Lorsque nous rentrâmes de vacances, comme chaque année, Yvan repris un rythme de travail soutenu. Nous partîmes seulement en week end une fois au Cap d'Agde dans un appart qui appartenait à Robert.
Lyon était déserte en août et je ne faisais pas grand chose de mes journées à part lire les ouvrages qui m'aideraient à préparer mon mémoire de maîtrise sur Catherine de Médicis. J'aimais beaucoup lire et mes études me plaisaient. En plus, je réussissais assez bien sans trop d'efforts. Yvan ne me trouvait pas de "clients" au mois d'août et il me négligeait un peu sexuellement la semaine car il était fatigué par le travail et la chaleur. Mon oisiveté l'exaspérait car je sortais peu et l'appartement était toujours nickel étant donné que j'étais là tout le temps et que je m'en occupais au fur et à mesure. Après le quinze août, le fait de ne pas trouver d'ordres à me donner l'agaça et il commença à se montrer très désagréable. Ce fut l'arrivée à Lyon de Sélim qui me sauva d'une mauvaise humeur ambiante qui était en train de m'inquiéter. En règle générale, je le détestait. Il était absolument sans gène, se faisait servir comme un pacha et ne s'intéressait à moi que pour se vider les couilles mais là, j'étais content qu'il vienne rompre la monotonie. Je ne l'avais pas vu depuis longtemps mais il n'avait pas le moins du monde changé. En effet, il sortait le soir, rentrait dans des états terribles et passait la matinée à dormir. Quand il se levait, je devais être aux petits soins pour lui. Son petit déjeuner devait être prêt et je devais le satisfaire s'il en avait envie. Sexuellement, il était d'un égoïsme terrible. Je lui servait d'objet sexuel d'ailleurs il ne parlait jamais de moi à Yvan qu'en disant "ton vide couilles".
Sélim aimait le sexe c'était indéniable. Il était très beau parleur et je ne doutais pas qu'il arrivait bien à se taper des filles dans les chiottes des boites de nuit où il sortait mais ça ne l'empêchait pas de se branler facilement et de me siffler pour lui donner un coup de main. Au début, je n'aimais pas trop ça car il était un peu violent et surtout très maladroit. Les pénétrations n'étaient pas du tout agréables bien souvent et je n'aimais pas tellement le sucer mais son côté autoritaire le rendait assez excitant et, cet été-là, il abusait de sa position d'invité pour me donner des ordres : "Va me chercher ci" "Amène-moi mes pompes" "Viens t'occuper de ma queue" "Décrasse mes panards"... des tas d'ordres en tous genre qui réjouissaient Yvan. Enfin, il m'avait trouvé une occupation : être le souffre-douleur et le larbin de son pote. Physiquement, Sélim avait changé. Il était toujours costaud mais devenait plus musclé. Après son petit déjeuner, il faisait du sport dans ma chambre. L'avantage de sa présence était aussi que je pouvais dormir avec Yvan toutes les nuits et me lover contre lui. Il avait d'ailleurs l'air de trouver ça agréable. Pendant toute la durée de son séjour, je n'entrai dans ma chambre que pour aérer et changer les draps. Tous les soirs il sortait et rentrait imbibé d'alcool sentant le sexe et la transpiration. On avait l'impression d'entrer dans la tanière d'un fauve. Un matin, il se leva plus tôt que d'habitude. Je lui préparai son petit déjeuner et il m'ordonna de lui faire couler un bain. J'obéis. Je surveillai de temps en temps l'eau qui coulait tout en lui faisant chauffer du café et griller du pain.
- Ah c'est bien d'avoir un esclave quand même. Il faudrait que je m'en trouve un.
- Ton petit déj est prêt. J'arrête le bain et je rajouterai de l'eau chaude tout à l'heure ?
- Ouais fais comme ça et viens me sucer pendant que je bouffe.
Je m'agenouillais entre ses jambes mais il m'envoya une claque qui me fit tomber sur le carrelage.
- Pas comme ça petit con. Déloque-toi d'abord !
J'enlevai mon tee shirt et mon caleçon que je gardais pour traîner dans l'appart et je repris ma place. Son sexe sentait la transpiration et un peu l'urine. A dix heures du matin, ça me dégoûtait un peu mais j'essayais de faire abstraction et le léchai un peu partout. Il banda instantanément.
La taille de sa queue était assez impressionnante quand elle était bien dure. Il ne me prêtait aucune attention et engloutissait ses tartines pendant que je le suçais. Il avait beau avoir perdu un peu de poids, il était impressionnant à poil. C'était un colosse. Un gabarit qui me plaît mais il y avait un "je-ne-sais-quoi" chez lui de vraiment désagréable. Il empoigna ma tête et enfonça sa queue jusqu'au fond de ma gorge me forçant presque à régurgiter.
- Allez, fais pas tant d'histoires, bouffe tout !
Je m'appliquai encore mais son gros gland remplissait toute la cavité et m'empêchait de respirer bien à mon aise. Il éjacula sur mon visage et m'ordonna d'aller terminer de faire couler son bain. Je me dis que si la journée commençait comme ça, j'allais finir en morceaux. Je m'essuyais et fis à nouveau couler l'eau. Il entra, toujours à poil, le sexe gluant de son sperme, sans la salle de bain et se plongea dans l'eau et la mousse.
- Parfait. T'es un bon esclave.
Il rit de bon coeur. Je sortis, refermai la porte et attendis qu'il sorte du bain. Il y resta un certain temps puis je l'entendis m'appeler.
- Trouve-moi des chaussettes blanches qui puissent aller dans mes baskets, j'ai plus rien de propre et tu feras une lessive.
- Oui.
Je n'osai pas fouiller dans les affaires d'Yvan mais j'y fus obligé. Je chausse du 40 alors que je pense que la pointure de Sélim doit avoisiner les 46. Je lui tendis une paire de chaussettes blanches qu'il passa sans dire un mot. Il m'ordonna de ramasser ses vêtements et de les laver. Il était arrivé depuis plusieurs jours et ne portait jamais deux fois la même chose. La machine à laver était totalement pleine.
- Fais-gaffe, mon pull gris passe pas au sèche-linge.
J'étais vraiment son larbin. Tant pis, si je ne m'occupais pas de lui royalement, Yvan me le ferait payer.
- Je sors toute la matinée. Quand je reviens, le repas de midi doit être sur la table. T'as compris ?
- Oui, Sélim, je m'en occupe.
Ce rôle d'esclave ménager me plaisait assez peu. Ca ne me dérangeait pas de le faire pour Yvan mais franchement, son crétin de copain... Je m'attelai à lui faire à manger. Je savais qu'il aimait les pâtes donc j'en préparai à la carbonara je pense. Il arriva à 13 heures et tout était parfait.
- T'as mangé.
- Oui.
- Parfait alors fais-moi un café après on va se marrer.
Je filai dans la cuisine pour lui faire couler son café et le lui apportai.
- Désape-toi complètement et mets-toi à plat ventre par terre là bas.
Il m'indiqua un coin du salon un peu éloigné. J'ôtai encore une fois mon tee shirt et mon calbut et me mis en position.
- Maintenant, tu vas ramper jusqu'à moi... Allez, mieux que ça. Tire sur tes bras. Allez...
Je rampais sur le tapis. Les fibres irritaient mon corps nu et surtout mes genoux mais je me traînais tant bien que mal jusqu'aux pieds de notre invité. Il posa une de ses baskets sur mon visage et me maintint dans cette position humiliante.
- T'es un bâtard, petit pédé hein ?
Sa semelle me faisait mal. J'étais sûr qu'elle serait imprimée sur ma joue tant il appuyait. Son autre pied tomba lourdement sur mon dos ce qui me coupa le souffle puis, il se leva et commença à me piétiner le dos et les fesses. Il me donna des coups de pieds. Je n'avais jamais fait ça. J'étais humilié et son poids était très important. J'avais l'impression qu'il allait me briser en mille morceaux. Il me frappait à coup de pompes. C'était très douloureux, il me coupait le souffle à chaque fois. Il m'insultait, me crachait dessus.
- Bâtard, je vais te défoncer ta gueule ! Allez, enlève-moi mes pompes et lèche.
J'obéis, un peu tétanisé. J'ôtais ses baskets et je commençais à lécher les chaussettes de mon homme sur ses pieds. Ca avait quelque chose d'excitant.
- C'est bien t'es un bon clebs.
Je lui enlevai les chaussettes et commençais à lécher ses orteils avec la même application que si je le suçais. C'était excellent car je le sentais réagir. Il adorait ce que je lui faisais. D'un coup, il m'envoya un coup de pied dans le ventre et je m'aplatis sur le sol. Il baissa son survêt et me fit sucer sa queue.
- Allez, fais-moi bien bander, je vais défoncer ton cul.
Il m'étouffait et j'avais beaucoup de mal à utiliser ma langue.
- Fais gaffe ! Si je sens une autre fois tes dents, ça va mal aller !
Il se débarrassa de son pantalon et me fit lécher ses couilles. Je m'appliquai. Il m'enfonça encore sa queue dans la bouche violemment jusqu'au fond de ma gorge puis la retira et me giflé.
- Je t'avais prévenu !
J'eus droit à une claque, une autre et il me frappa sur tout le corps à mains nues.
- Tu dois être puni non ?
- Euh....
- Non ?
- Oui...
- Allez, va me chercher une ceinture.
J'allais jusqu'à la chambre d'Yvan prendre un ceinturon. Je le choisis large et souple en me disant que ça me ferait moins mal. Sélim était une force de la nature et j'étais certain qu'il ne pratiquait pas souvent ce genre de choses alors j'avais peur de sa maladresse. Un peu tremblant, je vins lui apporter.
- Allez, couche-toi sur le canapé. Mets ça pour te surélever les fesses.
Il m'avait tendu deux coussins que je glissais sous mon corps. J'étais nu, à plat ventre, totalement offert à ses coups. Il me frappa une première fois et je serrai les dents.
- Ca fait mal ?
- Oui...
- Tu l'as mérité et en plus ça me fait bander plus dur.
Un autre coup, un autre... un autre... Je gémissais à chaque fois. Je supporte assez bien quand la punition est progressive mais là, il tapait fort dès la première fois alors c'était dur. Le sixième ou septième coup fut dur à encaisser et je criai. Il m'en envoya un autre sur le dos. J'aurais voulu qu'Yvan rentre. Je n'en pouvais plus. Le SM requiert un peu de pratique quand même. C'était horrible.
- Arrête, je m'appliquerai. Je n'en peux plus...
Je sentais les larmes couler malgré moi sur mes joues. Il me releva puis me fit mettre à genoux. Je le léchais tout doucement. C'était agréable pour lui je pense.
- Capote !
J'en attrapais une dans une boite sur le meuble du salon et je la déroulais sur son sexe. Il était bien monté mais j'aimais assez quand il me baisait car pour ça, il avait de la pratique. Il me fit mettre à quatre pattes sur le tapis.
- Mets ta gueule par terre !
Il me pénétra assez rapidement. J'étouffais un cri. Il avait déclenché chez moi un mécanisme de plaisir génial. Il me défonça en me tenant par les hanches. C'était brutal mais j'ai adoré ! Au bout d'un va et viens qui me rendait complètement dingue. Il éjacula dans la capote et se laissa tomber sur moi. Il était lourd et j'avais du mal à respirer pourtant il resta en moi, le sexe encore dur pendant plusieurs minutes. Il se retira et me tendis la capote pour que je la jette. Je soir, au lit, je racontai à Yvan ce qui s'était passé. Sélim était parti en boite et ça excita mon maître. Il commença à me lécher d'une manière très animale, le visage, le torse, les aisselles, le cul puis me pénétra à son tour.
- Il a fait le passage ce salaud...
C'était très excitant. Je bandais comme un malade. Je ne regrettais pas du tout que Sélim m'ait corrigé. On aurait dit qu'Yvan léchait mes blessures avec sa langue. Il me pilonna fortement. C'était un pied pas possible. Le lendemain, je me rendis compte que j'avais les marques du ceinturon sur les fesses. Je pense que ça avait du exciter Yvan encore plus. Sélim partit le lendemain. Par la suite, je ne l'ai revu que rarement. Je pense qu'il y a eu, si ce n'est une brouille, au moins quelques soucis dans sa relation avec Yvan.
Lyon était déserte en août et je ne faisais pas grand chose de mes journées à part lire les ouvrages qui m'aideraient à préparer mon mémoire de maîtrise sur Catherine de Médicis. J'aimais beaucoup lire et mes études me plaisaient. En plus, je réussissais assez bien sans trop d'efforts. Yvan ne me trouvait pas de "clients" au mois d'août et il me négligeait un peu sexuellement la semaine car il était fatigué par le travail et la chaleur. Mon oisiveté l'exaspérait car je sortais peu et l'appartement était toujours nickel étant donné que j'étais là tout le temps et que je m'en occupais au fur et à mesure. Après le quinze août, le fait de ne pas trouver d'ordres à me donner l'agaça et il commença à se montrer très désagréable. Ce fut l'arrivée à Lyon de Sélim qui me sauva d'une mauvaise humeur ambiante qui était en train de m'inquiéter. En règle générale, je le détestait. Il était absolument sans gène, se faisait servir comme un pacha et ne s'intéressait à moi que pour se vider les couilles mais là, j'étais content qu'il vienne rompre la monotonie. Je ne l'avais pas vu depuis longtemps mais il n'avait pas le moins du monde changé. En effet, il sortait le soir, rentrait dans des états terribles et passait la matinée à dormir. Quand il se levait, je devais être aux petits soins pour lui. Son petit déjeuner devait être prêt et je devais le satisfaire s'il en avait envie. Sexuellement, il était d'un égoïsme terrible. Je lui servait d'objet sexuel d'ailleurs il ne parlait jamais de moi à Yvan qu'en disant "ton vide couilles".
Sélim aimait le sexe c'était indéniable. Il était très beau parleur et je ne doutais pas qu'il arrivait bien à se taper des filles dans les chiottes des boites de nuit où il sortait mais ça ne l'empêchait pas de se branler facilement et de me siffler pour lui donner un coup de main. Au début, je n'aimais pas trop ça car il était un peu violent et surtout très maladroit. Les pénétrations n'étaient pas du tout agréables bien souvent et je n'aimais pas tellement le sucer mais son côté autoritaire le rendait assez excitant et, cet été-là, il abusait de sa position d'invité pour me donner des ordres : "Va me chercher ci" "Amène-moi mes pompes" "Viens t'occuper de ma queue" "Décrasse mes panards"... des tas d'ordres en tous genre qui réjouissaient Yvan. Enfin, il m'avait trouvé une occupation : être le souffre-douleur et le larbin de son pote. Physiquement, Sélim avait changé. Il était toujours costaud mais devenait plus musclé. Après son petit déjeuner, il faisait du sport dans ma chambre. L'avantage de sa présence était aussi que je pouvais dormir avec Yvan toutes les nuits et me lover contre lui. Il avait d'ailleurs l'air de trouver ça agréable. Pendant toute la durée de son séjour, je n'entrai dans ma chambre que pour aérer et changer les draps. Tous les soirs il sortait et rentrait imbibé d'alcool sentant le sexe et la transpiration. On avait l'impression d'entrer dans la tanière d'un fauve. Un matin, il se leva plus tôt que d'habitude. Je lui préparai son petit déjeuner et il m'ordonna de lui faire couler un bain. J'obéis. Je surveillai de temps en temps l'eau qui coulait tout en lui faisant chauffer du café et griller du pain.
- Ah c'est bien d'avoir un esclave quand même. Il faudrait que je m'en trouve un.
- Ton petit déj est prêt. J'arrête le bain et je rajouterai de l'eau chaude tout à l'heure ?
- Ouais fais comme ça et viens me sucer pendant que je bouffe.
Je m'agenouillais entre ses jambes mais il m'envoya une claque qui me fit tomber sur le carrelage.
- Pas comme ça petit con. Déloque-toi d'abord !
J'enlevai mon tee shirt et mon caleçon que je gardais pour traîner dans l'appart et je repris ma place. Son sexe sentait la transpiration et un peu l'urine. A dix heures du matin, ça me dégoûtait un peu mais j'essayais de faire abstraction et le léchai un peu partout. Il banda instantanément.
La taille de sa queue était assez impressionnante quand elle était bien dure. Il ne me prêtait aucune attention et engloutissait ses tartines pendant que je le suçais. Il avait beau avoir perdu un peu de poids, il était impressionnant à poil. C'était un colosse. Un gabarit qui me plaît mais il y avait un "je-ne-sais-quoi" chez lui de vraiment désagréable. Il empoigna ma tête et enfonça sa queue jusqu'au fond de ma gorge me forçant presque à régurgiter.
- Allez, fais pas tant d'histoires, bouffe tout !
Je m'appliquai encore mais son gros gland remplissait toute la cavité et m'empêchait de respirer bien à mon aise. Il éjacula sur mon visage et m'ordonna d'aller terminer de faire couler son bain. Je me dis que si la journée commençait comme ça, j'allais finir en morceaux. Je m'essuyais et fis à nouveau couler l'eau. Il entra, toujours à poil, le sexe gluant de son sperme, sans la salle de bain et se plongea dans l'eau et la mousse.
- Parfait. T'es un bon esclave.
Il rit de bon coeur. Je sortis, refermai la porte et attendis qu'il sorte du bain. Il y resta un certain temps puis je l'entendis m'appeler.
- Trouve-moi des chaussettes blanches qui puissent aller dans mes baskets, j'ai plus rien de propre et tu feras une lessive.
- Oui.
Je n'osai pas fouiller dans les affaires d'Yvan mais j'y fus obligé. Je chausse du 40 alors que je pense que la pointure de Sélim doit avoisiner les 46. Je lui tendis une paire de chaussettes blanches qu'il passa sans dire un mot. Il m'ordonna de ramasser ses vêtements et de les laver. Il était arrivé depuis plusieurs jours et ne portait jamais deux fois la même chose. La machine à laver était totalement pleine.
- Fais-gaffe, mon pull gris passe pas au sèche-linge.
J'étais vraiment son larbin. Tant pis, si je ne m'occupais pas de lui royalement, Yvan me le ferait payer.
- Je sors toute la matinée. Quand je reviens, le repas de midi doit être sur la table. T'as compris ?
- Oui, Sélim, je m'en occupe.
Ce rôle d'esclave ménager me plaisait assez peu. Ca ne me dérangeait pas de le faire pour Yvan mais franchement, son crétin de copain... Je m'attelai à lui faire à manger. Je savais qu'il aimait les pâtes donc j'en préparai à la carbonara je pense. Il arriva à 13 heures et tout était parfait.
- T'as mangé.
- Oui.
- Parfait alors fais-moi un café après on va se marrer.
Je filai dans la cuisine pour lui faire couler son café et le lui apportai.
- Désape-toi complètement et mets-toi à plat ventre par terre là bas.
Il m'indiqua un coin du salon un peu éloigné. J'ôtai encore une fois mon tee shirt et mon calbut et me mis en position.
- Maintenant, tu vas ramper jusqu'à moi... Allez, mieux que ça. Tire sur tes bras. Allez...
Je rampais sur le tapis. Les fibres irritaient mon corps nu et surtout mes genoux mais je me traînais tant bien que mal jusqu'aux pieds de notre invité. Il posa une de ses baskets sur mon visage et me maintint dans cette position humiliante.
- T'es un bâtard, petit pédé hein ?
Sa semelle me faisait mal. J'étais sûr qu'elle serait imprimée sur ma joue tant il appuyait. Son autre pied tomba lourdement sur mon dos ce qui me coupa le souffle puis, il se leva et commença à me piétiner le dos et les fesses. Il me donna des coups de pieds. Je n'avais jamais fait ça. J'étais humilié et son poids était très important. J'avais l'impression qu'il allait me briser en mille morceaux. Il me frappait à coup de pompes. C'était très douloureux, il me coupait le souffle à chaque fois. Il m'insultait, me crachait dessus.
- Bâtard, je vais te défoncer ta gueule ! Allez, enlève-moi mes pompes et lèche.
J'obéis, un peu tétanisé. J'ôtais ses baskets et je commençais à lécher les chaussettes de mon homme sur ses pieds. Ca avait quelque chose d'excitant.
- C'est bien t'es un bon clebs.
Je lui enlevai les chaussettes et commençais à lécher ses orteils avec la même application que si je le suçais. C'était excellent car je le sentais réagir. Il adorait ce que je lui faisais. D'un coup, il m'envoya un coup de pied dans le ventre et je m'aplatis sur le sol. Il baissa son survêt et me fit sucer sa queue.
- Allez, fais-moi bien bander, je vais défoncer ton cul.
Il m'étouffait et j'avais beaucoup de mal à utiliser ma langue.
- Fais gaffe ! Si je sens une autre fois tes dents, ça va mal aller !
Il se débarrassa de son pantalon et me fit lécher ses couilles. Je m'appliquai. Il m'enfonça encore sa queue dans la bouche violemment jusqu'au fond de ma gorge puis la retira et me giflé.
- Je t'avais prévenu !
J'eus droit à une claque, une autre et il me frappa sur tout le corps à mains nues.
- Tu dois être puni non ?
- Euh....
- Non ?
- Oui...
- Allez, va me chercher une ceinture.
J'allais jusqu'à la chambre d'Yvan prendre un ceinturon. Je le choisis large et souple en me disant que ça me ferait moins mal. Sélim était une force de la nature et j'étais certain qu'il ne pratiquait pas souvent ce genre de choses alors j'avais peur de sa maladresse. Un peu tremblant, je vins lui apporter.
- Allez, couche-toi sur le canapé. Mets ça pour te surélever les fesses.
Il m'avait tendu deux coussins que je glissais sous mon corps. J'étais nu, à plat ventre, totalement offert à ses coups. Il me frappa une première fois et je serrai les dents.
- Ca fait mal ?
- Oui...
- Tu l'as mérité et en plus ça me fait bander plus dur.
Un autre coup, un autre... un autre... Je gémissais à chaque fois. Je supporte assez bien quand la punition est progressive mais là, il tapait fort dès la première fois alors c'était dur. Le sixième ou septième coup fut dur à encaisser et je criai. Il m'en envoya un autre sur le dos. J'aurais voulu qu'Yvan rentre. Je n'en pouvais plus. Le SM requiert un peu de pratique quand même. C'était horrible.
- Arrête, je m'appliquerai. Je n'en peux plus...
Je sentais les larmes couler malgré moi sur mes joues. Il me releva puis me fit mettre à genoux. Je le léchais tout doucement. C'était agréable pour lui je pense.
- Capote !
J'en attrapais une dans une boite sur le meuble du salon et je la déroulais sur son sexe. Il était bien monté mais j'aimais assez quand il me baisait car pour ça, il avait de la pratique. Il me fit mettre à quatre pattes sur le tapis.
- Mets ta gueule par terre !
Il me pénétra assez rapidement. J'étouffais un cri. Il avait déclenché chez moi un mécanisme de plaisir génial. Il me défonça en me tenant par les hanches. C'était brutal mais j'ai adoré ! Au bout d'un va et viens qui me rendait complètement dingue. Il éjacula dans la capote et se laissa tomber sur moi. Il était lourd et j'avais du mal à respirer pourtant il resta en moi, le sexe encore dur pendant plusieurs minutes. Il se retira et me tendis la capote pour que je la jette. Je soir, au lit, je racontai à Yvan ce qui s'était passé. Sélim était parti en boite et ça excita mon maître. Il commença à me lécher d'une manière très animale, le visage, le torse, les aisselles, le cul puis me pénétra à son tour.
- Il a fait le passage ce salaud...
C'était très excitant. Je bandais comme un malade. Je ne regrettais pas du tout que Sélim m'ait corrigé. On aurait dit qu'Yvan léchait mes blessures avec sa langue. Il me pilonna fortement. C'était un pied pas possible. Le lendemain, je me rendis compte que j'avais les marques du ceinturon sur les fesses. Je pense que ça avait du exciter Yvan encore plus. Sélim partit le lendemain. Par la suite, je ne l'ai revu que rarement. Je pense qu'il y a eu, si ce n'est une brouille, au moins quelques soucis dans sa relation avec Yvan.
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