Yvan et Jacques nous avertirent qu'à tout moment, chaque invité avait le droit de profiter de nous. Le premier fut Mickaël qui avait endossé le rôle de garde. Il arriva peu après leur départ. Il était jeune. Je pense qu'il était le benjamin des invités et des Masters. Il s'approcha de moi et baissa son pantalon.
- Suce.
Je m'exécutai. Je n'avais pas envie qu'il me frappe, la journée du lendemain allait être suffisante. Il me tenait la nuque. Il avait transpiré et n'avait pas pris de douche. Son odeur était presque désagréable. Il était mignon mais je le soupçonnait d'être quelqu'un de parfaitement insupportable dans la vie. Plusieurs mecs que je ne connaissaient pas vinrent ensuite. Si Mickaël s'était contenté de se faire sucer, ce ne fut pas le cas de tous. Un mec me baisa et deux autres s'occupèrent de Cyril. Il devait bien être deux heures du matin quand nous nous endormîmes. Mon "co-détenu" m'avertit que la journée du lendemain allait commencer tôt et qu'il valait mieux essayer de dormir. J'étais tellement fatigué que je ne demandai pas mon reste. J'avais l'impression d'avoir à peine fermé les yeux lorsque Patrick et Bara entrèrent dans la cellule. Ils venaient nous expliquer ce qui allait se passer et nous préparer pour l'exécution de la sentence. Patrick prit la parole, bien qu'il se maîtrisait tout à fait, je me rendis compte qu'il était très excité par la situation. Il s'adressa à moi en premier.
- Tu vas être conduit dans la cour et Bara te donnera les coups de badines auxquels tu as été condamné. La punition est publique et tu devras supporter la totalité.
- Oui...
Je tremblais. Je n'avais jamais pris autant de coups et je savais que Bara tapait fort, de plus, tout mon corps était encore endolori de la veille. J'avoue que mon excitation était un peu retombée. Patrick passa à Cyril :
- Quant à toi, ça se passera à l'intérieur. Tu vas être brûlé à la cire sur le corps et dans l'anus. Ca va te faire mal mais tu l'as mérité.
Il ne répondit pas. Patrick poursuivit.
- Tu vas assister à sa punition. Habille-toi.
Il lui lança un survêtement qu'il dût enfiler. Bara ne disait rien mais, une fois qu'il fut habillé, il lui enchaîna les chevilles et les poignets à la manière des prisonniers américains que l'on voit parfois à la télévision. Les gardes avaient changé. Ce fut Slavko et un autre gars qui emmenèrent Cyril dans la cour et qui vinrent me chercher. J'avais peur. Le jour se levai et nous n'étions qu'au mois de mai. J'étais entièrement nu et la cour était un peu froide le matin. Je tremblai de peur mais aussi de froid. Des gradins de fortune avaient été installés. J'avançai pieds nus sur les graviers. J'étais tétanisé et je cherchais Yvan des yeux afin de me donner du courage. D'abord, je ne le vis pas puis, je me rendis compte qu'il était assis derrière une table avec Jacques et Alban. Je fus conduit devant eux. Jacques rappela la sentence :
- Donc tu vas recevoir 30 coups de bâtons. Allez, on commence.
Je fus donc attaché au portique. Je savais que les prisonniers en Malaisie recevaient ce genre de punition. Bara choisit sa badine avec soin et prit son temps en la faisant siffler dans l'air. Ma peau était tendue par le froid et mes muscles totalement noués. Mon dos et mes fesses me faisaient encore mal mais ça allait être bien pire. Bara commença à frapper et à compter très fort en même temps.
- Un... deux... trois...
Il frappait alternativement mes fesses et mon dos. Je serrai les dents, laissant échapper un gémissement quand vraiment je ne pouvais pas faire autrement.
- Quatre... cinq... six... sept... huit...
C'était horrible, j'avais l'impression que la peau de mon dos et de mes fesses se déchirait. Pourtant, il me frappait assez rarement dans le dos et avec beaucoup moins de force. Il ne hurlait pas comme la veille, il était presque solennel.
- Neuf... dix... onze... douze... treize... quatorze... quinze...
J'avais du mal à respirer. Je laissais libre cours à mes cris. Je crois que j'ai même dû supplier une ou deux fois d'arrêter. Je n'osais pas prononcer le "stop" prévu car je me dis que si ma peine était commuée, ça allait être pire.
- Seize... dix-sept... dix-huit... dix-neuf... vingt... vingt-et-un...
La tête me tournait. J'avais presque l'impression que j'allais perdre connaissance. Les coups sur mon dos étaient plus fort mais je les supportais mieux. J'avais l'impression fugace lorsque, certaines fois, la badine s'abattait sur moi, que je ne ressentais rien puis ma peau me cuisait quelques secondes plus tard.
- Vingt-deux... vingt-trois... vingt-quatre... vingt-cinq...
J'avais fait le plus dur, il fallait tenir. Je hurlais à chaque coup. C'était insupportable. Je faisais dos au public et quand j'ouvrais les yeux, je ne voyais que le mur.
- Vingt-six... vingt-sept... vingt-huit... vingt-neuf...
Je soufflai. C'était terrible. Je ne sentais plus rien pas plus que le froid. Mon corps semblait être une seule et même douleur lorsque s'abattit le dernier coup.
- Trente.
J'entendis la voix de Jacques :
- Détachez-le. Je sentis des mains me délier et des bras me soutenir. J'avais mal partout. Une douleur aigüe puis sourde. Mes fesses étaient complètement tuméfiées et un peu sanguinolentes. Je devais m'en rendre compte un peu plus tard. Les "gardes" me traînèrent à l'intérieur et je repris mes esprits après quelques secondes. Je compris pourquoi Yvan tenait à ce que je vois le médecin régulièrement et que je fasse tester mon coeur. Jamais quelqu'un souffrant d'une quelconque déficience ne pourrait supporter ce genre de traitement. Les gardes me firent allonger sur le ventre et me laissèrent comme ça, libre mais totalement endolori. Les "gardes" firent entrer Cyril à son tour. Ils le détachèrent et lui ordonnèrent de se déshabiller. Je n'avais pas vu Patrick qui se tenait dans un coin sombre de la pièce. Ils m'attachèrent sur la table sans que j'ai eu besoin de bouger. J'allais être aux premières loges pour assister au supplice de mon compagnon. Je pense encore aujourd'hui que la cire est moins douloureuse que les coups mais à l'époque, je n'avais pas pratiqué donc ça me faisait peur. Ils l'allongèrent sur une autre table et lui relevèrent les jambes. Il fut attaché et immobilisé avec un bondage compliqué qui le faisait tenir jambes très écartées et mains et torse maintenu. Le supplice de la cire allait être doublement pénible pour lui car il était un peu poilu et enlever toutes les particules une fois sèches était douloureux. Patrick lui graissa un peu le cul puis lui enfonça un spéculum sans vraiment de ménagement. Les invités étaient rentrés et avaient pris place dans la salle, certains sur des sièges, d'autres par terre alors que quelques uns restaient debout. La punition commença. Les gouttes tombaient sur le torse, les tétons, le sexe, surtout le gland. Il insistait. C'était terrible et en même temps, mon co-détenu semblait très bien supporter. Il ne cria que lorsque les premières gouttes tombèrent à l'intérieur de lui. A l'aide d'une sonde on lui enfonça une mèche de bougie dans l'urètre et Patrick la fixa avec de la cire.
Sa verge était comme une bougie qui tenait presque droite lorsque le bourreau alluma la mèche. C'était incroyable. Au fur et à mesure que la flamme avançait, la cire fondait sur le sexe de Cyril. Il criait franchement maintenant.
- Je n'en peux plus ! Arrêtez !
Il supporta encore quelques instants et murmura :
- Stop.
Patrick éteint la mèche et la retira précautionneusement.
- C'est bien. Allez les gars, nettoyez-le.
Les gardes l'emmenèrent sous la douche. Je ne vis pas ce qu'il faisait mais je supposai qu'il lui faisaient lavement après lavement pour éliminer toutes les coulures. Patrick vint vers moi et me glissa à l'oreille :
- Tu as été très courageux. J'ai très envie de te baiser mais je n'userai pas de mon droit prioritaire cette fois. Je le ferai pendant l'abattage.
On ramena Cyril et on me détacha. Nous dûmes tous les deux nous mettre à genoux puis à quatre pattes devant les invités.
Jacques prit la parole :
- Maintenant messieurs, ils sont à vous. Profitez-en.
Nous fûmes enchaînés allez long au mur et l'abattage commença. Deux pseudo-couchettes furent amenées et les mecs commencèrent à se faire sucer. Au début, j'étais assez fatigué et je ne le faisais pas bien mais petit à petit je m'excitai à nouveau. Je ne me souviens pas vraiment qui m'a baisé, qui j'ai sucé. Je me souviens juste que Jérôme et Slavko ont éjaculé sur mon visage. L'abattage était mécanique, j'avais beaucoup de mal à éprouver quelque chose tant l'épuisement et le manque de sommeil se faisaient sentir. Ca dura un long moment car je pense qu'il pouvait être quinze heure lorsque tout le monde commença à se rhabiller. Nous fûmes mis en cellule encore un moment. Je crois que je luttais pour tenir debout.
Une demi-heure ou une heure plus tard, Yvan, Jérôme et Jacques vinrent nous chercher. Ils nous balancèrent des vêtements. Et nous bandèrent les yeux. Je ne sais pas ce qu'il était advenu des autres tout ce dont je me souviens c'est que je me suis retrouvé dans la camionnette de Jérôme et que je me suis endormi. Lorsque je me suis éveillé, Yvan avait retiré mon bandeau sans même que je m'en rende compte. J'étais rompu. Nous arrivâmes à Lyon en début de soirée. Yvan invita Jérôme à dîner. Je demandai si je pouvais aller dormir directement. Je n'avais rien mangé depuis le matin mais vraiment j'avais seulement envie d'être seul dans mon lit et de me reposer. Mon Maître accepta et je me retirai. Je me déshabillai et regardai mon corps marqué de partout. dans le miroir Ce furent surtout mes fesses qui m'impressionnèrent. Elles étaient bleuies. C'était terriblement stressant car je me dis que j'aurais du mal à marcher et à m'asseoir dans les prochains jours.
Ce fut le cas. Yvan me laissa me remettre. Il n'exigea rien de sexuel ou autre pendant toute la semaine. Il m'entoura simplement de soins. C'était agréable. Ce ne fut que le week end suivant que nous passâmes tout le samedi au lit à baiser. Le vendredi, j'avais même été dispensé de voir mes "amants". Ce week end reste gravé dans ma mémoire. Il y eut d'autres fois mais celle-ci demeure l'une des plus terribles.
- Tu vas être conduit dans la cour et Bara te donnera les coups de badines auxquels tu as été condamné. La punition est publique et tu devras supporter la totalité.
- Oui...
Je tremblais. Je n'avais jamais pris autant de coups et je savais que Bara tapait fort, de plus, tout mon corps était encore endolori de la veille. J'avoue que mon excitation était un peu retombée. Patrick passa à Cyril :
- Quant à toi, ça se passera à l'intérieur. Tu vas être brûlé à la cire sur le corps et dans l'anus. Ca va te faire mal mais tu l'as mérité.
Il ne répondit pas. Patrick poursuivit.
- Tu vas assister à sa punition. Habille-toi.
Il lui lança un survêtement qu'il dût enfiler. Bara ne disait rien mais, une fois qu'il fut habillé, il lui enchaîna les chevilles et les poignets à la manière des prisonniers américains que l'on voit parfois à la télévision. Les gardes avaient changé. Ce fut Slavko et un autre gars qui emmenèrent Cyril dans la cour et qui vinrent me chercher. J'avais peur. Le jour se levai et nous n'étions qu'au mois de mai. J'étais entièrement nu et la cour était un peu froide le matin. Je tremblai de peur mais aussi de froid. Des gradins de fortune avaient été installés. J'avançai pieds nus sur les graviers. J'étais tétanisé et je cherchais Yvan des yeux afin de me donner du courage. D'abord, je ne le vis pas puis, je me rendis compte qu'il était assis derrière une table avec Jacques et Alban. Je fus conduit devant eux. Jacques rappela la sentence :
- Donc tu vas recevoir 30 coups de bâtons. Allez, on commence.
Je fus donc attaché au portique. Je savais que les prisonniers en Malaisie recevaient ce genre de punition. Bara choisit sa badine avec soin et prit son temps en la faisant siffler dans l'air. Ma peau était tendue par le froid et mes muscles totalement noués. Mon dos et mes fesses me faisaient encore mal mais ça allait être bien pire. Bara commença à frapper et à compter très fort en même temps.
- Un... deux... trois...
Il frappait alternativement mes fesses et mon dos. Je serrai les dents, laissant échapper un gémissement quand vraiment je ne pouvais pas faire autrement.
- Quatre... cinq... six... sept... huit...
C'était horrible, j'avais l'impression que la peau de mon dos et de mes fesses se déchirait. Pourtant, il me frappait assez rarement dans le dos et avec beaucoup moins de force. Il ne hurlait pas comme la veille, il était presque solennel.
- Neuf... dix... onze... douze... treize... quatorze... quinze...
J'avais du mal à respirer. Je laissais libre cours à mes cris. Je crois que j'ai même dû supplier une ou deux fois d'arrêter. Je n'osais pas prononcer le "stop" prévu car je me dis que si ma peine était commuée, ça allait être pire.
- Seize... dix-sept... dix-huit... dix-neuf... vingt... vingt-et-un...
La tête me tournait. J'avais presque l'impression que j'allais perdre connaissance. Les coups sur mon dos étaient plus fort mais je les supportais mieux. J'avais l'impression fugace lorsque, certaines fois, la badine s'abattait sur moi, que je ne ressentais rien puis ma peau me cuisait quelques secondes plus tard.
- Vingt-deux... vingt-trois... vingt-quatre... vingt-cinq...
J'avais fait le plus dur, il fallait tenir. Je hurlais à chaque coup. C'était insupportable. Je faisais dos au public et quand j'ouvrais les yeux, je ne voyais que le mur.
- Vingt-six... vingt-sept... vingt-huit... vingt-neuf...
Je soufflai. C'était terrible. Je ne sentais plus rien pas plus que le froid. Mon corps semblait être une seule et même douleur lorsque s'abattit le dernier coup.
- Trente.
J'entendis la voix de Jacques :
- Détachez-le. Je sentis des mains me délier et des bras me soutenir. J'avais mal partout. Une douleur aigüe puis sourde. Mes fesses étaient complètement tuméfiées et un peu sanguinolentes. Je devais m'en rendre compte un peu plus tard. Les "gardes" me traînèrent à l'intérieur et je repris mes esprits après quelques secondes. Je compris pourquoi Yvan tenait à ce que je vois le médecin régulièrement et que je fasse tester mon coeur. Jamais quelqu'un souffrant d'une quelconque déficience ne pourrait supporter ce genre de traitement. Les gardes me firent allonger sur le ventre et me laissèrent comme ça, libre mais totalement endolori. Les "gardes" firent entrer Cyril à son tour. Ils le détachèrent et lui ordonnèrent de se déshabiller. Je n'avais pas vu Patrick qui se tenait dans un coin sombre de la pièce. Ils m'attachèrent sur la table sans que j'ai eu besoin de bouger. J'allais être aux premières loges pour assister au supplice de mon compagnon. Je pense encore aujourd'hui que la cire est moins douloureuse que les coups mais à l'époque, je n'avais pas pratiqué donc ça me faisait peur. Ils l'allongèrent sur une autre table et lui relevèrent les jambes. Il fut attaché et immobilisé avec un bondage compliqué qui le faisait tenir jambes très écartées et mains et torse maintenu. Le supplice de la cire allait être doublement pénible pour lui car il était un peu poilu et enlever toutes les particules une fois sèches était douloureux. Patrick lui graissa un peu le cul puis lui enfonça un spéculum sans vraiment de ménagement. Les invités étaient rentrés et avaient pris place dans la salle, certains sur des sièges, d'autres par terre alors que quelques uns restaient debout. La punition commença. Les gouttes tombaient sur le torse, les tétons, le sexe, surtout le gland. Il insistait. C'était terrible et en même temps, mon co-détenu semblait très bien supporter. Il ne cria que lorsque les premières gouttes tombèrent à l'intérieur de lui. A l'aide d'une sonde on lui enfonça une mèche de bougie dans l'urètre et Patrick la fixa avec de la cire.
Sa verge était comme une bougie qui tenait presque droite lorsque le bourreau alluma la mèche. C'était incroyable. Au fur et à mesure que la flamme avançait, la cire fondait sur le sexe de Cyril. Il criait franchement maintenant.
- Je n'en peux plus ! Arrêtez !
Il supporta encore quelques instants et murmura :
- Stop.
Patrick éteint la mèche et la retira précautionneusement.
- C'est bien. Allez les gars, nettoyez-le.
Les gardes l'emmenèrent sous la douche. Je ne vis pas ce qu'il faisait mais je supposai qu'il lui faisaient lavement après lavement pour éliminer toutes les coulures. Patrick vint vers moi et me glissa à l'oreille :
- Tu as été très courageux. J'ai très envie de te baiser mais je n'userai pas de mon droit prioritaire cette fois. Je le ferai pendant l'abattage.
On ramena Cyril et on me détacha. Nous dûmes tous les deux nous mettre à genoux puis à quatre pattes devant les invités.
Jacques prit la parole :
- Maintenant messieurs, ils sont à vous. Profitez-en.
Nous fûmes enchaînés allez long au mur et l'abattage commença. Deux pseudo-couchettes furent amenées et les mecs commencèrent à se faire sucer. Au début, j'étais assez fatigué et je ne le faisais pas bien mais petit à petit je m'excitai à nouveau. Je ne me souviens pas vraiment qui m'a baisé, qui j'ai sucé. Je me souviens juste que Jérôme et Slavko ont éjaculé sur mon visage. L'abattage était mécanique, j'avais beaucoup de mal à éprouver quelque chose tant l'épuisement et le manque de sommeil se faisaient sentir. Ca dura un long moment car je pense qu'il pouvait être quinze heure lorsque tout le monde commença à se rhabiller. Nous fûmes mis en cellule encore un moment. Je crois que je luttais pour tenir debout.
Une demi-heure ou une heure plus tard, Yvan, Jérôme et Jacques vinrent nous chercher. Ils nous balancèrent des vêtements. Et nous bandèrent les yeux. Je ne sais pas ce qu'il était advenu des autres tout ce dont je me souviens c'est que je me suis retrouvé dans la camionnette de Jérôme et que je me suis endormi. Lorsque je me suis éveillé, Yvan avait retiré mon bandeau sans même que je m'en rende compte. J'étais rompu. Nous arrivâmes à Lyon en début de soirée. Yvan invita Jérôme à dîner. Je demandai si je pouvais aller dormir directement. Je n'avais rien mangé depuis le matin mais vraiment j'avais seulement envie d'être seul dans mon lit et de me reposer. Mon Maître accepta et je me retirai. Je me déshabillai et regardai mon corps marqué de partout. dans le miroir Ce furent surtout mes fesses qui m'impressionnèrent. Elles étaient bleuies. C'était terriblement stressant car je me dis que j'aurais du mal à marcher et à m'asseoir dans les prochains jours.
Ce fut le cas. Yvan me laissa me remettre. Il n'exigea rien de sexuel ou autre pendant toute la semaine. Il m'entoura simplement de soins. C'était agréable. Ce ne fut que le week end suivant que nous passâmes tout le samedi au lit à baiser. Le vendredi, j'avais même été dispensé de voir mes "amants". Ce week end reste gravé dans ma mémoire. Il y eut d'autres fois mais celle-ci demeure l'une des plus terribles.
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