Yvan était de plus en plus macho. Il décidait de tout pour moi. Je n'avais pas vraiment mon libre arbitre. Parfois, je trouvais ça satisfaisant, à d'autres moment, j'aurais bien aimé avoir un espace de liberté. A part les moments où j'étais en cours et ceux ou je faisais de l'aviron, il gérait mon emploi du temps à la minute !
A partir du mois de mars, je voyais Marc presque un vendredi sur deux. Yvan nous prévoyait un rendez-vous le matin vers 9 heures. En dehors de ça, nous ne nous fréquentions pas beaucoup. Il était venu dîner une ou deux fois mais jamais nous n'avions fait de plan à trois. Il me plaisait bien et, chose étrange à l'époque, lorsque nous baisions, il prenait garde à ce que je prenne mon pied. Quand j'étais dépité de l'attitude dominatrice d'Yvan et qu'il était froid et autoritaire avec moi, je me disais que je n'avais pas fait le bon choix et que je ferai mieux de le quitter et de me trouver un mec comme Marc, gentil, attentionné et qui ne me traiterait pas comme un objet posé là pour son simple plaisir. Cependant, c'était indéniable, Yvan avait une emprise sur moi qui était plus forte que tout le reste. Il m'était largement impossible de m'éloigner de lui plus qu'une journée. Cette dépendance me faisait peur car je me disais que si jamais il se lassait de moi ou qu'il rencontrait quelqu'un d'autre, j'aurai du mal à survivre à la rupture.
Pourtant Marc me troublait. J'étais persuadé que mon Master le savait pertinemment mais il n'arrêtait pas de m'envoyer chez lui pour des plans cul. C'était comme une récréation. Je me demandais s'il me testait, s'il testait Marc. C'était plutôt étrange. J'ai eu très tôt l'impression que cette situation allait m'être préjudiciable. La perversité d'Yvan n'avait que très peu de limites.
Je crois que c'était en mars, un matin, il m'envoya chez Marc et me prévint qu'il fallait que je sois rentré vers midi car il m'emmènerait pour le plan qu'il m'avait prévu l'après-midi. Bizarrement, il était convenu que je devais aller chez mon "amant régulier" à 10 h 30 et non à 9 h comme j'en avais l'habitude. J'ai tout de suite compris pourquoi : Yvan savait que je prenait mon pied avec Marc et il voulait que j'ai les couilles vidées pour le second plan. C'était tout à fait dans sa nature. Il voulait faire mon éducation sexuelle mais il ne voulait surtout pas que j'y prenne trop de plaisir. En outre, je suis persuadé qu'il était conscient que voir Marc une fois par semaine était plus agréable que le reste pour moi et il refusait à la fois de refuser du sexe à son pote mais aussi que je m'attache à lui plus que de raison.
A 13 h, alors que j'avais baisé avec Marc pendant un bon moment et que j'avais éjaculé au moins deux fois, Yvan vint me chercher à l'appartement. Il m'ordonna de me changer. Je devais porter mon pantalon de survet bleu (qu'il m'avait offert), un tee shirt, mon bombers, et une paire de baskets. Il me dit simplement que j'avais un rendez-vous, qu'il m'emmènerait mais que je rentrerai en bus. Nous montâmes donc en voiture en direction de Vaulx en Velin. Je ne connaissais pas trop ce coin-là mais, à cette époque, il avait assez mauvaise réputation. Nous entrâmes dans un groupe d'immeubles en voiture et continuâmes un peu plus loin. Nous avons traversé un terrain vague. Je me demandais bien ce qu'on faisait là et ce qu'était le plan qu'il m'avait réservé. Je me demandais encore plus comment j'allais retrouver mon chemin. Nous arrivâmes devant un immeuble en construction. Il était presque terminé mais totalement désert. Il me fit descendre de la voiture et me dit
- Tu vas prendre cette porte, tu descends l'escalier jusqu'au bout et tu attends. Tu ne risque rien. Tu ne subiras que ce que tu peux supporter.
- C'est désert, j'ai un peu peur.
- Tu n'as pas confiance en moi ?
- Si...
- Alors obéis.
Je m'éloignai de la voiture en tremblant. Yvan ne m'épargnait rien. Bien sûr, je savais qu'il avait pris toutes les garanties pour que je n'ai pas de problème mais ce quartier, ce lieu désert... brrrr. Ca me faisait vraiment peur. J'entrai dans le bâtiment, il y régnait un silence pesant. Je trouvai immédiatement la porte que je devais prendre et descendit les escaliers. Il n'était éclairé que par des veilleuses automatiques, pas moyen de faire fonctionner l'interrupteur. Je descendais, mon coeur battait fort et je tremblais.
Tout d'un coup, je sentis une sorte de chaleur m'envahir qui contrastait avec la fraîcheur du temps. Il y avait du chauffage et pas de lumière. Je continuai. J'avais l'impression qu'il n'y avait personne. Je me retrouvai dans une pièce immense qui allait devenir des cave ou un parking, je ne savais pas bien. Mes yeux s'habituaient à l'obscurité mais je ne voyais personne. Je m'appuyai contre un mur et attendis. Les minutes passaient. Personne ne venait. Je commençais à me dire que mon Master voulait simplement me donner une leçon et que j'allais devoir me débrouiller pour rentrer. Au bout de dix bonnes minutes, je me remis à trembler en entendant des pas. Je ne voyais pas d'où ils venaient mais je les entendais se rapprocher. Il faisait vraiment sombre mais je pus bientôt distinguer deux silhouettes baraquées. Lorsqu'ils se rapprochèrent, je vis deux jeunes mecs d'une trentaine d'année au look de loubard, survets, casquettes, mal rasés. Il s'approchèrent de moi.
- C'est avec nous que t'as rendez-vous, dit le premier, allez désape-toi.
Comme j'hésitai, il se jetèrent sur moi et m'ôtèrent mon blouson. J'avais presque l'impression qu'ils allaient me massacrer. Je tremblais, je n'étais pas excité du tout. Ils n'étaient pas vraiment séduisant mais très virils l'un et l'autre. Je me retrouvai torse nu quand je sentis les mains de l'un d'eux baisser mon survêtement. J'étais à leur merci et je n'avais pas intérêt à discuter. Ils me firent mettre à genoux et commencèrent à me donner des ordres :
- Allez, maintenant tu vas sucer la queue de mon pote. Fais-ça bien.
Le second, le plus grand, baissa son survêtement. Il était très bien monté et non circoncis. Je ne distinguais que partiellement leurs visages mais je vis sa bite en très gros plan. Je pris son gland dans la bouche. A franchement parler, je n'en n'avais pas envie du tout. La situation m'exciterait sans doute au jour d'aujourd'hui mais à l'époque, j'étais un peu tétanisé par la peur pourtant je m'appliquai.
- Alors, il suce bien ?
- Putain ouais, mieux qu'une meuf.
- Allez avale, on va te péter ton cul.
- Tu veux pas qu'il te suce un peu.
Le second me prit la tête et la colla contre le pantalon de son copain.
- Lèche.
Je me mis à lécher le survêtement du deuxième tandis que le premier me titillait le cul.
- Il va s'ouvrir ?
- Ouais, je suis sûr qu'il a un bon cul.
- Yvan nous aurait pas envoyé un puceau...
Ils rirent.
- Tu vas morfler. Suce !
Il sortit son sexe. Lui aussi était relativement bien monté mais il sentait la transpiration et je le sentis écoeuré. Si j'avais été excité ça ne m'aurait pas gêné mais là, c'était un peu désagréable. Il fallait que je me concentre pour que la sodo ne soit pas douloureuse. Il fallait absolument que je trouve dans ce plan quelque chose d'excitant. Je m'appliquai à sucer le mec lorsque je sentis une douleur au milieu du dos. Le second m'appuyait sur les omoplates avec sa baskets. Ce fut en somme, mon premier plan skets. Je tombai à plat ventre sur le ciment. Je vis leurs pieds. Le premier me releva et me fit sucer à nouveau tandis que le second avait enfoncé son doigt humide dans mon cul. Je n'avais pas trop envie mais il fallait y passer. Je vis un emballage de capote tomber sur le sol et le costaud à qui je tournais le dos frottait son gland contre mon anus.
- Il va te la mettre bien au fond, bâtard, je suis sûr que tu vas aimer ça. Il est bien monté mon pote.
Il me releva et me laissa m'appuyer contre lui tandis que l'autre entrait en moi. Ca ne me faisait pas mal mais je n'arrivais pas à me décontracter tout à fait. Il me cracha au visage.
- T'es qu'une pute. Tu vas nous faire prendre notre pied.
Je sentais l'autre qui me tenait par les épaules et qui s'enfonçait en moi. Je commençais à trouver ça excitant et j'essayai d'attraper la queue du premier pour me remettre à sucer. Il bandait comme un âne mais ne me laissait pas faire. Je suis persuadé qu'il avait peur d'éjaculer trop tôt. Son copain me démontait. Je gémissais malgré moi. J'avais peur d'être surpris. C'était excitant finalement ces deux inconnus et cet endroit sombre. Le plus grand me frappait dans le dos et sur les fesses pendant qu'il me baisait. Des claques, des coups de poing. Parfois, il me coupait un peu le souffle.
- Allez, à moi...
- Attends, je vais jouir.
Il se contracta et je le sentis se lâcher complètement. Je sentis presque la chaleur de son sperme dans la capote. Il resta un instant vautré sur moi, son sexe en moi puis se retira doucement. Il jeta la capote pleine par terre et ça me coupa les jambes, je me laissai à nouveau tomber par terre aux pieds du premier.
- Super. Je te rejoins après. T'as qu'à terminer.
- Cool. Allez, toi à quatre pattes.
J'obéis en prenant bien garde que mon pantalon me protège un peu pour n'avoir pas les genoux en sang à cause du frottement sur le ciment. Il déchira une capote et, tandis que son copain s'éloignait, il me pénétra d'un coup. A cette époque-là, j'utilisai assez rarement du gel mais je savais me contrôler pour être toujours pénétré sans que ça me fasse mal.
Il me baisa un moment comme un forcené mais j'étais un peu anesthésié et je ne sentais pas grand-chose. Je gémissais quand même pour la forme. Il se retira, me roula sous lui et éjacula sur mon torse.
- Putain, t'es une bonne pute.
- Ca a été ?
- Carrément, Yvan me l'avait dit mais c'était trop bien.
- Tu as de quoi nous essuyer ? Demandais-je timidement.
- Ouais, dit-il en me lançant un paquet de mouchoirs en papiers. Au fait moi c'est Seb.
Je souris, je ne savais pas trop quoi dire.
- Yvan m'a dit de te laisser à un arrêt de bus mais si tu veux je te raccompagne, t'es plein de poussière de plâtre.
- C'est gentil mais il vaut mieux faire ce qu'a dit Yvan.
- Comme tu voudras. Suis-moi.
Nous sortîmes de l'immeuble et il me fit monter dans une vieille 205 pourrie. Quelques minutes plus tard, il me déposa à un carrefour devant l'arrêt promis. Je me rendais compte que mon visage, mes fringues et mes cheveux étaient pleins de poussière. Je mis presque 45 minutes pour rentrer et je me précipitai dans les communs de notre immeuble en souhaitant vivement ne croiser aucun voisin. J'entrai dans l'appartement. Yvan était déjà là.
- Alors ?
- C'était terrible.
- Il est excitant Sébastien ?
- Oui mais c'était violent.
- Faut que tu essaye ça aussi.
- Oui...
- Et son pote ?
- Très bien monté et brutal.
- Parfait va te doucher et rejoins-moi à poil dans le salon. J'obéis. Je restai un peu plus longtemps que d'habitude sous la douche, je me séchai et je rejoins Yvan qui était assis en peignoir dans le salon.
- T'as encore la force de me sucer ?
- Oui, si tu veux.
- Allez, au boulot.
Je me mis à le téter comme s'il fut agit d'une sucette. Il adorait ça et je le savais. J'espérai le faire éjaculer rapidement et éviter de baiser encore une fois. Ce fut le cas. Ses mains se cramponnèrent à ma tête et je sentis le goût salé de son sperme envahir ma bouche.
A partir du mois de mars, je voyais Marc presque un vendredi sur deux. Yvan nous prévoyait un rendez-vous le matin vers 9 heures. En dehors de ça, nous ne nous fréquentions pas beaucoup. Il était venu dîner une ou deux fois mais jamais nous n'avions fait de plan à trois. Il me plaisait bien et, chose étrange à l'époque, lorsque nous baisions, il prenait garde à ce que je prenne mon pied. Quand j'étais dépité de l'attitude dominatrice d'Yvan et qu'il était froid et autoritaire avec moi, je me disais que je n'avais pas fait le bon choix et que je ferai mieux de le quitter et de me trouver un mec comme Marc, gentil, attentionné et qui ne me traiterait pas comme un objet posé là pour son simple plaisir. Cependant, c'était indéniable, Yvan avait une emprise sur moi qui était plus forte que tout le reste. Il m'était largement impossible de m'éloigner de lui plus qu'une journée. Cette dépendance me faisait peur car je me disais que si jamais il se lassait de moi ou qu'il rencontrait quelqu'un d'autre, j'aurai du mal à survivre à la rupture.
Pourtant Marc me troublait. J'étais persuadé que mon Master le savait pertinemment mais il n'arrêtait pas de m'envoyer chez lui pour des plans cul. C'était comme une récréation. Je me demandais s'il me testait, s'il testait Marc. C'était plutôt étrange. J'ai eu très tôt l'impression que cette situation allait m'être préjudiciable. La perversité d'Yvan n'avait que très peu de limites.
Je crois que c'était en mars, un matin, il m'envoya chez Marc et me prévint qu'il fallait que je sois rentré vers midi car il m'emmènerait pour le plan qu'il m'avait prévu l'après-midi. Bizarrement, il était convenu que je devais aller chez mon "amant régulier" à 10 h 30 et non à 9 h comme j'en avais l'habitude. J'ai tout de suite compris pourquoi : Yvan savait que je prenait mon pied avec Marc et il voulait que j'ai les couilles vidées pour le second plan. C'était tout à fait dans sa nature. Il voulait faire mon éducation sexuelle mais il ne voulait surtout pas que j'y prenne trop de plaisir. En outre, je suis persuadé qu'il était conscient que voir Marc une fois par semaine était plus agréable que le reste pour moi et il refusait à la fois de refuser du sexe à son pote mais aussi que je m'attache à lui plus que de raison.
A 13 h, alors que j'avais baisé avec Marc pendant un bon moment et que j'avais éjaculé au moins deux fois, Yvan vint me chercher à l'appartement. Il m'ordonna de me changer. Je devais porter mon pantalon de survet bleu (qu'il m'avait offert), un tee shirt, mon bombers, et une paire de baskets. Il me dit simplement que j'avais un rendez-vous, qu'il m'emmènerait mais que je rentrerai en bus. Nous montâmes donc en voiture en direction de Vaulx en Velin. Je ne connaissais pas trop ce coin-là mais, à cette époque, il avait assez mauvaise réputation. Nous entrâmes dans un groupe d'immeubles en voiture et continuâmes un peu plus loin. Nous avons traversé un terrain vague. Je me demandais bien ce qu'on faisait là et ce qu'était le plan qu'il m'avait réservé. Je me demandais encore plus comment j'allais retrouver mon chemin. Nous arrivâmes devant un immeuble en construction. Il était presque terminé mais totalement désert. Il me fit descendre de la voiture et me dit
- Tu vas prendre cette porte, tu descends l'escalier jusqu'au bout et tu attends. Tu ne risque rien. Tu ne subiras que ce que tu peux supporter.
- C'est désert, j'ai un peu peur.
- Tu n'as pas confiance en moi ?
- Si...
- Alors obéis.
Je m'éloignai de la voiture en tremblant. Yvan ne m'épargnait rien. Bien sûr, je savais qu'il avait pris toutes les garanties pour que je n'ai pas de problème mais ce quartier, ce lieu désert... brrrr. Ca me faisait vraiment peur. J'entrai dans le bâtiment, il y régnait un silence pesant. Je trouvai immédiatement la porte que je devais prendre et descendit les escaliers. Il n'était éclairé que par des veilleuses automatiques, pas moyen de faire fonctionner l'interrupteur. Je descendais, mon coeur battait fort et je tremblais.
Tout d'un coup, je sentis une sorte de chaleur m'envahir qui contrastait avec la fraîcheur du temps. Il y avait du chauffage et pas de lumière. Je continuai. J'avais l'impression qu'il n'y avait personne. Je me retrouvai dans une pièce immense qui allait devenir des cave ou un parking, je ne savais pas bien. Mes yeux s'habituaient à l'obscurité mais je ne voyais personne. Je m'appuyai contre un mur et attendis. Les minutes passaient. Personne ne venait. Je commençais à me dire que mon Master voulait simplement me donner une leçon et que j'allais devoir me débrouiller pour rentrer. Au bout de dix bonnes minutes, je me remis à trembler en entendant des pas. Je ne voyais pas d'où ils venaient mais je les entendais se rapprocher. Il faisait vraiment sombre mais je pus bientôt distinguer deux silhouettes baraquées. Lorsqu'ils se rapprochèrent, je vis deux jeunes mecs d'une trentaine d'année au look de loubard, survets, casquettes, mal rasés. Il s'approchèrent de moi.
- C'est avec nous que t'as rendez-vous, dit le premier, allez désape-toi.
Comme j'hésitai, il se jetèrent sur moi et m'ôtèrent mon blouson. J'avais presque l'impression qu'ils allaient me massacrer. Je tremblais, je n'étais pas excité du tout. Ils n'étaient pas vraiment séduisant mais très virils l'un et l'autre. Je me retrouvai torse nu quand je sentis les mains de l'un d'eux baisser mon survêtement. J'étais à leur merci et je n'avais pas intérêt à discuter. Ils me firent mettre à genoux et commencèrent à me donner des ordres :
- Allez, maintenant tu vas sucer la queue de mon pote. Fais-ça bien.
Le second, le plus grand, baissa son survêtement. Il était très bien monté et non circoncis. Je ne distinguais que partiellement leurs visages mais je vis sa bite en très gros plan. Je pris son gland dans la bouche. A franchement parler, je n'en n'avais pas envie du tout. La situation m'exciterait sans doute au jour d'aujourd'hui mais à l'époque, j'étais un peu tétanisé par la peur pourtant je m'appliquai.
- Alors, il suce bien ?
- Putain ouais, mieux qu'une meuf.
- Allez avale, on va te péter ton cul.
- Tu veux pas qu'il te suce un peu.
Le second me prit la tête et la colla contre le pantalon de son copain.
- Lèche.
Je me mis à lécher le survêtement du deuxième tandis que le premier me titillait le cul.
- Il va s'ouvrir ?
- Ouais, je suis sûr qu'il a un bon cul.
- Yvan nous aurait pas envoyé un puceau...
Ils rirent.
- Tu vas morfler. Suce !
Il sortit son sexe. Lui aussi était relativement bien monté mais il sentait la transpiration et je le sentis écoeuré. Si j'avais été excité ça ne m'aurait pas gêné mais là, c'était un peu désagréable. Il fallait que je me concentre pour que la sodo ne soit pas douloureuse. Il fallait absolument que je trouve dans ce plan quelque chose d'excitant. Je m'appliquai à sucer le mec lorsque je sentis une douleur au milieu du dos. Le second m'appuyait sur les omoplates avec sa baskets. Ce fut en somme, mon premier plan skets. Je tombai à plat ventre sur le ciment. Je vis leurs pieds. Le premier me releva et me fit sucer à nouveau tandis que le second avait enfoncé son doigt humide dans mon cul. Je n'avais pas trop envie mais il fallait y passer. Je vis un emballage de capote tomber sur le sol et le costaud à qui je tournais le dos frottait son gland contre mon anus.
- Il va te la mettre bien au fond, bâtard, je suis sûr que tu vas aimer ça. Il est bien monté mon pote.
Il me releva et me laissa m'appuyer contre lui tandis que l'autre entrait en moi. Ca ne me faisait pas mal mais je n'arrivais pas à me décontracter tout à fait. Il me cracha au visage.
- T'es qu'une pute. Tu vas nous faire prendre notre pied.
Je sentais l'autre qui me tenait par les épaules et qui s'enfonçait en moi. Je commençais à trouver ça excitant et j'essayai d'attraper la queue du premier pour me remettre à sucer. Il bandait comme un âne mais ne me laissait pas faire. Je suis persuadé qu'il avait peur d'éjaculer trop tôt. Son copain me démontait. Je gémissais malgré moi. J'avais peur d'être surpris. C'était excitant finalement ces deux inconnus et cet endroit sombre. Le plus grand me frappait dans le dos et sur les fesses pendant qu'il me baisait. Des claques, des coups de poing. Parfois, il me coupait un peu le souffle.
- Allez, à moi...
- Attends, je vais jouir.
Il se contracta et je le sentis se lâcher complètement. Je sentis presque la chaleur de son sperme dans la capote. Il resta un instant vautré sur moi, son sexe en moi puis se retira doucement. Il jeta la capote pleine par terre et ça me coupa les jambes, je me laissai à nouveau tomber par terre aux pieds du premier.
- Super. Je te rejoins après. T'as qu'à terminer.
- Cool. Allez, toi à quatre pattes.
J'obéis en prenant bien garde que mon pantalon me protège un peu pour n'avoir pas les genoux en sang à cause du frottement sur le ciment. Il déchira une capote et, tandis que son copain s'éloignait, il me pénétra d'un coup. A cette époque-là, j'utilisai assez rarement du gel mais je savais me contrôler pour être toujours pénétré sans que ça me fasse mal.
Il me baisa un moment comme un forcené mais j'étais un peu anesthésié et je ne sentais pas grand-chose. Je gémissais quand même pour la forme. Il se retira, me roula sous lui et éjacula sur mon torse.
- Putain, t'es une bonne pute.
- Ca a été ?
- Carrément, Yvan me l'avait dit mais c'était trop bien.
- Tu as de quoi nous essuyer ? Demandais-je timidement.
- Ouais, dit-il en me lançant un paquet de mouchoirs en papiers. Au fait moi c'est Seb.
Je souris, je ne savais pas trop quoi dire.
- Yvan m'a dit de te laisser à un arrêt de bus mais si tu veux je te raccompagne, t'es plein de poussière de plâtre.
- C'est gentil mais il vaut mieux faire ce qu'a dit Yvan.
- Comme tu voudras. Suis-moi.
Nous sortîmes de l'immeuble et il me fit monter dans une vieille 205 pourrie. Quelques minutes plus tard, il me déposa à un carrefour devant l'arrêt promis. Je me rendais compte que mon visage, mes fringues et mes cheveux étaient pleins de poussière. Je mis presque 45 minutes pour rentrer et je me précipitai dans les communs de notre immeuble en souhaitant vivement ne croiser aucun voisin. J'entrai dans l'appartement. Yvan était déjà là.
- Alors ?
- C'était terrible.
- Il est excitant Sébastien ?
- Oui mais c'était violent.
- Faut que tu essaye ça aussi.
- Oui...
- Et son pote ?
- Très bien monté et brutal.
- Parfait va te doucher et rejoins-moi à poil dans le salon. J'obéis. Je restai un peu plus longtemps que d'habitude sous la douche, je me séchai et je rejoins Yvan qui était assis en peignoir dans le salon.
- T'as encore la force de me sucer ?
- Oui, si tu veux.
- Allez, au boulot.
Je me mis à le téter comme s'il fut agit d'une sucette. Il adorait ça et je le savais. J'espérai le faire éjaculer rapidement et éviter de baiser encore une fois. Ce fut le cas. Ses mains se cramponnèrent à ma tête et je sentis le goût salé de son sperme envahir ma bouche.
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