Je ne dormis pratiquement pas de la nuit. Je me blottis contre le corps nu d'Yvan. Il me laissa faire. Mes yeux étaient restés ouverts. J'appréhendais la soirée du lendemain. Nous nous levâmes assez tôt. J'essayai de me détendre un peu et de ne pas montrer mon appréhension à mon Master. Peut-être que le vendeur du sex shop ne le rappellerait pas... Nous prîmes un petit déjeuner très agréable dans la salle de restaurant de l'hôtel puis nous partîmes nous balader dans Paris. Nous traversâmes le jardin du Luxembourg, Yvan m'offrit plusieurs livres chez un bouquiniste du quai des Grands Augustins. Certains même un peu précieux. Nous passâmes une belle matinée comme un couple normal et heureux de se promener dans la capitale. Sur le coup de midi et demi, alors que nous déjeunions dans un petit bistrot, le téléphone de mon mec sonna. Il sortit pour parler. Je compris que c'était notre soirée qui se précisait. J'étais nerveux. Je ne sentais pas trop ce plan mais d'un autre côté, je me dis que nous avions failli nous séparer quelques temps plus tôt et qu'il m'avait promis de veiller sur ma sécurité. Il revint à table un bon quart d'heure après.
- Ce soir, c'est confirmé. On a rendez-vous à 20 h 30.
Je ne répondis pas, avalant difficilement ce qui était dans mon assiette.
- Tu me fais pas confiance ?
- Si...
- Mais t'as peur que ça tourne mal.
- Oui.
- Je serai là. Je ne te lâcherai pas d'une semelle et je te jure qu'on ne te fera rien que tu ne puisse supporter.
- J'espère mais j'aurais préféré faire une soirée en club.
- Une autre fois. Là, j'ai envie de quelque chose de bien trash et un peu clandestin. Il faut que tu te souvienne de tes 21 ans.
- Oui mais tu ne connais pas Luc.
- Tu crois ?
- Tu l'avais déjà rencontré ?
- Non, mais j'ai pris mes renseignements.
Nous terminâmes de déjeuner puis il me proposa d'aller au Musée d'Orsay. J'acceptai avec enthousiasme en essayant de ne pas trop appréhender la soirée. Nous y passâmes l'après-midi. Le soir arriva trop vite et à 20 h 30 nous entrions dans le sex shop. J'étais nerveux et un peu de sueur glacée coulait le long de mon dos. Nous étions repassé à l'hôtel et Yvan m'avait fait changer de tee shirt et de pull. Il avait choisi de vieilles fringues car il avait du penser qu'elles allaient être malmenées pendant le plan. Luc nous accueillit en souriant. Il ferma le magasin et, tout en discutant avec mon mec, il nous amena à sa voiture.
- Ce n'est pas très loin et à cette heure-ci il n'y a pas de circulation. On en a pour moins d'une demi-heure.
Je montais à l'arrière. J'avalais ma salive.
- T'es prêt petit gars ? Tu vas passer à la casserole !
Je ne répondis pas. Yvan expliqua :
- Il a un peu la trouille.
- Il a raison, c'est un plan hard.
Nous roulâmes très vite sur l'autoroute. Je ne sais pas vraiment quelle direction nous avons pris mais nous sommes sortis rapidement. Une demi-heure plus tard, nous arrivâmes sur un terrain près d'un immense entrepôt. Il faisait nuit et je ne voyais pas du tout comment tout cela était fait. Luc ouvrit une large porte de garage et nous fit entrer. De faibles ampoules éclairaient l'intérieur. C'était immense, vide, avec des murs en parpaings bruts. Je ne voyais pas grand chose. Tout d'un coup, deux autres types sortirent de l'ombre. Ils étaient vêtus de jeans et de bombers. Ils se jetèrent sur moi et me déshabillèrent.
- Allez, bâtard, laisse-toi faire.
Sans que j'ai eu le temps de dire ouf, mon blouson et mon pull jonchaient le sol. Un mec me bloquait le cou avec son avant bras alors qu'un autre s'approchait de moi avec un couteau.
- Tu sais pourquoi t'es là ?
Je ne répondis pas. Mon agresseur me cracha au visage.
- Tu ouvres ta gueule quand je te balance un mollard !
J'ouvris la bouche et il recommença. Son copain me tenait solidement. Je tremblais comme une feuille. Yvan s'approcha avec Luc.
- T'as confiance en moi ?
- Oui...
- Allez les gars, foutez-le à poil.
Luc prit le couteau des mains de son copain et commença à découper mon tee shirt tandis que l'autre baissait mon jean et mon slip. Sans avoir eu le temps de réaliser, je me retrouvai nu en chaussettes avec des lambeaux de tee shirt sur le torse.
- Allez, on va l'attacher.
Ils m'emmenèrent dans un autre coin de l'entrepôt et me lièrent les mains à une poutre contre un mur. Mes pieds touchaient à peine le sol. Le mec qui m'avait menacé de son couteau s'approcha de moi.
- Tu vas être exécuté, tu le sais ?
Je fus pris de panique. Il était parfaitement crédible et Yvan ne bronchait pas. Le but du jeu était de m'effrayer et c'était parfaitement réussi. J'avais beau avoir une confiance aveugle en mon Master, j'étais impressionné par le contexte. Nous étions loin de tout et j'étais à la merci de mecs qui pratiquaient le sexe extrême. Je ne les connaissais pas et Yvan non plus. Je me dis que tout pouvait arriver.
Luc s'approcha de moi et commença à me frapper le dos et les fesses brutalement avec une lanière. Je ne bandais pas. J'avais vraiment peur. Yvan regardait. Il n'avait pas arrêté de me demander si j'avais confiance en lui. Je me demandais ce que ça cachait. Les coups s'intensifiaient.
Je criais à chaque fois que le ceinturon s'abattait sur mes fesses ou mon dos. Luc tapait fort. Bizarrement, le contexte commençait à m'exciter. Les mecs me regardaient souffrir et j'ai toujours eu un côté exhib. Ma peur reculait. Ils n'allaient tout de même pas me couper la gorge...
Yvan ne les laisserait pas faire. Les coups recommencèrent de plus belle. Je hurlais. L'entrepôt était chauffé mais j'étais à poil et il ne devait pas faire plus de 18 degrés. La morsure du cuir était donc douloureuse. Je me tortillais mais la position ne m'aidait pas. J'avais du mal à trouver un appui alors que mes poignets me faisaient mal. Je commençais à ne plus supporter. Yvan fit signe de me détacher. Il me connaissait bien et il savait quand il fallait arrêter. Les deux autres me libérèrent un moment. L'un deux me chuchota à l'oreille :
- C'est que le début. Luc est très en forme. De toute manière on peut se lâcher...
Je tremblais, il m'attachèrent les mains dans le dos légèrement relevées et passèrent une corde autour de mon corps. Ma bouche crachait de la buée. Il faisait quand même froid et je transpirais. Yvan me regardait d'un air tout à fait intense. Je croisais son regard. Le mien se faisait implorant. Luc prit la parole :
- On continue ?
- Ouais, il a récupéré.
Ils me firent mettre debout contre le mur et les coups reprirent. Je serrai les dents. Je ne voulais plus crier. Les deux autres mecs habillés en skins se tripotaient à travers leur jean. Je pouvais les voir du coin de l'oeil.
- On va reprendre un peu plus fort. T'as pas intérêt à bouger.
Il frappa à nouveau. Un, deux, trois, quatre coups... je gémis malgré moi et perdis l'équilibre. Je m'effondrai sur le sol. Luc et l'un des autres mecs me firent mettre dans une position qui faisait ressortir mon cul. Les cordes me coupaient un peu la peau. J'étais très endolori. Yvan n'avait pas bougé. Il lança un ordre :
- Occupe-toi plus de ses fesses. Je trouve qu'elles ne sont pas bien marquées.
Luc repris les coups. Les objets changeaient, maintenant, il y avait eu une raquette de ping pong et maintenant, il utilisait un paddle. Je ne sentais plus vraiment la douleur mais le bruit de chaque coup me faisait flipper.
- Stop... Je ne peux plus...
Je pleurais nerveusement. Les mecs me regardaient. J'étais sur le sol, complètement à leur merci. Je ne croyais plus vraiment qu'ils allaient aller plus loin. Je me dis qu'ils allaient me baiser et que ce serait fini. Je vis les rangers d'Yvan près de mon visage.
- Bon anniversaire mon chéri. Tu vois, tu souffres pour moi. Tu dois tout subir pour me plaire. Ce n'est que le début. Allez on continue.
Ils m'emmenèrent dans un autre coin de la pièce. Il y avait une espèce de chevalet improvisé et ils m'attachèrent dessus. Le plus costaud des mecs qui n'avait encore rien dit m'examina.
- Le dos ça va mais les fesses, faut qu'elles soient plus marquées. Tu devrais le frapper plus fort.
- Ouais mais j'ai pas droit à la badine ce soir...
Luc rigola et les coups recommencèrent. Je n'avais plus froid du tout. J'étais totalement désinhibé. Je criai à chaque coup. C'était de plus en plus difficile à supporter. Yvan ne venait pas à mon secours. Je demandais d'arrêter mais je bandais finalement.
- Allez, ça suffit, libérez-le et amenez-le moi.
Je pleurais quand ils m'ont détaché. J'avais du mal à marcher alors les deux mecs m'amenèrent devant mon master.
- C'est bien, tu résistes bien. On continue. Tu vas me sucer.
Il ouvrit son pantalon et je pris son sexe dans la bouche. Luc me maintenait la tête. J'adorais le goût de sa bite et ça me consola un peu. Je commençais à être épuisé mais j'avais moins peur. La nuit ne faisait que commencer.
A suivre...
- Ce soir, c'est confirmé. On a rendez-vous à 20 h 30.
Je ne répondis pas, avalant difficilement ce qui était dans mon assiette.
- Tu me fais pas confiance ?
- Si...
- Mais t'as peur que ça tourne mal.
- Oui.
- Je serai là. Je ne te lâcherai pas d'une semelle et je te jure qu'on ne te fera rien que tu ne puisse supporter.
- J'espère mais j'aurais préféré faire une soirée en club.
- Une autre fois. Là, j'ai envie de quelque chose de bien trash et un peu clandestin. Il faut que tu te souvienne de tes 21 ans.
- Oui mais tu ne connais pas Luc.
- Tu crois ?
- Tu l'avais déjà rencontré ?
- Non, mais j'ai pris mes renseignements.
Nous terminâmes de déjeuner puis il me proposa d'aller au Musée d'Orsay. J'acceptai avec enthousiasme en essayant de ne pas trop appréhender la soirée. Nous y passâmes l'après-midi. Le soir arriva trop vite et à 20 h 30 nous entrions dans le sex shop. J'étais nerveux et un peu de sueur glacée coulait le long de mon dos. Nous étions repassé à l'hôtel et Yvan m'avait fait changer de tee shirt et de pull. Il avait choisi de vieilles fringues car il avait du penser qu'elles allaient être malmenées pendant le plan. Luc nous accueillit en souriant. Il ferma le magasin et, tout en discutant avec mon mec, il nous amena à sa voiture.
- Ce n'est pas très loin et à cette heure-ci il n'y a pas de circulation. On en a pour moins d'une demi-heure.
Je montais à l'arrière. J'avalais ma salive.
- T'es prêt petit gars ? Tu vas passer à la casserole !
Je ne répondis pas. Yvan expliqua :
- Il a un peu la trouille.
- Il a raison, c'est un plan hard.
Nous roulâmes très vite sur l'autoroute. Je ne sais pas vraiment quelle direction nous avons pris mais nous sommes sortis rapidement. Une demi-heure plus tard, nous arrivâmes sur un terrain près d'un immense entrepôt. Il faisait nuit et je ne voyais pas du tout comment tout cela était fait. Luc ouvrit une large porte de garage et nous fit entrer. De faibles ampoules éclairaient l'intérieur. C'était immense, vide, avec des murs en parpaings bruts. Je ne voyais pas grand chose. Tout d'un coup, deux autres types sortirent de l'ombre. Ils étaient vêtus de jeans et de bombers. Ils se jetèrent sur moi et me déshabillèrent.
- Allez, bâtard, laisse-toi faire.
Sans que j'ai eu le temps de dire ouf, mon blouson et mon pull jonchaient le sol. Un mec me bloquait le cou avec son avant bras alors qu'un autre s'approchait de moi avec un couteau.
- Tu sais pourquoi t'es là ?
Je ne répondis pas. Mon agresseur me cracha au visage.
- Tu ouvres ta gueule quand je te balance un mollard !
J'ouvris la bouche et il recommença. Son copain me tenait solidement. Je tremblais comme une feuille. Yvan s'approcha avec Luc.
- T'as confiance en moi ?
- Oui...
- Allez les gars, foutez-le à poil.
Luc prit le couteau des mains de son copain et commença à découper mon tee shirt tandis que l'autre baissait mon jean et mon slip. Sans avoir eu le temps de réaliser, je me retrouvai nu en chaussettes avec des lambeaux de tee shirt sur le torse.
- Allez, on va l'attacher.
Ils m'emmenèrent dans un autre coin de l'entrepôt et me lièrent les mains à une poutre contre un mur. Mes pieds touchaient à peine le sol. Le mec qui m'avait menacé de son couteau s'approcha de moi.
- Tu vas être exécuté, tu le sais ?
Je fus pris de panique. Il était parfaitement crédible et Yvan ne bronchait pas. Le but du jeu était de m'effrayer et c'était parfaitement réussi. J'avais beau avoir une confiance aveugle en mon Master, j'étais impressionné par le contexte. Nous étions loin de tout et j'étais à la merci de mecs qui pratiquaient le sexe extrême. Je ne les connaissais pas et Yvan non plus. Je me dis que tout pouvait arriver.
Luc s'approcha de moi et commença à me frapper le dos et les fesses brutalement avec une lanière. Je ne bandais pas. J'avais vraiment peur. Yvan regardait. Il n'avait pas arrêté de me demander si j'avais confiance en lui. Je me demandais ce que ça cachait. Les coups s'intensifiaient.
Je criais à chaque fois que le ceinturon s'abattait sur mes fesses ou mon dos. Luc tapait fort. Bizarrement, le contexte commençait à m'exciter. Les mecs me regardaient souffrir et j'ai toujours eu un côté exhib. Ma peur reculait. Ils n'allaient tout de même pas me couper la gorge...
- C'est que le début. Luc est très en forme. De toute manière on peut se lâcher...
Je tremblais, il m'attachèrent les mains dans le dos légèrement relevées et passèrent une corde autour de mon corps. Ma bouche crachait de la buée. Il faisait quand même froid et je transpirais. Yvan me regardait d'un air tout à fait intense. Je croisais son regard. Le mien se faisait implorant. Luc prit la parole :
- On continue ?
- Ouais, il a récupéré.
Ils me firent mettre debout contre le mur et les coups reprirent. Je serrai les dents. Je ne voulais plus crier. Les deux autres mecs habillés en skins se tripotaient à travers leur jean. Je pouvais les voir du coin de l'oeil.
- On va reprendre un peu plus fort. T'as pas intérêt à bouger.
Il frappa à nouveau. Un, deux, trois, quatre coups... je gémis malgré moi et perdis l'équilibre. Je m'effondrai sur le sol. Luc et l'un des autres mecs me firent mettre dans une position qui faisait ressortir mon cul. Les cordes me coupaient un peu la peau. J'étais très endolori. Yvan n'avait pas bougé. Il lança un ordre :
- Occupe-toi plus de ses fesses. Je trouve qu'elles ne sont pas bien marquées.
- Stop... Je ne peux plus...
Je pleurais nerveusement. Les mecs me regardaient. J'étais sur le sol, complètement à leur merci. Je ne croyais plus vraiment qu'ils allaient aller plus loin. Je me dis qu'ils allaient me baiser et que ce serait fini. Je vis les rangers d'Yvan près de mon visage.
- Bon anniversaire mon chéri. Tu vois, tu souffres pour moi. Tu dois tout subir pour me plaire. Ce n'est que le début. Allez on continue.
Ils m'emmenèrent dans un autre coin de la pièce. Il y avait une espèce de chevalet improvisé et ils m'attachèrent dessus. Le plus costaud des mecs qui n'avait encore rien dit m'examina.
- Le dos ça va mais les fesses, faut qu'elles soient plus marquées. Tu devrais le frapper plus fort.
- Ouais mais j'ai pas droit à la badine ce soir...
Luc rigola et les coups recommencèrent. Je n'avais plus froid du tout. J'étais totalement désinhibé. Je criai à chaque coup. C'était de plus en plus difficile à supporter. Yvan ne venait pas à mon secours. Je demandais d'arrêter mais je bandais finalement.
- Allez, ça suffit, libérez-le et amenez-le moi.
Je pleurais quand ils m'ont détaché. J'avais du mal à marcher alors les deux mecs m'amenèrent devant mon master.
- C'est bien, tu résistes bien. On continue. Tu vas me sucer.
Il ouvrit son pantalon et je pris son sexe dans la bouche. Luc me maintenait la tête. J'adorais le goût de sa bite et ça me consola un peu. Je commençais à être épuisé mais j'avais moins peur. La nuit ne faisait que commencer.
A suivre...
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