vendredi 2 septembre 2011

Marathon sexuel

Après l'épisode berlinois, Yvan se montra très empressé. Nous baisions vraiment souvent et j'adorais son attitude à la fois autoritaire et protectrice. Nous baisions de plus en plus souvent et c'était de plus en plus intense. Je n'avais jamais cours le vendredi et, vu qu'il travaillait, Yvan me faisait mon programme.Il n'était pas rare qu'il m'ordonne d'aller vider les couilles (il n'y a pas d'autre mot) de l'un ou l'autre de ses potes. Ce matin-là, il me réservait une surprise. Le matin, alors que j'étais venu dans son lit pour le sucer comme d'habitude. Il me saisit par les poignets et me glissa sous son corps pour me pénétrer. Il m'embrassait en même temps et me susurrait des mots genre : "tu la sens ma bite ?" "tu m'appartiens, n'oublie pas". Il me fit jouir et éjacula lui-même en moi assez rapidement. 
- Allez, va préparer le petit déj.
Je me levais et obéis comme toujours. J'étais nu dans la cuisine alors qu'il s'approcha de moi. Il me déposa un baiser dans le cou et me dit :
- T'as un programme chargé aujourd'hui. Tu as du boulot ?
- Non, je me suis avancé cette semaine j'avais pas beaucoup de cours.
- Bien, pour commencer, tu iras chez un copain, Marc, je t'ai laissé l'adresse sur la table du salon... T'as rendez-vous avec lui à 9 heures, c'est à la Croix Rousse, tu as le temps.
- Pas de problème.
Je me faisais vraiment l'effet d'être une pute pour qui son mac planifiait les rendez-vous. C'était très humiliant surtout après le moment que nous avions passé ensemble. De plus, il était rare qu'il me prévoit plusieurs rendez-vous le même jour à l'époque.
- Ensuite, à 14 h tu ira chez Amadou. Il les a bien pleine m'a-t-il dit et il a une surprise pour toi.
Là, j'étais assez content, Amadou était, comme je vous l'ai déjà raconté, un excellent amant et j'aimais bien baiser avec lui même si pour ça, il me fallait traverser toute la ville.
- Tu dois être revenu là à 17 heures. Je t'ai prévu autre chose. On sonnera et tu ouvriras sans poser de question.
- D'accord...
- Je bosse jusqu'à 20 heures et on ne partira pas ce week end mais je veux que tu sois bien obéissant. Tu seras récompensé, c'est promis.
Il m'embrassa longuement puis avala son petit déj. Je le revois très bien enfiler son slip et son costume. Il me demanda de faire son noeud de cravate et il m'embrassa à nouveau.
- Et sois gentil avec mes potes.
Sur ce, il partit. J'entendais son pas dans l'escalier. J'étais tout à fait prêt à me soumettre à tous ses désirs mais j'aurais préféré que nous restions entre nous. Un petit plan à 3 de temps en temps m'aurait suffi mais je savais qu'il ne fallait discuter aucun ordre. Cela aurait donné lieu à une punition et ça ne me tentait pas vraiment après celle que j'avais prise à Berlin. 
Je me douchai donc longuement et m'habillais avec les fringues qu'il avait posé sur mon lit. Il m'avait entre autres, choisi un pull en cachemire qu'il venait de m'offrir et qu'il me faisait porter sans arrêt mais il n'y avait aucun sous-vêtement prévu au programme. Juste un jean et un blouson style bombers.  

J'enfilai des chaussettes de tennis et des chaussures montantes. J'avais le look du parfait gay de cette époque. Mes cheveux avaient un peu repoussé mais sinon, j'aurais pu passer pour un petit gars du milieu londonien sans soucis. Je descendis l'escalier quatre à quatre et alla prendre le métro pour la Croix Rousse. 
Marc habitait près de l'hôpital. Je ne le connaissais pas du tout. J'étais toujours épaté qu'Yvan me trouve des copains partout surtout ceux dont, en trois ans de vie commune, je n'avais jamais entendu parler. Marc était de ceux-là. Il habitait un immeuble très ancien, au premier étage, un appartement de canuts amélioré. C'était très grand, un peu sombre. Il me fit entrer. Il était très séduisant, barbu, poilu, très "musclebear" dirait-on aujourd'hui. Il semblait un peu embarrassé par la situation et m'embrassa maladroitement en enlevant mon blouson. D'emblée, je me suis demandé pourquoi Marc avait besoin d'Yvan pour se trouver des partenaires. Il était séduisant, sensuel, très bien foutu... C'est un mystère que je n'ai pas éclairci aujourd'hui encore. Il me déshabilla tout en léchant mon corps d'une manière très agréable qui me fit bander. Ce plan cul peut paraître anodin mais Marc allait prendre une grande importance dans ma vie, c'est aussi pourquoi je vous raconte cet épisode. 
Quand je fus nu, il me suça. Ca ne m'était que très rarement arrivé et j'eus peur d'éjaculer rapidement tant ça me plut. Je le repoussai donc gentiment... Il remonta près de ma bouche et m'embrassa. Il ne portait rien sous son peignoir en éponge et  je sentais son sexe contre mon ventre. Il m'entraîna jusqu'à la chambre. Nous n'avions pas échangé trois mots. Sa timidité du début s'était envolée. Il me léchait de partout, le torse, les aisselles, le pubis, les couilles et même les jambes. 

Il y avait un truc très animal chez lui qui me plaisait beaucoup. Il me releva les jambes et me bouffa le cul avec application. Jamais on n'avait pris autant soin de moi au pieu. En général, j'étais plutôt utilisé et mes partenaires se souciaient assez peu de mon propre plaisir. Ce n'était pas le cas de Marc et ça me faisait vraiment du bien. Il attrapa une capote, toujours sans dire un mot et me pénétra, mes jambes sur ses épaules. C'était excellent, il me branlait en même temps. Nous avons joui presque en même temps. Je ressentis un instant de plénitude. Jamais je n'avais été aussi épanoui au cours d'une relation sexuelle. Je m'allongeai contre lui et il me prit dans ses bras. C'était super tendre. Je parlai le premier :
- Ca t'a plu ?
- Ah ouais carrément ! Et toi ?
- Franchement, j'ai adoré et je ne le dis pas pour te faire plaisir.
- Tu baises avec tous les potes d'Yvan ?
- S'il me le demande.
- Je ne comprends pas pourquoi tu acceptes ça.
- Je ne comprendps pas pourquoi tu as besoin de lui pour te trouver des partenaires.
- Touché. Tu as quel âge.
- Vingt ans dans deux semaines. 
- Tu es très mignon.
Je lui souris, l'embrassai et commençais à attraper mon jean.
- Tu veux pas un café ?
- Ben...
- Allez, tu vas pas partir tout de suite...
- Ok, un café alors. 
- Si tu veux prendre une douche, la salle de bain c'est la première porte à gauche. Je t'ai préparé une serviette. 
J'acceptai bien volontiers. Je le regardai s'éloigner nu comme un ver. Il n'était pas très grand mais très puissant. Je trouvais qu'il avait de très belles épaules. Je me levai à mon tour et j'allai prendre ma douche. Cette rencontre m'avait troublé, je devais bien l'admettre. Il était l'anti-thèse d'Yvan, doux, prévenant, gentil et même amical. Je me douchai, me séchai et vint le rejoindre à la cuisine vêtu de mon jean qui était resté dans le couloir. Il m'attira contre lui et m'embrassa longuement pendant que l'odeur du café chaud nous envahissait. Pendant quelques minutes, je me suis senti vraiment désiré. Nous avons bu notre café puis il m'a laissé repartir après m'avoir embrassé une dernière fois. 
Il était passé midi lorsque je suis allé reprendre le métro. Je me dis que j'avais un peu de temps avant d'aller chez Amadou. Je passai donc dans l'appart de mes parents. La rencontre avec Marc m'avait troublée.
A 14 heures, j'étais devant la porte d'Amadou dans le huitième. Je m'efforçais de ne pas penser à ma rencontre avec Marc. A 19 ans, j'étais capable de rebander sans aucun problème peu de temps après avoir joui et je m'étais remotivé pour être excité à nouveau. C'était important si je voulais prendre du plaisir et surtout en donner à Amadou. Souriant, il me fit entrer et m'ordonna de me déshabiller. J'avais à peine enlevé mon blouson que deux autres blacks entrèrent dans la pièce. Je regardai Amadou interrogateur. 
- Ils ont envie de baiser aussi. C'est d'accord avec Yvan. Allez, déshabille-toi, excite-nous. L'un des mecs ouvrit sa braguette alors que je n'avais encore enlevé que mon pull et il sortit sa bite.
- Viens me sucer. Allez, plus vite que ça.
Amadou intervient. 
- Allez, fais lui plaisir.
Je m'agenouillais devant lui et commençai à prendre son sexe dans ma bouche. Il exhalait une odeur de lait corporel à la vanille qui m'écoeura un peu mais je passai outre. 

Je me mis à lécher son gland comme un petit animal. L'autre mec se colla derrière moi et caressa mes fesses à travers mon jean.
- Tu vas voir, trois noirs pour toi, ça va te plaire.
- Ouais, et tu vas les prendre toutes les trois.
- Ils éclatèrent de rire.
Je m'appliquai à sucer tandis que je sentais des mains baisser mon jean.
- T'as vu Joss, il a pas de slip, cette salope.
- C'est pour aller plus vite !
Je sentis le tissus d'un sous-vêtement tendu par une bite énorme en érection contre mes fesses. Amadou avait baissé son pantalon à son tour et il me titillait les tétons.
- Il aime qu'on le secoue un peu.
- Pas de soucis. 

Le mec qui me faisait sucer sa queue mit sa main sur ma nuque et s'enfonça dans ma bouche de telle sorte que je ne pouvais respirer. Yvan savait ce qui allait se passer et il devait être excité en pensant à ce que je subissais. J'étais désormais nu et les mecs aussi. Leurs corps, force m'est de le reconnaître, étaient absolument splendides. Ils respiraient du poppers à tour de rôle mais aucun d'entre-eux ne m'en proposa. J'étais très surpris de l'attitude d'Amadou.  Il était souvent brutal mais jamais il ne s'était montré aussi macho. Le plus jeune des mecs, celui qui s'appelait Joss, déchira une capote king size et l'enfila. Amadou avait entré deux doigts dans mon anus.
- Ca doit rentrer facilement, normalement il s'est déjà fait baiser ce matin.
Il prit la place de son pote et s'enfonça dans ma bouche tandis que Joss poussait son gland contre mon cul. Je poussai un cri lorsqu'il entra vraiment et la bite de d'Amadou m'étouffa d'avantage.
- Fais-gaffe à tes dents. 

En disant ça, il me tira une petite claque. Je me rendis-compte que je bandais. Ce plan me plaisait, c'était indéniable. J'étais renversé sur la table du salon et je me faisais défoncer par Joss. Il se retira d'un coup et le plus costaud prit sa place. Il me pilonna un moment sous les commentaires des deux autres.
- Allez, défonce son trou de petit pédé. Il aime ça... etc etc.
Il se retira et Amadou me retourna en me remettant debout. Il entra en moi à son tour tandis que je suçais Joss. L'odeur de la capote qu'il venait d'enlever me dégoûtait un peu mais j'aimais avoir Amadou en moi alors je m'activais. Le troisième prit sa place une autre fois tandis que je continuais à sucer. C'était dur de garder le rythme mais excellent. 

C'était un super plan cul. Le costaud me claquait les fesses brutalement pendant qu'il me défonçait. Je ne gémissais pas fort car Joss tenait ma nuque pour que je le suce. D'un coup, il se retira et je vis son sperme couler sur le sol. Les coups de reins devinrent encore plus brutaux lorsqu'Amadou éjacula sur mon visage. Le troisième se retira alors et en fit de même sur mon dos et mes cheveux.
Ils se tapèrent dans les mains pour se féliciter. Amadou me balança une serviette éponge.
- Allez, bâtard, essuie-toi, rhabille-toi et dégage.
Je le fis très rapidement. Il me raccompagna jusqu'à la porte et murmura à mon oreille.
- C'était géant. A une prochaine. J'appelle Yvan.
Je ne dis rien mais ressortis dans la rue puant le sperme et la sueur. Même l'odeur d'un parfum était restée sur ma peau. Il était déjà 16 heures et je devais recevoir quelqu'un une heure plus tard à l'autre bout de la ville. Je sautai dans le bus en espérant qu'il irait vite. 
A 16 h 40, j'arrivai chez Yvan. Je me déshabillai vivement et sautai sous la douche. En me séchant, je vis que de nouvelles fringues étaient sur mon lit. Je les passai. Il s'agissait d'un tee shirt, d'un boxer blanc et d'une paire de chaussette de tennis propres. Je remis mon tee shirt et j'attendis dans cette tenue.
Vers 17 h 10, on sonna à l'interphone. J'ouvris sans décrocher et je laissai la porte entrouverte. Mon coeur battait la chamade. J'étais crevé par les deux plans cul que je venais de vivre. Un homme entra sans vraiment me regarder. Il devait avoir la cinquantaine. 
- C'est toi qui doit être puni ? Il paraît que tu t'es fait baiser comme une pute toute la journée.
- Euuh oui...
- Oui Monsieur.
- Oui Monsieur.
- Allez, baisse ton short, montre-moi tes fesses. 
Je m'exécutai. Il me fit pencher sur une chaise de la cuisine et examina mon cul.
- C'est trop blanc tout ça, ça doit rougir. 
Il commença à me claquer avec ses mains. Bizarrement, ça me fit presque aussi mal que s'il avait utilisé un objet. J'avais chaud. 

Mon T-Shirt était presque de trop. Il ouvrit la petite mallette qu'il avait apporté avec lui et en sortit une cane anglaise.
- Tu connais ça ?
- Oui Monsieur.
- C'est ce qu'il te faut pour t'apprendre à arrêter d'être une pute. 
Je me sentais très humilié dans cette position. Enfant, je n'avais jamais été corrigé par personne et là, un inconnu me reprochait d'avoir obéi à Yvan et allait me faire rougir le cul, c'était un comble. Il commença à taper avec la badine. Je frémis mais serrai les dents pour ne surtout pas bouger. 
- Ca te plaît ?
Je ne répondis pas et il m'envoya un autre coup plus fort que le précédent.
- Vu que tu ne réponds pas, je suppose que ça te plaît. Crois-tu avoir mérité une correction.
- Oui Monsieur.
- Très bien tu deviens obéissant. Ton maître a dit que tu encaissais bien les coups. On va voir.

Il recommença à me frapper plus durement. Je me tortillais. Je luttais pour ne pas tenter de protéger mes fesses avec mes mains. Il se mit à l'aise, enleva sa veste et ses chaussures et la correction repris de plus belle. Je ne sais pas si vous avez déjà reçu la cane mais on ressent une sensation de pincement, presque de coupure lorsque la peau est trop irritée puis la douleur s'apaise un peu comme si la zone frappée s'anesthésiait un peu. Il continua. Je supportais mieux mais je serrai quand même les dents.
Il me releva en me prenant par les cheveux.
- Maintenant déshabille-toi complètement. 
J'obtempérai sans discuter. J'étais nu, près d'une chaise de cuisine, au  milieu du salon.
- Mains sur la tête.
Il tourna autour de moi et examina mes fesses.
- C'est rouge mais ça le deviendra encore plus. Où est ta chambre ?
Je le conduisis. Il me fit mettre à quatre pattes sur mon lit et recommença à me frapper violemment, à main nu cette fois. 
- La fessée, il n'y a que ça de vrai.

Il frappait. Mes fesses devenaient presque violacées. Je nous voyais dans le miroir de l'armoire. Il était costaud, pas très beau mais avec une expression dure qui me fit penser qu'il valait mieux ne pas essayer de lui échapper. Il continua jusqu'à en avoir mal au bras.

- Allez, debout.
Il m'examina encore une fois sous toutes les coutures. 
- C'est assez pour aujourd'hui et arrête de pleurer. Sois un mec !
J'avais les larmes aux yeux et il s'en était rendu compte.
- Raccompagne-moi.
Je le suivi, nu, meurtri, dans le salon et longeai le vestibule avec lui.
- N'oublie-pas, tu dois être obéissant tout le temps. Je reviendrai te punir.
Il tourna les talons, son attaché case dans la main. Je remarquai que sa chemise était froissée et qu'une de ses chaussures était mal lacée mais je ne dis rien. Je refermai la porte et me mis à pleurer de rage et d'humiliation. Non seulement, Yvan me traitait comme sa pute mais en plus, il me faisait punir. Je regagnai ma chambre dépité. La punition avait duré plus d'une heure et j'avais mal. Je n'osai pas mettre de la crème hydratante sur mes fesses mais la peau avait un peu cédé par endroits. Je me regardai dans la glace. Je me disais qu'Yvan  était un vrai salaud et je repensai les mots de Marc. Pourquoi acceptais-je ça ? L'amour que j'éprouvais ne pouvait tout expliquer. Si un jour je rencontrai un mec gentil, est-ce que je quitterai Yvan ? Il y avait quelque chose en moi qui me poussait à rester et à subir. Parfois je détestais ça, parfois, j'éprouvais du plaisir. C'était une sensation bizarre.
A 20 heures, Yvan me tira de ma torpeur en rentrant crevé. Il me jeta un oeil après avoir posé son courrier dans le vide-poches de l'entrée. 
- Alors cette journée ?
- Bien remplie.
- J'avais peur que tu t'ennuie. Montre-moi ton cul.
Je baissai mon short et mon boxer.
- Mmmm. Gérard a bien travaillé. Ca m'excite. 
Il ouvrit la braguette de son pantalon de costard. 
- Viens me sucer la queue.
J'obéis. J'étais humilié et je n'en n'avais pas vraiment envie mais je ne pouvais risquer une autre raclée. Je m'appliquai et il éjacula dans ma bouche.

- Aaah ça fait du bien. Tu viendras dormir avec moi après manger. Tu l'as mérité. Marc m'a dit que tu étais adorable et Amadou a bien aimé le plan. T'as rempli ton contrat d'esclave.
Nous avons dîné puis je me suis blotti contre lui dans le lit. Il m'a baisé encore une fois. J'étais tellement fatigué que j'y ai pris moins de plaisir que d'habitude.

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