et viens. C'était à la fois doux et intense. Je m'endormis contre lui. Le lendemain, il m'emmena faire les boutique et m'acheta un très beau pull en cachemire avec un col roulé afin que je puisse planquer les marques sur mon corps et sur mon cou. Il m'emmena déjeuner dans un grand restaurant et nous rentrâmes à Lyon en fin d'après-midi. Ce fut une expérience vraiment unique. Bizarrement, notre relation un peu chancelante les mois qui avaient précédé, s'en trouva renforcée.

lundi 26 septembre 2011

Séjour à Paris pour mes 21 ans (2ème partie)

Je ne dormis pratiquement pas de la nuit. Je me blottis contre le corps nu d'Yvan. Il me laissa faire. Mes yeux étaient restés ouverts. J'appréhendais la soirée du lendemain. Nous nous levâmes assez tôt. J'essayai de me détendre un peu et de ne pas montrer mon appréhension à mon Master. Peut-être que le vendeur du sex shop ne le rappellerait pas... Nous prîmes un petit déjeuner très agréable dans la salle de restaurant de l'hôtel puis nous partîmes nous balader dans Paris. Nous traversâmes le jardin du Luxembourg, Yvan m'offrit plusieurs livres chez un bouquiniste du quai des Grands Augustins. Certains même un peu précieux. Nous passâmes une belle matinée comme un couple normal et heureux de se promener dans la capitale. Sur le coup de midi et demi, alors que nous déjeunions dans un petit bistrot, le téléphone de mon mec sonna. Il sortit pour parler. Je compris que c'était notre soirée qui se précisait. J'étais nerveux. Je ne sentais pas trop ce plan mais d'un autre côté, je me dis que nous avions failli nous séparer quelques temps plus tôt et qu'il m'avait promis de veiller sur ma sécurité. Il revint à table un bon quart d'heure après.
- Ce soir, c'est confirmé. On a rendez-vous à 20 h 30.
Je ne répondis pas, avalant difficilement ce qui était dans mon assiette.
- Tu me fais pas confiance ?
- Si...
- Mais t'as peur que ça tourne mal.
- Oui.
- Je serai là. Je ne te lâcherai pas d'une semelle et je te jure qu'on ne te fera rien que tu ne puisse supporter. 
- J'espère mais j'aurais préféré faire une soirée en club.
- Une autre fois. Là, j'ai envie de quelque chose de bien trash et un peu clandestin. Il faut que tu te souvienne de tes 21 ans.
- Oui mais tu ne connais pas Luc.
- Tu crois ?
- Tu l'avais déjà rencontré ?
- Non, mais j'ai pris mes renseignements.
Nous terminâmes de déjeuner puis il me proposa d'aller au Musée d'Orsay. J'acceptai avec enthousiasme en essayant de ne pas trop appréhender la soirée. Nous y passâmes l'après-midi. Le soir arriva trop vite et à 20 h 30 nous entrions dans le sex shop. J'étais nerveux et un peu de sueur glacée coulait le long de mon dos. Nous étions repassé à l'hôtel et Yvan m'avait fait changer de tee shirt et de pull. Il avait choisi de vieilles fringues car il avait du penser qu'elles allaient être malmenées pendant le plan. Luc nous accueillit en souriant. Il ferma le magasin et, tout en discutant avec mon mec, il nous amena à sa voiture.
- Ce n'est pas très loin et à cette heure-ci il n'y a pas de circulation. On en a pour moins d'une demi-heure. 
Je montais à l'arrière. J'avalais ma salive. 
- T'es prêt petit gars ? Tu vas passer à la casserole !
Je ne répondis pas. Yvan expliqua :
- Il a un peu la trouille.
- Il a raison, c'est un plan hard.
Nous roulâmes très vite sur l'autoroute. Je ne sais pas vraiment quelle direction nous avons pris mais nous sommes sortis rapidement. Une demi-heure plus tard, nous arrivâmes sur un terrain près d'un immense entrepôt. Il faisait nuit et je ne voyais pas du tout comment tout cela était fait. Luc ouvrit une large porte de garage et nous fit entrer. De faibles ampoules éclairaient l'intérieur. C'était immense, vide, avec des murs en parpaings bruts. Je ne voyais pas grand chose. Tout d'un coup, deux autres types sortirent de l'ombre. Ils étaient vêtus de jeans et de bombers. Ils se jetèrent sur moi et me déshabillèrent. 
- Allez, bâtard, laisse-toi faire. 
Sans que j'ai eu le temps de dire ouf, mon blouson et mon pull jonchaient le sol. Un mec me bloquait le cou avec son avant bras alors qu'un autre s'approchait de moi avec un couteau.
- Tu sais pourquoi t'es là ?
Je ne répondis pas. Mon agresseur me cracha au visage. 
- Tu ouvres ta gueule quand je te balance un mollard !
J'ouvris la bouche et il recommença. Son copain me tenait solidement. Je tremblais comme une feuille. Yvan s'approcha avec Luc.
- T'as confiance en moi ?
- Oui...
- Allez les gars, foutez-le à poil. 
Luc prit le couteau des mains de son copain et commença à découper mon tee shirt tandis que l'autre baissait mon jean et mon slip. Sans avoir eu le temps de réaliser, je me retrouvai nu en chaussettes avec des lambeaux de tee shirt sur le torse.
- Allez, on va l'attacher.
Ils m'emmenèrent dans un autre coin de l'entrepôt et me lièrent les mains à une poutre contre un mur. Mes pieds touchaient à peine le sol. Le mec qui m'avait menacé de son couteau s'approcha de moi.
- Tu vas être exécuté, tu le sais ?
Je fus pris de panique. Il était parfaitement crédible et Yvan ne bronchait pas. Le but du jeu était de m'effrayer et c'était parfaitement réussi. J'avais beau avoir une confiance aveugle en mon Master, j'étais impressionné par le contexte. Nous étions loin de tout et j'étais à la merci de mecs qui pratiquaient le sexe extrême. Je ne les connaissais pas et Yvan non plus. Je me dis que tout pouvait arriver. 

Luc s'approcha de moi et commença à me frapper le dos et les fesses brutalement avec une lanière. Je ne bandais pas. J'avais vraiment peur. Yvan regardait. Il n'avait pas arrêté de me demander si j'avais confiance en lui. Je me demandais ce que ça cachait. Les coups s'intensifiaient. 

Je criais à chaque fois que le ceinturon s'abattait sur mes fesses ou mon dos. Luc tapait fort. Bizarrement, le contexte commençait à m'exciter. Les mecs me regardaient souffrir et j'ai toujours eu un côté exhib. Ma peur reculait. Ils n'allaient tout de même pas me couper la gorge... 

Yvan ne les laisserait pas faire. Les coups recommencèrent de plus belle. Je hurlais. L'entrepôt était chauffé mais j'étais à poil et il ne devait pas faire plus de 18 degrés. La morsure du cuir était donc douloureuse. Je me tortillais mais la position ne m'aidait pas. J'avais du mal à trouver un appui alors que mes poignets me faisaient mal. Je commençais à ne plus supporter. Yvan fit signe de me détacher. Il me connaissait bien et il savait quand il fallait arrêter. Les deux autres me libérèrent un moment. L'un deux me chuchota à l'oreille :
- C'est que le début. Luc est très en forme. De toute manière on peut se lâcher...
Je tremblais, il m'attachèrent les mains dans le dos légèrement relevées et passèrent une corde autour de mon corps. Ma bouche crachait de la buée. Il faisait quand même froid et je transpirais. Yvan me regardait d'un air tout à fait intense. Je croisais son regard. Le mien se faisait implorant. Luc prit la parole :
- On continue ?
- Ouais, il a récupéré. 
Ils me firent mettre debout contre le mur et les coups reprirent. Je serrai les dents. Je ne voulais plus crier. Les deux autres mecs habillés en skins se tripotaient à travers leur jean. Je pouvais les voir du coin de l'oeil.

- On va reprendre un peu plus fort. T'as pas intérêt  à bouger.
Il frappa à nouveau. Un, deux, trois, quatre coups... je gémis malgré moi et perdis l'équilibre. Je m'effondrai sur le sol. Luc et l'un des autres mecs me firent mettre dans une position qui faisait ressortir mon cul. Les cordes me coupaient un peu la peau. J'étais très endolori. Yvan n'avait pas bougé. Il lança un ordre :
- Occupe-toi plus de ses fesses. Je trouve qu'elles ne sont pas bien marquées.

Luc repris les coups. Les objets changeaient, maintenant, il  y avait eu une raquette de ping pong et maintenant, il utilisait un paddle. Je ne sentais plus vraiment la douleur mais le bruit de chaque coup me faisait flipper. 
- Stop... Je ne peux plus...
 Je pleurais nerveusement. Les mecs me regardaient. J'étais sur le sol, complètement à leur merci. Je ne croyais plus vraiment qu'ils allaient aller plus loin. Je me dis qu'ils allaient me baiser et que ce serait fini. Je vis les rangers d'Yvan près de mon visage.
- Bon anniversaire mon chéri. Tu vois, tu souffres pour moi. Tu dois tout subir pour me plaire. Ce n'est que le début. Allez on continue.
Ils m'emmenèrent dans un autre coin de la pièce. Il y avait une espèce de chevalet improvisé et ils m'attachèrent dessus. Le plus costaud des mecs qui n'avait encore rien dit m'examina.
- Le dos ça va mais les fesses, faut qu'elles soient plus marquées. Tu devrais le frapper plus fort.
- Ouais mais j'ai pas droit à la badine ce soir... 
Luc rigola et les coups recommencèrent. Je n'avais plus froid du tout. J'étais totalement désinhibé. Je criai à chaque coup. C'était de plus en plus difficile à supporter. Yvan ne venait pas à mon secours. Je demandais d'arrêter mais je bandais finalement. 

- Allez, ça suffit, libérez-le et amenez-le moi.
Je pleurais quand ils m'ont détaché. J'avais du mal à marcher alors les deux mecs m'amenèrent devant mon master.
- C'est bien, tu résistes bien. On continue. Tu vas me sucer. 

Il ouvrit son pantalon et je pris son sexe dans la bouche. Luc me maintenait la tête. J'adorais le goût de sa bite et ça me consola un peu. Je commençais à être épuisé mais j'avais moins peur. La nuit ne faisait que commencer.

A suivre...

Séjour à Paris pour mes 21 ans (1ère partie)

Le lendemain de Noël, nous venions de baiser lorsqu'Yvan m'annonça que nous allions passer quelques jours à Paris et y fêter mon anniversaire. Mes parents n'étant pas revenus cette année-là, j'étais assez content. 

Je me doutais bien qu'il y aurait une contrepartie sexuelle mais ce n'était pas pour me déplaire. J'imaginais que je passerai la soirée de mes 21 ans au Keller ou dans un autre endroit du même genre. Nous prîmes donc le train dès le surlendemain de Noël. J'aimais bien voyager en TGV avec Yvan. Il lisait tout le long du trajet mais il était tout à moi sans aucune interférence. Je le regardais. Il était de plus en plus attirant. Les années semblaient le rendre encore plus excitant. Dès notre arrivée à Paris, son attitude changea. Il devint dur et exigeant. Lorsque nous arrivâmes à l'hôtel, il m'ordonna de ranger le contenu des valises dans les bagages. Il avait amené assez peu de matos SM, quelques vêtements et pour moi, des tee shirts des boxers et de chaussettes de rechange uniquement. J'allais porter toujours le même vieux jean, un pull et mon bombers. J'imaginais bien qu'il n'allait pas m'emmener dans des endroits chics mais l'hôtel était un Sofitel très confortable. Nous arrivâmes donc vers 16 heures et il m'informa qu'on allait se balader dans le Marais. Avant de quitter la chambre d'hôtel, il me plaqua contre le mur et m'embrassa :
- On va te trouver un petit cadeau...
Je lui rendis son baiser et nous nous engouffrâmes dans le métro. Yvan me regardait fixement. Il avait exigé que je me fasse couper les cheveux la veille. J'étais très looké comme il aimait. Mon jean était si usé que je m'attendais à le voir craquer à tout moment. Il adorait me voir habillé comme ça et je le savais. Nous descendîmes à Châtelet-les-Halles et commençâmes à nous balader dans le quartier. Il me fit entrer dans un sex shop de la rue Saint Denis et commença à regarder les martinets et autres fouets. J 'eus alors une idée de ce que j'allais avoir comme cadeau d'anniversaire. Il ne trouva rien, le vendeur asiatique ne nous regarda même pas. Nous continuâmes alors notre périple. Nos pas nous portèrent rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie en plein coeur du quartier gay. Manifestement, Yvan savait où il allait. Nous tournâmes dans une petite impasse et entrâmes dans un sex shop gay à la devanture discrète et minuscule. Le vendeur était habillé en militaire, les cheveux rasé, un débardeur noir et un treillis. Je le revois comme si c'était hier. Il était assez séduisant avec son petit air bourrin. Plusieurs mecs très typés SM regardaient les fringues en cuir, godes et autres accessoires. A l'intérieur, le magasin n'était finalement pas si petit. 

Le vendeur nous interpella :
- Salut les mecs vous cherchez quelque chose en particulier.
Yvan s'approcha du comptoir.
- Ouais, je voudrais un martinet. Un truc qui marque bien la peau.
- C'est pour lui ? Demanda le mec en me montrant de la tête.
- Oui, c'est mon slave.
- Très mignon. Tu sais les choisir.
- C'est mon mec attitré. Il va avoir 21 ans et je veux lui marquer un peu le dos et le cul pour l'occasion.
- J'ai pas mal de fouets et de martinets sur le tableau là-bas. Le mieux est que tu essaye maintenant.
Une espèce de panique s'empara de moi. Il n'allait quand même pas essayer les martinets ici devant tout le monde sur moi.
- T'as raison. C'est le plus simple. On peut se mettre où ?
- Descends les quelques marches et fais-le s'appuyer sur le banc ou la chaise.
Je regardai Yvan incrédule. Il n'allait quand même pas faire ça ?! Il me sourit.
- Fais pas cette tête, je peux pas t'acheter n'importe quoi, il faut bien essayer.
Il me prit par la nuque et me fit descendre les quelques marques.
- Allez, baisse ton jean.
J'hésitais.
- Baisse-ton jean, plus vite que ça ! 
J'ouvris ma braguette bouton après bouton et je descendis mon pantalon au niveau des genoux. J'étais en boxer. Les clients me regardaient du coin de l'oeil. Je me sentais humilié. Ce n'était pas assez pour Yvan.
- Allez, cul nu.
Je le regardai implorant. 
- Je peux quand même pas essayer les martinets sur ton slip ! 
Doucement, je baissais mon boxer. Le vendeur vint nous rejoindre. 
- Joli cul en plus ! 
- Ouais, je l'ai un peu choisi pour ça. Un soumis, ça doit avoir de belles fesses. Allez Etienne, penche-toi.
J'obéis, je pris appui sur le siège d'une chaise, mon corps maintenu par le dossier. Yvan prit un premier martinet et m'en donna trois ou quatre coups. Le vendeur le lui déconseilla.
- S'il a un peu d'expérience, ça va juste le caresser. Tu devrais plutôt essayer celui qui a de petites lanières courtes.
Un autre essai. Là, mes fesses étaient mordues plus cruellement par le cuir brut. Je bougeais un peu. Yvan ne s'énerva pas.
- En place.
J'obéis. Il frappa deux ou trois autres coups.
- Pas mal mais je trouve que le manche ne se tient pas bien.
Les clients du sex shop regardaient la scène. Certains se branlaient. J'étais partagé entre l'excitation et l'humiliation qui faisait que j'aurais voulu me trouver ailleurs. Yvan essaya un troisième martinet. Il tapait sèchement. Ca me faisait mal. Je laissais échapper un gémissement. L'un des clients se branlait de manière ostentatoire.

- Celui-ci n'est pas mal.
- Ouais mais si tu veux un truc qui laisse des marques, il vaut mieux une badine.
- J'en ai déjà plusieurs mais je trouvais que le martinet comme pour les sales gamins, c'était une bonne idée. 
- Il y a bien celui-là mais les lanières sont un peu coupantes. Il est pour des slaves expérimentées. 
- Envoie... Je vais essayer.
Les coups pleuvaient, secs, sonores, cuisants. Je gémissais franchement. Le vendeur s'adressa aux clients :
- Vous crachez pas dans le magasin les mecs, c'est moi qui nettoie. 
Yvan semblait galvanisé par l'excitation des autres et me flanqua une correction plus appuyées. Je bougeais à nouveau.
- Mets pas les mains ! En place !
Il recommença.
- Je vais prendre celui-là. Il me paraît bien. Allez, remets ton fut.
Je me rhabillai maladroitement. Yvan accompagna le vendeur jusqu'au comptoir. Je les entendis chuchoter alors que je les rejoignais sous l'oeil entendu des clients. 
- Tu vas l'emmener en club ?
- Je pensais aller au "Keller" demain soir. Ce soir je l'emmène au resto pour son anniversaire. 
- Si tu veux, demain soir, je vous organise un plan trash.
- Comment ça ?
- J'ai un pote qui a un entrepôt à une quarantaine de kilomètres. C'est isolé. Je peux réunir plusieurs mecs et on lui fait passer un bon anniversaire.
- Ouais, une touze ça me branche pas trop. Je veux plutôt un plan SM. 
- C'est ce que j'ai dans l'idée. Tu me laisse ton tel, j'organise ça et je t'appelle à midi demain. Si c'est ok, on se rejoint ici à 20 h et je vous emmène. L'entrepôt est vide mais j'emmènerai du matos et les mecs sont très hard. C'est le genre un peu skins. Ca te branche ?
- Pourquoi pas mais SSR obligatoire.
- Ca va sans dire. Tu veux combien de gars ?
- Pas plus de quatre s'il est le seul slave.
J'assistais à leur conversation complètement médusé. Pour mon anniversaire, j'allais avoir droit à une séance de torture dans un endroit isolé avec des types que je ne connaissais pas. Je redoutais qu'Yvan accepte.
- Ok pour moi. Ce sera une expérience différente. Il est déjà allé au "Keller" deux fois. Je compte sur toi...
- Moi c'est Luc.
- Ok, moi c'est Yvan et lui...
- Etienne, je t'ai entendu.
- J'amène quelque chose.
- Le martinet et ton petit slave. Ca sera parfait.
La conversation s'était tenue à voix basse. Yvan paya l'objet et acheta trois jockstrap et nous ressortîmes dans la rue.
- T'as peur ?
- Un peu...
- T'as pas confiance en moi ?
- Si bien sûr mais les skins...
- On verra bien, si ça tourne mal, j'arrête tout tu peux te reposer sur moi.
- D'accord...
Je le dis en tremblant. J'étais un peu terrifié par ce qui allait m'arriver. Le soir, Yvan m'invita à manger dans un restaurant russe qu'il connaissait dans le 17ème. C'était formidable, il était détendu et charmant. En rentrant, il me baisa longuement comme un amant normal qui veut faire plaisir à son compagnon. Je ne m'endormis pas. Le plan du lendemain me faisait vraiment peur.


A suivre...

vendredi 23 septembre 2011

Puni à la demande de sa copine (2ème partie)

Florent avait le cul et le dos rougis par les coups qu'il avait reçu. Jérôme prit la parole :
- Bon, maintenant il est temps de passer aux choses sérieuses. Etienne, fous-toi à poil et viens préparer son cul.
Je m'exécutais et me déshabillais entièrement. La douce chaleur de la pièce était agréable. Florent était à quatre pattes sur le tapis. Je me me dis qu'ils allaient m'ordonner de lui bouffer le cul. L'idée ne me réjouissais pas plus que ça car il avait transpiré et, à cet époque, je craignais vraiment les odeurs corporelles (depuis, je les supporte mieux). Je ne m'étais pas trompé. Yvan m'ordonna de le lécher afin de lui ouvrir le trou un maximum.
- Si on pouvait se passer de gel, ce serait mieux. 
- Ouais, il faut qu'il sente passer les bites.
A contre-coeur, je commençais à écarter ses fesses musclées et à passer timidement ma langue. Didier se fâcha :
- Mieux que ça bâtard ! Tu veux une raclée aussi ?
Son odeur ne me répugnait pas vraiment en fait. C'était la sueur de sportif, un peu âcre et écoeurante mais avec un petit quelque chose d'excitant. Il ne bronchait pas. Il avait peur, je m'en rendais compte. J'entrais ma langue plus profondément. Florent se dilatait un peu. Je trouvais la situation humiliante pour lui mais aussi pour moi. J'étais utilisé comme un tube de gel pour que ces messieurs puissent prendre leur pied ! Jérôme regarda sa future victime droit dans les yeux.
- Maintenant, tu vas nous sucer. Ton pote va t'aider. On va bander et passer dans ton cul à tour de rôle. 
Puis, s'adressant aux autres :
- Qui veut commencer ? Didier ?
- Honneur à Thierry, c'est le petit nouveau. 
Ce dernier sortit son sexe et, tandis que je suçais mon Master et Jérôme, Florent s'occupait de Thierry. Didier avait pris du recul. Il regardait la scène avec concupiscence. Il me plaisait décidément de moins en moins. Il donna des ordres à Florent :
- Cambre-toi mieux que ça qu'on voit ton cul. Excite-nous !
Thierry bandait très dur. Il enfila une capote et, sans que sa victime ait eu le temps de dire ouf, il se plaça derrière lui et lui entra son gland. Florent hurla.
- Arrête, je peux pas... Arrête !
Coup d'oeil entre Thierry et Jérôme.
- Continue. Et toi détends-toi, ça te fera moins mal.
Je continuait à les sucer. C'était vraiment dérangeant. Il n'était pas vraiment consentant, j'en était persuadé. Certes, il pouvait jouer la comédie mais j'en doutais. Thierry progressa en lui. Yvan et Jérôme le tenaient par les épaules.
- Ta gueule ! Encaisse !
Je voyais Florent se forcer à se décontracter. Thierry avait enfoncé complètement son sexe et faisait de petits va et viens. Florent gémissait, tenu solidement par les deux complices. Didier claqua des doigts et je dus aller le sucer. Je me cambrai pour avoir l'air excitant. La situation me plaisait beaucoup en fait. Je m'appliquait. Thierry défonçait le cul de Florent maintenant. Il gémissait juste, ne disait plus rien. Il éjacula dans la capote et, sans qu'il ait eu le temps de réaliser ce qui se passait, Didier m'avait laissé en plan et entrait en lui. Il le ramonait sans ménagement. Le gars avait les larmes aux yeux mais je pense qu'il commençait à avoir la bonne attitude. Jérôme le lâcha et Thierry prit le relais pour le tenir. Je me mis à  sucer le "chef". Je m'appliquais. Je savais que la raclée promise allait arriver si je ne le faisais pas. Il attendit que Didier se retire pour éjaculer et prit sa place.
- Ca te plait ?
- Ca va... c'est dur... 
- On arrête ?
- Euh...
- Si on arrête, Marie sera furieuse.
- On continue.
Jérôme entra en lui brutalement. Il était désormais couvert de sperme Didier prit la place d'Yvan. Celui-ci vint vers moi et m'embrassa langoureusement. Je me mis à bander aussi. Il me chuchota à l'oreille :
- Tu perds rien pour attendre.
Jérôme éjacula dans la capote assez rapidement et Yvan prit sa place. La taille de sa queue effraya un peu Florent qui se débattit.
- Pas lui. J'en peux plus... Arrêtez.
- Allez, un petit effort, le passage est fait.
Yvan ne lui laissa pas le choix. Il l'attrapa par les hanches et le pénétra avec une bestialité que je connaissais bien. Son corps, rougi par les coups et musculeux, était tendu comme un arc et je suis certain que cette fois, il n'y avait pas de comédie. Il avait eu mal. Il essaya de se dégager mais c'était impossible. Il transpirait à grosses gouttes. Il gémissait à chaque coup de rein de mon Master. Je savais ce que ça faisait et je me disais que quand on n'en n'a pas plus envie que ça, ça devait être terrible. Yvan n'éjacula pas. Il se retira. Les autres le lâchèrent et il retomba sur le sol tel une serpillère. Ce corps de sportif, tonique et musclé ressemblait alors à un bout de chiffon. Il était épuisé, sans doute endolori. Il resta ainsi un long moment et les autres se rhabillèrent. Yvan me prit dans ses bras.
- Allez, rhabille-toi, faut qu'on reprenne la route.
J'obéis. Florent se releva lentement. Ses cheveux courts étaient trempés de sueur. Jérôme lui jeta ses fringues sans dire un mot. Il se mit à côté de moi et se rhabilla en tremblant. Jérôme s'adressa à lui :
- T'as compris la leçon ?
- Oui...
- T'as sauvé ta relation. T'as pas mal encaissé. Marie sera fière de toi. 
- J'espère.
- Dur de se faire enculer ?
- Ouais... rien n'était facile.
- Allez, on se tire.
Nous montâmes dans les voitures après avoir fermé la maison. Yvan me caressa tendrement ce qui n'était pas son style.
- T'as vu ce qui t'attends si tu ne m'obéis pas ?
- Oui...
Nous rentrâmes à Lyon très rapidement. Nous avions à peine ouvert la porte de l'appartement que mon Maître se jeta sur moi et m'ôta mes vêtements en me léchant de partout. Je compris tout de suite pourquoi il n'avait pas éjaculé. Le plan l'avait excité et je devais profiter de sa montée de testostérone. Il me pénétra brutalement, comme ça, debout contre le mur et me pilonna fermement. J'étais excité. Je me branlais en même temps. Il me jeta par terre sur le carrelage du couloir et continua jusqu'à ce que je sente son sperme chaud couler en moi. J'éjaculai aussi. C'était un moment intense. Je ne l'ai pas regretté. Par la suite, j'ai revu Florent souvent, nous nous sommes fréquenté hors sexe aussi. Marie a fini par le quitter. Elle s'était lassée de lui. Sa carrière s'est arrêtée brutalement deux ans plus tard suite à  une blessure au genou. Je me suis toujours demandé s'il s'était vraiment fait mal en faisant du sport ou non.

mercredi 21 septembre 2011

Puni à la demande de sa copine (1ère partie)

* Les prénoms de Florent et de Jérôme ont été changés.

Ca pourrait faire le sujet d'un film porno SM pourtant l'histoire est véridique. En novembre, j'ai fait la connaissance de Florent, un sportif de haut niveau qui avait bien du mal à garder sa queue dans son caleçon. A cette époque, Jérôme venait très souvent à la maison. Son club et sa boutique de tatouages et de piercing marchaient bien. Il avait une activité sexuelle et SM très poussée. Je ne lui plaisais pas plus que ça et il préférait les femmes aussi je suis allé une ou deux fois dans son arrière boutique pour des plans cul et pour me faire humilier, c'est le mot, par lui et un ou deux de ses clients. Marie était une de ses habituées. La quarantaine élégante, elle aimait les tatouages. Elle s'en était fait faire plusieurs. Elle était ce qu'on appellerait aujourd'hui une "cougar" et elle vivait une relation assez passionnelle avec un Florent, un sportif professionnel beaucoup plus jeune qu'elle. Je l'avais aperçu une ou deux fois lors de soirées chez Jérôme. Il était très bien foutu et assez banal physiquement mais très attirant comme beaucoup de sportifs. Il était habillé en survêtement la plupart du temps et je le soupçonnais de s'entretenir de manière excessive. 

A Lyon, il était assez connu. Il n'était pas rare que les journaux rendent compte de ses performances. Florent était un séducteur patenté mais, jusque-là, d'après Marie, il avait été fidèle avec elle hors, un soir, Jérôme appela Yvan en lui demandant de la recevoir avec lui. Je fus relégué dans ma chambre mais je compris que la discussion concernait Florent. Je ne crois pas qu'il avait déjà participé à des plans SM mais je pensais que le but du jeu était de l'initier. Je n'avais pas tout compris mais j'allais vite revoir Florent. Le samedi suivant, nous partîmes tôt le matin et allâmes dans une maison isolée en Savoie, près de Chambéry. Je pense qu'elle appartenait à Marie. Jérôme nous y accueillit avec Didier, son associé. C'était un endroit perdu au milieu des bois. La propriété semblait très étendue. Il faisait un temps superbe pour un mois de novembre mais lorsque nous sommes arrivés vers 9 h, il faisait encore froid. 

Nous approchions quand même de l'hiver. Quelques temps plus tard, un 4x4 se gara dans la cour. Un mec en descendit. Je crois qu'il s'appelait Thierry mais je n'en suis plus sûr. Il avait le look d'un biker, très costaud, barbu, très tatoué. Manifestement, Yvan le connaissait. Il salua les deux autres et, comme d'habitude, ne me regarda pas. Il ouvrit le coffre de sa voiture. Florent était dedans pieds et poings liés. Yvan et lui le tirèrent de la voiture. Il était baillonné aussi. Ils le mirent debout et le maintinrent afin qu'il reste debout. Jérôme leur fit signe d'enlever le baillon. Il s'agissant d'adhésif et d'une chaussette. Dès qu'il le pu, Florent avala sa salive. Jérôme prit la parole :
- Tu sais pourquoi tu es là ?
- J'ai trompé Marie et elle m'a laissé le choix : soit elle me quitte, soit je suis puni.
- Tu as une idée de la punition.
- Je vais être enculé ?
- Oui, entre autres. Tu as quel âge ?
- Vingt-quatre...
- T'as déjà eu des rapports avec des mecs ?
- Non...
- Même pas sucé des bites ?
- Non.
- Tripoté ?
- Ouais un peu une fois.
- Tu vas goûter à la punition et à la baise entre mecs. Prends-le pour une épreuve sportive. On va commencer par t'épuiser un peu. Tu vas courir après la voiture attaché par les poignets. Si tu te casse la gueule on continue alors t'as intérêt à faire attention à toi.
Yvan dit à son tour :
- On le fait courir à poil ?
- Torse-nu ça suffira.
Il faisait froid, l'épreuve était difficile, je me dis qu'ils commençaient fort. Ils lui délièrent les mains et lui enlevèrent son blouson et son haut de survêtement. Il était super bien foutu, pas très poilu mais musclé sec. Il lui ôtèrent aussi son tee shirt et lui attachèrent les mains devant. Didier lui libéra les chevilles tandis que Thierry attachait ses mains à une chaîne munie d'un crochet à l'arrière du 4x4. Je me dis que je serais incapable de faire ça car, même si je m'étais mis au sport, je n'avais pas assez d'équilibre. 
- T'es prêt pour ta première épreuve.
- Prêt.
En bon sportif discipliné, Florent se pliait de bonne grâce à ce qu'on lui imposait. Nous montâmes en voiture. Thierry se mit au volant et démarra. Il prit l'allée centrale qui menait à la maison et accéléra. Florent était au petit trot derrière. Il tenait bien le rythme. Je voyais de la buée qui sortait de sa bouche. Il devait avoir froid en dépit de ce que son corps se réchauffait en courant. Thierry accéléra. Didier fit des commentaires :
- Il est pas mal. Je préfère les meufs mais je le sauterai volontiers.
- Un peu trop barraqué pour moi, dit Yvan, mais il est sexy. Allez accélère, là c'est pour les fillettes.
Thierry fit courir le mec encore plus vite, il tourna un peu sec dans une allée ce qui le fit trébucher mais il ne tomba pas. Il roula comme ça un temps qui me parut long mais qui ne dut pas excéder dix minutes avant de tourner à nouveau pour rejoindre la cour de la maison. Il accéléra encore. Jérôme y alla aussi de son commentaire :
- Il assure bien. Au moins il justifie sa paie de sportif.
Arrivé devant la maison, Thierry stoppa et nous descendîmes. Florent était hors souffle et il avait transpiré abondamment. On pouvait même voir de l'humidité sur son pantalon. Yvan lui balança une serviette en éponge et Jérôme repris :
- Détachez-le on rentre dans la maison.
Le jeune homme respirait fort et il nous suivit docilement. Je me demandais bien ce que je faisais là. Personne ne me calculait. J'étais totalement transparent. Nous entrâmes directement dans une grande pièce avec une cheminée où brûlait du bois. Il faisait bon. Il y avait peu de meubles. La pièce était claire et agréable. Jérôme marcha droit sur sa proie. Il le toisa comme un chef militaire qui fait une revue de détail. 
- T'es bien gaulé. Ca sert de faire du sport... Maintenant tu vas te foutre à poil.
- Complètement ?
- Ouais, qu'est-ce que tu crois ? Qu'on va te baiser si tu garde ton slip.
Il ôta ses baskets sans défaire les lacets puis baissa son survêt. Comme tout sportif habitué à se déshabiller devant les autres dans les vestiaires, il n'avait pas vraiment de pudeur. Il baissa son slip et enleva ses chaussettes puis se remit debout comme au garde-à-vous. Il était remarquablement bien foutu, environ 1m75, les jambes musclées et poilues, le torse puissant. Il me faisait fantasmer. Je me demandais ce qu'ils allaient lui faire car j'étais certain qu'ils ne se contenteraient pas de se faire sucer et de le sodomiser. Florent était assez bien monté. Vraiment, il avait tout ce qu'il fallait. Nu, il était plus attirant. Il sentait un peu la transpiration comme les sportifs. Alors que je crains les odeurs, je ne trouvais pas ça désagréable. Jérôme repris ses ordres :
- Allez, à genoux, tu vas nous sucer.

Il n'en n'avait manifestement pas envie mais il obéit. Yvan fut le premier à sortir son sexe de son jean. Je vis dans les yeux de Florent qu'il espérait qu'il ne le baiserait pas. Mon Maître était bien monté et il en était particulièrement fier. Après un temps d'hésitation il prit son gland dans sa bouche. Je voyais qu'il avait du mal à le faire. Les autres avaient baissé leurs pantalons et commençaient à se branler. On voyait bien qu'il n'avait pas l'habitude. Il ne bandait pas, son expression était un peu dégoûtée et il suçait timidement et maladroitement juste le gland d'Yvan.
- Alors, demanda Didier, il se débrouille comment ?
- Pas terrible, faudrait qu'il progresse.
- Etienne, désape-toi et viens lui montrer sur moi. 
Je m'exécutai et me mis nu entièrement assez rapidement. Je dois avouer que la situation m'excitait et je pris goulument la queue de Didier dans ma bouche. Je ressentis son excitation d'emblée. J'avais bien fait ce qu'il fallait.
- Regarde ce qu'il fait, apprends... ahh... bâtard. C'est pas pareil que de lécher une chatte.
Je branlais Thierry en même temps que je léchais et suçait Didier. C'était excitant. Yvan corsa le jeu.
- Il y arrive pas. On va lui donner de l'entrain. Les autres remontèrent leurs pantalons et se saisirent de lui.
- Penchez-le, on va le punir vraiment.
Jérôme défit la ceinture de son jean et la tendis à Yvan. 
- Je vais te frapper les fesses et le dos. Prêt ?
- Oui...

Il le fit pencher en avant et commença à frapper. Didier et Jérôme le tenaient. Je savais combien Yvan pouvait faire mal. Florent résistait. Il  tenait remarquablement le coup et ne gémissait pas. Il semblait prendre les coups de mon Master stoïquement. Son attitude énerva les autres.
- Plus fort... vas-y...
Yvan frappa plus fort. Florent commença à se débattre. Il était costaud mais ses "gardiens" aussi et il ne put bouger qu'une fois. Ils le remirent brutalement en place. La punition dura un long moment. Il respirait fort, transpirait... C'était un moment dur pour lui mais il était courageux.


A suivre...