vendredi 23 septembre 2011

Puni à la demande de sa copine (2ème partie)

Florent avait le cul et le dos rougis par les coups qu'il avait reçu. Jérôme prit la parole :
- Bon, maintenant il est temps de passer aux choses sérieuses. Etienne, fous-toi à poil et viens préparer son cul.
Je m'exécutais et me déshabillais entièrement. La douce chaleur de la pièce était agréable. Florent était à quatre pattes sur le tapis. Je me me dis qu'ils allaient m'ordonner de lui bouffer le cul. L'idée ne me réjouissais pas plus que ça car il avait transpiré et, à cet époque, je craignais vraiment les odeurs corporelles (depuis, je les supporte mieux). Je ne m'étais pas trompé. Yvan m'ordonna de le lécher afin de lui ouvrir le trou un maximum.
- Si on pouvait se passer de gel, ce serait mieux. 
- Ouais, il faut qu'il sente passer les bites.
A contre-coeur, je commençais à écarter ses fesses musclées et à passer timidement ma langue. Didier se fâcha :
- Mieux que ça bâtard ! Tu veux une raclée aussi ?
Son odeur ne me répugnait pas vraiment en fait. C'était la sueur de sportif, un peu âcre et écoeurante mais avec un petit quelque chose d'excitant. Il ne bronchait pas. Il avait peur, je m'en rendais compte. J'entrais ma langue plus profondément. Florent se dilatait un peu. Je trouvais la situation humiliante pour lui mais aussi pour moi. J'étais utilisé comme un tube de gel pour que ces messieurs puissent prendre leur pied ! Jérôme regarda sa future victime droit dans les yeux.
- Maintenant, tu vas nous sucer. Ton pote va t'aider. On va bander et passer dans ton cul à tour de rôle. 
Puis, s'adressant aux autres :
- Qui veut commencer ? Didier ?
- Honneur à Thierry, c'est le petit nouveau. 
Ce dernier sortit son sexe et, tandis que je suçais mon Master et Jérôme, Florent s'occupait de Thierry. Didier avait pris du recul. Il regardait la scène avec concupiscence. Il me plaisait décidément de moins en moins. Il donna des ordres à Florent :
- Cambre-toi mieux que ça qu'on voit ton cul. Excite-nous !
Thierry bandait très dur. Il enfila une capote et, sans que sa victime ait eu le temps de dire ouf, il se plaça derrière lui et lui entra son gland. Florent hurla.
- Arrête, je peux pas... Arrête !
Coup d'oeil entre Thierry et Jérôme.
- Continue. Et toi détends-toi, ça te fera moins mal.
Je continuait à les sucer. C'était vraiment dérangeant. Il n'était pas vraiment consentant, j'en était persuadé. Certes, il pouvait jouer la comédie mais j'en doutais. Thierry progressa en lui. Yvan et Jérôme le tenaient par les épaules.
- Ta gueule ! Encaisse !
Je voyais Florent se forcer à se décontracter. Thierry avait enfoncé complètement son sexe et faisait de petits va et viens. Florent gémissait, tenu solidement par les deux complices. Didier claqua des doigts et je dus aller le sucer. Je me cambrai pour avoir l'air excitant. La situation me plaisait beaucoup en fait. Je m'appliquait. Thierry défonçait le cul de Florent maintenant. Il gémissait juste, ne disait plus rien. Il éjacula dans la capote et, sans qu'il ait eu le temps de réaliser ce qui se passait, Didier m'avait laissé en plan et entrait en lui. Il le ramonait sans ménagement. Le gars avait les larmes aux yeux mais je pense qu'il commençait à avoir la bonne attitude. Jérôme le lâcha et Thierry prit le relais pour le tenir. Je me mis à  sucer le "chef". Je m'appliquais. Je savais que la raclée promise allait arriver si je ne le faisais pas. Il attendit que Didier se retire pour éjaculer et prit sa place.
- Ca te plait ?
- Ca va... c'est dur... 
- On arrête ?
- Euh...
- Si on arrête, Marie sera furieuse.
- On continue.
Jérôme entra en lui brutalement. Il était désormais couvert de sperme Didier prit la place d'Yvan. Celui-ci vint vers moi et m'embrassa langoureusement. Je me mis à bander aussi. Il me chuchota à l'oreille :
- Tu perds rien pour attendre.
Jérôme éjacula dans la capote assez rapidement et Yvan prit sa place. La taille de sa queue effraya un peu Florent qui se débattit.
- Pas lui. J'en peux plus... Arrêtez.
- Allez, un petit effort, le passage est fait.
Yvan ne lui laissa pas le choix. Il l'attrapa par les hanches et le pénétra avec une bestialité que je connaissais bien. Son corps, rougi par les coups et musculeux, était tendu comme un arc et je suis certain que cette fois, il n'y avait pas de comédie. Il avait eu mal. Il essaya de se dégager mais c'était impossible. Il transpirait à grosses gouttes. Il gémissait à chaque coup de rein de mon Master. Je savais ce que ça faisait et je me disais que quand on n'en n'a pas plus envie que ça, ça devait être terrible. Yvan n'éjacula pas. Il se retira. Les autres le lâchèrent et il retomba sur le sol tel une serpillère. Ce corps de sportif, tonique et musclé ressemblait alors à un bout de chiffon. Il était épuisé, sans doute endolori. Il resta ainsi un long moment et les autres se rhabillèrent. Yvan me prit dans ses bras.
- Allez, rhabille-toi, faut qu'on reprenne la route.
J'obéis. Florent se releva lentement. Ses cheveux courts étaient trempés de sueur. Jérôme lui jeta ses fringues sans dire un mot. Il se mit à côté de moi et se rhabilla en tremblant. Jérôme s'adressa à lui :
- T'as compris la leçon ?
- Oui...
- T'as sauvé ta relation. T'as pas mal encaissé. Marie sera fière de toi. 
- J'espère.
- Dur de se faire enculer ?
- Ouais... rien n'était facile.
- Allez, on se tire.
Nous montâmes dans les voitures après avoir fermé la maison. Yvan me caressa tendrement ce qui n'était pas son style.
- T'as vu ce qui t'attends si tu ne m'obéis pas ?
- Oui...
Nous rentrâmes à Lyon très rapidement. Nous avions à peine ouvert la porte de l'appartement que mon Maître se jeta sur moi et m'ôta mes vêtements en me léchant de partout. Je compris tout de suite pourquoi il n'avait pas éjaculé. Le plan l'avait excité et je devais profiter de sa montée de testostérone. Il me pénétra brutalement, comme ça, debout contre le mur et me pilonna fermement. J'étais excité. Je me branlais en même temps. Il me jeta par terre sur le carrelage du couloir et continua jusqu'à ce que je sente son sperme chaud couler en moi. J'éjaculai aussi. C'était un moment intense. Je ne l'ai pas regretté. Par la suite, j'ai revu Florent souvent, nous nous sommes fréquenté hors sexe aussi. Marie a fini par le quitter. Elle s'était lassée de lui. Sa carrière s'est arrêtée brutalement deux ans plus tard suite à  une blessure au genou. Je me suis toujours demandé s'il s'était vraiment fait mal en faisant du sport ou non.

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