* Les prénoms de Florent et de Jérôme ont été changés.
Ca pourrait faire le sujet d'un film porno SM pourtant l'histoire est véridique. En novembre, j'ai fait la connaissance de Florent, un sportif de haut niveau qui avait bien du mal à garder sa queue dans son caleçon. A cette époque, Jérôme venait très souvent à la maison. Son club et sa boutique de tatouages et de piercing marchaient bien. Il avait une activité sexuelle et SM très poussée. Je ne lui plaisais pas plus que ça et il préférait les femmes aussi je suis allé une ou deux fois dans son arrière boutique pour des plans cul et pour me faire humilier, c'est le mot, par lui et un ou deux de ses clients. Marie était une de ses habituées. La quarantaine élégante, elle aimait les tatouages. Elle s'en était fait faire plusieurs. Elle était ce qu'on appellerait aujourd'hui une "cougar" et elle vivait une relation assez passionnelle avec un Florent, un sportif professionnel beaucoup plus jeune qu'elle. Je l'avais aperçu une ou deux fois lors de soirées chez Jérôme. Il était très bien foutu et assez banal physiquement mais très attirant comme beaucoup de sportifs. Il était habillé en survêtement la plupart du temps et je le soupçonnais de s'entretenir de manière excessive.
A Lyon, il était assez connu. Il n'était pas rare que les journaux rendent compte de ses performances. Florent était un séducteur patenté mais, jusque-là, d'après Marie, il avait été fidèle avec elle hors, un soir, Jérôme appela Yvan en lui demandant de la recevoir avec lui. Je fus relégué dans ma chambre mais je compris que la discussion concernait Florent. Je ne crois pas qu'il avait déjà participé à des plans SM mais je pensais que le but du jeu était de l'initier. Je n'avais pas tout compris mais j'allais vite revoir Florent. Le samedi suivant, nous partîmes tôt le matin et allâmes dans une maison isolée en Savoie, près de Chambéry. Je pense qu'elle appartenait à Marie. Jérôme nous y accueillit avec Didier, son associé. C'était un endroit perdu au milieu des bois. La propriété semblait très étendue. Il faisait un temps superbe pour un mois de novembre mais lorsque nous sommes arrivés vers 9 h, il faisait encore froid.
Nous approchions quand même de l'hiver. Quelques temps plus tard, un 4x4 se gara dans la cour. Un mec en descendit. Je crois qu'il s'appelait Thierry mais je n'en suis plus sûr. Il avait le look d'un biker, très costaud, barbu, très tatoué. Manifestement, Yvan le connaissait. Il salua les deux autres et, comme d'habitude, ne me regarda pas. Il ouvrit le coffre de sa voiture. Florent était dedans pieds et poings liés. Yvan et lui le tirèrent de la voiture. Il était baillonné aussi. Ils le mirent debout et le maintinrent afin qu'il reste debout. Jérôme leur fit signe d'enlever le baillon. Il s'agissant d'adhésif et d'une chaussette. Dès qu'il le pu, Florent avala sa salive. Jérôme prit la parole :
- Tu sais pourquoi tu es là ?
- J'ai trompé Marie et elle m'a laissé le choix : soit elle me quitte, soit je suis puni.
- Tu as une idée de la punition.
- Je vais être enculé ?
- Oui, entre autres. Tu as quel âge ?
- Vingt-quatre...
- T'as déjà eu des rapports avec des mecs ?
- Non...
- Même pas sucé des bites ?
- Non.
- Tripoté ?
- Ouais un peu une fois.
- Tu vas goûter à la punition et à la baise entre mecs. Prends-le pour une épreuve sportive. On va commencer par t'épuiser un peu. Tu vas courir après la voiture attaché par les poignets. Si tu te casse la gueule on continue alors t'as intérêt à faire attention à toi.
Yvan dit à son tour :
- On le fait courir à poil ?
- Torse-nu ça suffira.
Il faisait froid, l'épreuve était difficile, je me dis qu'ils commençaient fort. Ils lui délièrent les mains et lui enlevèrent son blouson et son haut de survêtement. Il était super bien foutu, pas très poilu mais musclé sec. Il lui ôtèrent aussi son tee shirt et lui attachèrent les mains devant. Didier lui libéra les chevilles tandis que Thierry attachait ses mains à une chaîne munie d'un crochet à l'arrière du 4x4. Je me dis que je serais incapable de faire ça car, même si je m'étais mis au sport, je n'avais pas assez d'équilibre.
- T'es prêt pour ta première épreuve.
- Prêt.
En bon sportif discipliné, Florent se pliait de bonne grâce à ce qu'on lui imposait. Nous montâmes en voiture. Thierry se mit au volant et démarra. Il prit l'allée centrale qui menait à la maison et accéléra. Florent était au petit trot derrière. Il tenait bien le rythme. Je voyais de la buée qui sortait de sa bouche. Il devait avoir froid en dépit de ce que son corps se réchauffait en courant. Thierry accéléra. Didier fit des commentaires :
- Il est pas mal. Je préfère les meufs mais je le sauterai volontiers.
- Un peu trop barraqué pour moi, dit Yvan, mais il est sexy. Allez accélère, là c'est pour les fillettes.
Thierry fit courir le mec encore plus vite, il tourna un peu sec dans une allée ce qui le fit trébucher mais il ne tomba pas. Il roula comme ça un temps qui me parut long mais qui ne dut pas excéder dix minutes avant de tourner à nouveau pour rejoindre la cour de la maison. Il accéléra encore. Jérôme y alla aussi de son commentaire :
- Il assure bien. Au moins il justifie sa paie de sportif.
Arrivé devant la maison, Thierry stoppa et nous descendîmes. Florent était hors souffle et il avait transpiré abondamment. On pouvait même voir de l'humidité sur son pantalon. Yvan lui balança une serviette en éponge et Jérôme repris :
- Détachez-le on rentre dans la maison.
Le jeune homme respirait fort et il nous suivit docilement. Je me demandais bien ce que je faisais là. Personne ne me calculait. J'étais totalement transparent. Nous entrâmes directement dans une grande pièce avec une cheminée où brûlait du bois. Il faisait bon. Il y avait peu de meubles. La pièce était claire et agréable. Jérôme marcha droit sur sa proie. Il le toisa comme un chef militaire qui fait une revue de détail.
- T'es bien gaulé. Ca sert de faire du sport... Maintenant tu vas te foutre à poil.
- Complètement ?
- Ouais, qu'est-ce que tu crois ? Qu'on va te baiser si tu garde ton slip.
Il ôta ses baskets sans défaire les lacets puis baissa son survêt. Comme tout sportif habitué à se déshabiller devant les autres dans les vestiaires, il n'avait pas vraiment de pudeur. Il baissa son slip et enleva ses chaussettes puis se remit debout comme au garde-à-vous. Il était remarquablement bien foutu, environ 1m75, les jambes musclées et poilues, le torse puissant. Il me faisait fantasmer. Je me demandais ce qu'ils allaient lui faire car j'étais certain qu'ils ne se contenteraient pas de se faire sucer et de le sodomiser. Florent était assez bien monté. Vraiment, il avait tout ce qu'il fallait. Nu, il était plus attirant. Il sentait un peu la transpiration comme les sportifs. Alors que je crains les odeurs, je ne trouvais pas ça désagréable. Jérôme repris ses ordres :
- Allez, à genoux, tu vas nous sucer.
Il n'en n'avait manifestement pas envie mais il obéit. Yvan fut le premier à sortir son sexe de son jean. Je vis dans les yeux de Florent qu'il espérait qu'il ne le baiserait pas. Mon Maître était bien monté et il en était particulièrement fier. Après un temps d'hésitation il prit son gland dans sa bouche. Je voyais qu'il avait du mal à le faire. Les autres avaient baissé leurs pantalons et commençaient à se branler. On voyait bien qu'il n'avait pas l'habitude. Il ne bandait pas, son expression était un peu dégoûtée et il suçait timidement et maladroitement juste le gland d'Yvan.
- Alors, demanda Didier, il se débrouille comment ?
- Pas terrible, faudrait qu'il progresse.
- Etienne, désape-toi et viens lui montrer sur moi.
Je m'exécutai et me mis nu entièrement assez rapidement. Je dois avouer que la situation m'excitait et je pris goulument la queue de Didier dans ma bouche. Je ressentis son excitation d'emblée. J'avais bien fait ce qu'il fallait.
- Regarde ce qu'il fait, apprends... ahh... bâtard. C'est pas pareil que de lécher une chatte.
Je branlais Thierry en même temps que je léchais et suçait Didier. C'était excitant. Yvan corsa le jeu.
- Il y arrive pas. On va lui donner de l'entrain. Les autres remontèrent leurs pantalons et se saisirent de lui.
- Penchez-le, on va le punir vraiment.
Jérôme défit la ceinture de son jean et la tendis à Yvan.
- Je vais te frapper les fesses et le dos. Prêt ?
- Oui...
Il le fit pencher en avant et commença à frapper. Didier et Jérôme le tenaient. Je savais combien Yvan pouvait faire mal. Florent résistait. Il tenait remarquablement le coup et ne gémissait pas. Il semblait prendre les coups de mon Master stoïquement. Son attitude énerva les autres.
- Plus fort... vas-y...
Yvan frappa plus fort. Florent commença à se débattre. Il était costaud mais ses "gardiens" aussi et il ne put bouger qu'une fois. Ils le remirent brutalement en place. La punition dura un long moment. Il respirait fort, transpirait... C'était un moment dur pour lui mais il était courageux.
A suivre...
A Lyon, il était assez connu. Il n'était pas rare que les journaux rendent compte de ses performances. Florent était un séducteur patenté mais, jusque-là, d'après Marie, il avait été fidèle avec elle hors, un soir, Jérôme appela Yvan en lui demandant de la recevoir avec lui. Je fus relégué dans ma chambre mais je compris que la discussion concernait Florent. Je ne crois pas qu'il avait déjà participé à des plans SM mais je pensais que le but du jeu était de l'initier. Je n'avais pas tout compris mais j'allais vite revoir Florent. Le samedi suivant, nous partîmes tôt le matin et allâmes dans une maison isolée en Savoie, près de Chambéry. Je pense qu'elle appartenait à Marie. Jérôme nous y accueillit avec Didier, son associé. C'était un endroit perdu au milieu des bois. La propriété semblait très étendue. Il faisait un temps superbe pour un mois de novembre mais lorsque nous sommes arrivés vers 9 h, il faisait encore froid.
Nous approchions quand même de l'hiver. Quelques temps plus tard, un 4x4 se gara dans la cour. Un mec en descendit. Je crois qu'il s'appelait Thierry mais je n'en suis plus sûr. Il avait le look d'un biker, très costaud, barbu, très tatoué. Manifestement, Yvan le connaissait. Il salua les deux autres et, comme d'habitude, ne me regarda pas. Il ouvrit le coffre de sa voiture. Florent était dedans pieds et poings liés. Yvan et lui le tirèrent de la voiture. Il était baillonné aussi. Ils le mirent debout et le maintinrent afin qu'il reste debout. Jérôme leur fit signe d'enlever le baillon. Il s'agissant d'adhésif et d'une chaussette. Dès qu'il le pu, Florent avala sa salive. Jérôme prit la parole :
- Tu sais pourquoi tu es là ?
- J'ai trompé Marie et elle m'a laissé le choix : soit elle me quitte, soit je suis puni.
- Tu as une idée de la punition.
- Je vais être enculé ?
- Oui, entre autres. Tu as quel âge ?
- Vingt-quatre...
- T'as déjà eu des rapports avec des mecs ?
- Non...
- Même pas sucé des bites ?
- Non.
- Tripoté ?
- Ouais un peu une fois.
- Tu vas goûter à la punition et à la baise entre mecs. Prends-le pour une épreuve sportive. On va commencer par t'épuiser un peu. Tu vas courir après la voiture attaché par les poignets. Si tu te casse la gueule on continue alors t'as intérêt à faire attention à toi.
Yvan dit à son tour :
- On le fait courir à poil ?
- Torse-nu ça suffira.
Il faisait froid, l'épreuve était difficile, je me dis qu'ils commençaient fort. Ils lui délièrent les mains et lui enlevèrent son blouson et son haut de survêtement. Il était super bien foutu, pas très poilu mais musclé sec. Il lui ôtèrent aussi son tee shirt et lui attachèrent les mains devant. Didier lui libéra les chevilles tandis que Thierry attachait ses mains à une chaîne munie d'un crochet à l'arrière du 4x4. Je me dis que je serais incapable de faire ça car, même si je m'étais mis au sport, je n'avais pas assez d'équilibre.
- T'es prêt pour ta première épreuve.
- Prêt.
En bon sportif discipliné, Florent se pliait de bonne grâce à ce qu'on lui imposait. Nous montâmes en voiture. Thierry se mit au volant et démarra. Il prit l'allée centrale qui menait à la maison et accéléra. Florent était au petit trot derrière. Il tenait bien le rythme. Je voyais de la buée qui sortait de sa bouche. Il devait avoir froid en dépit de ce que son corps se réchauffait en courant. Thierry accéléra. Didier fit des commentaires :
- Il est pas mal. Je préfère les meufs mais je le sauterai volontiers.
- Un peu trop barraqué pour moi, dit Yvan, mais il est sexy. Allez accélère, là c'est pour les fillettes.
Thierry fit courir le mec encore plus vite, il tourna un peu sec dans une allée ce qui le fit trébucher mais il ne tomba pas. Il roula comme ça un temps qui me parut long mais qui ne dut pas excéder dix minutes avant de tourner à nouveau pour rejoindre la cour de la maison. Il accéléra encore. Jérôme y alla aussi de son commentaire :
- Il assure bien. Au moins il justifie sa paie de sportif.
Arrivé devant la maison, Thierry stoppa et nous descendîmes. Florent était hors souffle et il avait transpiré abondamment. On pouvait même voir de l'humidité sur son pantalon. Yvan lui balança une serviette en éponge et Jérôme repris :
- Détachez-le on rentre dans la maison.
Le jeune homme respirait fort et il nous suivit docilement. Je me demandais bien ce que je faisais là. Personne ne me calculait. J'étais totalement transparent. Nous entrâmes directement dans une grande pièce avec une cheminée où brûlait du bois. Il faisait bon. Il y avait peu de meubles. La pièce était claire et agréable. Jérôme marcha droit sur sa proie. Il le toisa comme un chef militaire qui fait une revue de détail.
- T'es bien gaulé. Ca sert de faire du sport... Maintenant tu vas te foutre à poil.
- Complètement ?
- Ouais, qu'est-ce que tu crois ? Qu'on va te baiser si tu garde ton slip.
Il ôta ses baskets sans défaire les lacets puis baissa son survêt. Comme tout sportif habitué à se déshabiller devant les autres dans les vestiaires, il n'avait pas vraiment de pudeur. Il baissa son slip et enleva ses chaussettes puis se remit debout comme au garde-à-vous. Il était remarquablement bien foutu, environ 1m75, les jambes musclées et poilues, le torse puissant. Il me faisait fantasmer. Je me demandais ce qu'ils allaient lui faire car j'étais certain qu'ils ne se contenteraient pas de se faire sucer et de le sodomiser. Florent était assez bien monté. Vraiment, il avait tout ce qu'il fallait. Nu, il était plus attirant. Il sentait un peu la transpiration comme les sportifs. Alors que je crains les odeurs, je ne trouvais pas ça désagréable. Jérôme repris ses ordres :
- Allez, à genoux, tu vas nous sucer.
Il n'en n'avait manifestement pas envie mais il obéit. Yvan fut le premier à sortir son sexe de son jean. Je vis dans les yeux de Florent qu'il espérait qu'il ne le baiserait pas. Mon Maître était bien monté et il en était particulièrement fier. Après un temps d'hésitation il prit son gland dans sa bouche. Je voyais qu'il avait du mal à le faire. Les autres avaient baissé leurs pantalons et commençaient à se branler. On voyait bien qu'il n'avait pas l'habitude. Il ne bandait pas, son expression était un peu dégoûtée et il suçait timidement et maladroitement juste le gland d'Yvan.
- Alors, demanda Didier, il se débrouille comment ?
- Pas terrible, faudrait qu'il progresse.
- Etienne, désape-toi et viens lui montrer sur moi.
Je m'exécutai et me mis nu entièrement assez rapidement. Je dois avouer que la situation m'excitait et je pris goulument la queue de Didier dans ma bouche. Je ressentis son excitation d'emblée. J'avais bien fait ce qu'il fallait.
- Regarde ce qu'il fait, apprends... ahh... bâtard. C'est pas pareil que de lécher une chatte.
Je branlais Thierry en même temps que je léchais et suçait Didier. C'était excitant. Yvan corsa le jeu.
- Il y arrive pas. On va lui donner de l'entrain. Les autres remontèrent leurs pantalons et se saisirent de lui.
- Penchez-le, on va le punir vraiment.
Jérôme défit la ceinture de son jean et la tendis à Yvan.
- Je vais te frapper les fesses et le dos. Prêt ?
- Oui...
Il le fit pencher en avant et commença à frapper. Didier et Jérôme le tenaient. Je savais combien Yvan pouvait faire mal. Florent résistait. Il tenait remarquablement le coup et ne gémissait pas. Il semblait prendre les coups de mon Master stoïquement. Son attitude énerva les autres.
- Plus fort... vas-y...
Yvan frappa plus fort. Florent commença à se débattre. Il était costaud mais ses "gardiens" aussi et il ne put bouger qu'une fois. Ils le remirent brutalement en place. La punition dura un long moment. Il respirait fort, transpirait... C'était un moment dur pour lui mais il était courageux.
A suivre...
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