samedi 3 septembre 2011

Jacques et la soirée au "Birch" (2ème partie)


Nous fumes examinés sous toutes les coutures. En maître de cérémonie, Jérôme proposa qu'on "s'occupe de la chatte de sa soumise". Jacques et le beau fouetteur se saisirent d'elle et l'allongèrent sur une table. Un carcan lui tenait la tête, les poignets et les chevilles. Ses jambes étaient anormalement écartées et son sexe était offert aux coups. Elle était solidement amarré. Une sangle la serrait autour du ventre. Son sexe était intégralement épilé. Je n'avais jamais vraiment vu de sexe de femme de près avant ce jour-là. Elle avait peur. Je le voyais à son regard mais elle s'était engagée et elle allait aller au bout de la soirée. On lui enfila un genre de mors pour chevaux dans la bouche. Didier expliqua qu'elle pourrait mordre dedans si elle avait trop mal durant la punition.
- 20 coups de martinet dans la chatte. Des amateurs ?
- Ouais, je veux bien essayer. Dit un habillé de cuir des pieds à la tête. 
- Ca va resserrer tout ça, quand on la baisera tout à l'heure ça sera plus sympa.
- Si elle résiste bien, elle n'aura que 10 coups sur les fesses. 
S'adressant à elle :
- Allez salope, courage.
Le nouveau bourreau s'approcha d'elle et passa son doigt sur sa vulve.
- Elle mouille cette pute. Elle va aimer ça.
- Allez commence.
Il commença à frapper. Je pouvais voir les lanières entrer dans la fente de la fille. Elle hurlait littéralement mais ne suppliait pas. Elle avait bien compris que la sentence serait allégée si elle résistait bien. Elle serrait les dents. Dans ma tête je comptait les coups. Les gars y allaient de leur commentaires tous plus graveleux les uns que les autres :
- Regarde comme elle s'ouvre... ça devient rouge... tu crois que ça fait plus serré quand on la baise ?...
La fille criait à chaque coup. Elle pleurait mais n'implorait pas grâce. Je voyais Clément fermer les yeux. Pour nous deux la suite allait être dure : on me percerait les tétons et il devrait être recouvert de cire.  
La fille avait du mal à supporter. Elle hurlait derrière son baillon amélioré. Elle soufflait, crachotait le trop plein de salive. Elle faisait pitié et pourtant sa souffrance semblait exciter les mâles au plus haut point. Elle arriva au vingtième coup au bord de l'évanouissement j'en était persuadé. Didier repris la parole en s'approchant d'elle et en examinant son sexe rouge et enflé.
- Pas mal, mais je pense qu'il manque quelque chose. Un amateur pour lui mettre sa queue ?
Les mecs se regardèrent. Un tatoué s'avança et baissa son jean. Il était très bien monté. Il enfila une capote et pénétra la fille d'un coup, lui arrachant un autre cri. Il bandait très dur et la fille se tortillait. Didier et Jérôme lui tenaient les poignets. 
- T'aimes ça ? Tu la sens ?... Regardez comme elle gémit cette pute... 
Et j'en passe et des meilleurs. Je me suis toujours demandé ce que ressentait la fille dans cette situation. Le costaud se contracta et éjacula. Il versa le contenu de la capote sur la fille. 
- Alors ?
- Ca fait du bien.
Jérôme reprit la parole :
- On va garder le piercing pour la fin donc on va s'occuper de Clément. Il a été convenu qu'il allait avoir son premier plan cire. Attachez-le sur le dos.
Deux mecs dont le beau gosse qui avait fouetté la fille se saisirent de lui et l'allongèrent sur une table contigüe. Il tremblait. Il était un peu poilu et savait que ça allait être dur pour ôter la cire de son corps mais pire, il n'avais jamais connu ce genre de brûlure et appréhendait certainement ce que ça allait lui faire. Il se laissa quand même attacher. Yvan lui ôta ses chaussures.

- On pourrait fouetter un peu ses pieds tant qu'il est bloqué comme ça ?
- Prends une badine, je t'en prie.
- Honneur à Jacques. 
Notre invité prit une cane anglaise et commença à frapper le sportif sur la plante des pieds. Il hurlait à chaque coup.
- Ah, ça le fait réagir ! Continue Yvan, il est là pour nous donner du plaisir.
Yvan frappait durement, j'étais bien placé pour le savoir. Pendant ce temps, le beau mec en cuir, Jacques et Jérôme avaient allumé plein de bougies. Clément criait. C'était assez excitant. Je me tenais tout près de son visage, debout. Je voyais les larmes venir embuer ses yeux. Mon Maître continuait sans aucune pitié. 
- Je crois que c'est bien comme ça dit-il en regardant la plante des pieds du pauvre gars. On va passer à la cire.
Didier se saisit d'une bougie à la cire noire et commença à faire couler de la cire sur le torse du jeune homme.  Il serrait les dents aux premières gouttes et, comme toujours, sa peau s'habitua assez vite. Didier m'ordonna :
- Toi, décalotte-le.
Malgré moi, je m'approchai de son sexe et tirai sur son prépuce. Son gland était assez gros et luisant. Il avait mouillé un peu.
- A qui l'honneur ?

Jacques s'avança et prit le relai. Il tartina le sexe et surtout le gland du soumis avec de la cire. Clément criait. Il bandait très dur curieusement mais il suppliait d'arrêter. Jacques au contraire, rapprocha la flamme de son sexe. Les poils de son pubis étaient plein de cire qui commençait à sécher. Il haletait. C'était terriblement excitant. Son sexe était recouvert de cires de différentes couleurs. Un autre type s'avança et participa à son tour. Clément souffrait. Son corps musclé de sportif était tendu comme un arc. Son visage était cramoisi lorsque Jérôme donna l'ordre d'arrêter. Je savais que ça allait être mon tour. Il fit détacher la fille et lui ordonna de nettoyer le corps de Clément avec une brosse pour faire partir toute la cire. Elle s'exécuta. Je me souviens parfaitement de son visage asiatique et fermé malgré le maquillage qui avait coulé quand elle s'y employa. Jérôme se tourna vers moi.
- Je crois que c'est ton tour. Messieurs préparez-le. 
Je fus saisi par le beau gosse et Yvan et immobilisé sur la même table que la chinoise. Mes pieds et mes poignets pris dans des carcans. Jérôme s'approcha de moi.
- Je vais percer tes deux tétons et te mettre des petites barres. Ton Maître les remplacera par des anneaux dans quelques jours. Tu es prêt ?
- Oui Maître.
- C'est bien tu es bien dressé.
Il pinça mon premier téton avec une espèce d'ustensile troué et enfonça une pointe après l'avoir enduit de désinfectant. Je criais tant la douleur était dense. Je le soupçonne aujourd'hui d'avoir enfoncé la pointe lentement pour que j'ai vraiment mal. Yvan s'approcha de moi et vint me tenir les mains.
- Allez, sois courageux, tu le fais pour moi.
Mon téton était en feu. Je saignais un peu mais pas beaucoup. J'avais très mal lorsqu'il passa la barbelle mais je serrai les mains de mon Maître et les dents d'ailleurs.
Très cérémonieusement, il s'approcha de moi par l'autre côté et renouvela l'opération. J'eus un peu moins mal mais je criai quand même au passage de la petite barre. Au bout de quelques secondes j'étais équipé. Yvan m'ordonna d'ouvrir la bouche et cracha à l'intérieur. C'était très humiliant. Je restai comme ça allongé, les tétons en feu, immobilisé pendant de longues minutes pendant que les mecs venaient voir le résultat. Le beau gosse me détacha et Didier repris la parole.
- Maintenant, notre féminine invitée d'honneur doit avoir les fesses rougies. Je trouve qu'elle n'a pas très bien supporté qu'on lui fouette la chatte donc 20 coups. Attachez-la.
Jacques et Yvan l'empoignèrent et la collèrent dans un autre carcan ou elle était à genoux. Ses pieds furent immobilisé.
- Alors, cane, cravache, martinet ?
- Cane. Dit Jacques. Et j'aimerai m'en charger.
Hugues amena lui amena une badine assez épaisse. Il commença à frapper puis s'arrêta.
- Et si elle comptait ?
- Ok, compte salope, on reprend à zéro.
- Un... deux... trois... quatre... cinq.... six.... sept...
Elle semblait comme imperméable à la douleur. Il fallut attendre le douzième coup pour qu'elle commence à avoir une réaction. J'avais tellement mal partout que je ne comprenais pas comment elle pouvait encore résister. 
- Quatorze... quinze... je n'en peux plus. Arrêtez !
Mais Jacques ne céda pas il lui appliqua les derniers.
- Seize... dix-sept... dix-huit... dix-neuf........ vingt.
Elle pleurait abondamment lorsque deux des participants la détachèrent. 
On nous obligea à nous mettre à genoux devant nos bourreaux et à sucer ceux qui le voulaient. Chacun avait mis son nom dans une casquette en cuir pour déterminer qui dépucèlerait le pauvre Clément. Didier s'occupa du tirage au sort. Il ordonna à la chinoise de tirer un nom :
- J'espère qu'il sera bien monté, qu'il y ait du spectacle... Florent ! Tu es l'heureux gagnant !!! Content ?
Un jeune type assez séduisant qui avait peu participé s'avança.
- Ouais, j'ai jamais dépucelé personne ça va être une première.
- Clément, tu vas donc être baisé le premier. Tu le sera sans ménagement. Veux-tu être attaché ou maintenu ou préfères-tu rester libre de tes mouvements.
- Je préfère qu'on me tienne.
Hugues et Yvan l'empoignèrent. 

Florent se fit sucer alternativement par la fille et moi. Il était bien monté mais sans excès. Il s'en tirait bien surtout qu'il était tendu comme tout. Il humecta son anus et, après avoir enfilé une capote il s'enfonça en lui. Le jeune homme tenta de se dégager mais les deux autres le tenaient. On nous ordonna de nous mettre à quatre pattes sur un matelas et nous fumes sodomisés à notre tour par plusieurs participants. Le beau gosse me prit en dernier et je me souviens encore de son sperme coulant sur mon dos. La soirée se termina au bar. La jeune soumise fut emballée par le mec qui avait baisé Clément. Elle semblait s'être parfaitement remise quand à moi, aussitôt rentré, je dus subir les assauts d'Yvan mais aussi de Jacques. Et ce ne serait pas la dernière fois.

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