Nous entendions les voitures arriver. C'était assez flippant. Je pense que nous avons du attendre à peu près une heure avant qu'il se passe quelque chose. Au bout d'un certain laps de temps, des pas résonnèrent dans le local. De notre cellule nous ne pouvions pas voir vraiment ce qui se passait dans la pièce mais des gens étaient tout prêt et murmuraient. J'avais peur. Pour la première fois, ma confiance en Yvan était ébranlée. Je tremblai. Cyril ne disait plus rien. Il semblait nerveux aussi. Au bout d'un moment Patrick et un grand black entrèrent dans la cellule.
- Bon les gars, c'est le moment de l'interrogatoire. On va s'occuper de votre cas.
Patrick sortit suivi de son acolyte et deux autres mecs entrèrent dans la cellule et me détachèrent. Je les suivis docilement. La pièce était très peu éclairée mais aucune trace des gens à qui appartenaient les pas et les murmures que j'avais entendu. Patrick prit à nouveau la parole.
- Bon, enchaînez-le, on va commencer par son copain.
Il ne me regardait pas. Je me laissai immobiliser bras et jambes dans les fers. C'était inconfortable mais je ne résistai pas. Une odeur de sueur et de cire qui se consumait régnait dans la pièce. Les deux "gardes" amenèrent Cyril. Il était docile. Patrick continua de dominer la situation.
- Allongez-le sur cette table, sur le dos et attachez-le.
Le plus costaud des "gardes" porta Cyril et l'allongea de force sur la table. Il cessa d'être stoïque. Il se débatti.
- Non, pas comme ça....
Il se retourna à plat ventre sur la table. Le black lui tira violemment les cheveux.
- C'est pas toi qui décide bâtard. Tu vas être interroger. T'as intérêt à avouer.
Il se saisit de Cyril et le retourna brutalement pour que les autres puissent l'attacher.
Ce n'était pas de la comédie. Il avait eu un moment de panique. Je tremblai aussi. J'étais enchaîné si serré et dans une position si inconfortable que mes membres me faisaient mal. Je me souviens de la douleur dans ma nuque qui était très difficilement supportable.
Cyril fut immobilisé par les deux sbires et Bara (c'était le nom du black, je le savais car j'avais déjà entendu parler de lui). Patrick faisait des signes pour qu'on l'attache très solidement.
- Il faut qu'il ne puisse pas bouger.
S'adressant à Cyril :
- Tu as trompé ton Master. Tu vas nous avouer avec qui.
- Non, je n'ai rien fait.
- Tu ose répliquer ! Quand tu seras passé dans nos mains, tu feras moins le fanfaron. On va voir si le courant passe entre nous.
Il eut un sourire mauvais. Je ne saurais jamais si l'expression que je pouvais voir sur le visage du soumis était feint ou s'il avait réellement peur. Bara tendis à Patrick une sonde qu'il enfonça dans l'urètre de Cyril avec bien peu de ménagement. Il hurla. Je m'étonnais de ne voir que les "gardes" et les "bourreaux". Où pouvaient bien se trouver Yvan, Jacques et les autres ? Je fus rappelé à la réalité par un nouveau cri de Cyril.
- Non, je t'en prie. J'avouerai tout ce que tu voudras mais pas ça.
- Si si, les couilles aussi.
Bara plaça deux électrodes avec de l'adhésif sur le scrotum du pauvre gars qui commençait bien mal le week end.
- Allez, les tétons et ça sera parfait.
Nouveau cri. Il se débattait mais les cordes et les menottes en cuir ne lui donnait pas beaucoup de latitude.
- Arrête de bouger, bâtard. Tu vas y avoir droit de toute manière. Hurla Bara.
J'avisai un grand miroir sur le mur en face de moi. En fait, les autres nous mataient par une glace sans tain. Jacques avait tout prévu. Je voyais tout le corps de Cyril trembler. Manifestement il avait déjà subi ça et il appréhendait. Je dois dire qu'à l'époque, toute mon expérience SM résidait dans des entraves et des coups. Je ne me doutais pas du tout de la sensation de l'électricité qui traverse les parties génitales. Patrick relia les fils à une espèce de commande. Je savais que ce genre de chose se pratiquait car j'avais lu deux ou trois récits dans une revue SM à laquelle était abonné Yvan et qu'il recevait sous pli discret. Les pinces sur les tétons lui rendait la peau presque violette alors que la séance n'avait pas commencé. A ce moment-là, j'espérai que jamais mon Maitre ne m'imposerait une pareille épreuve... Patrick s'approcha de sa victime :
- Je vais te dire ce qui va se passer. Je vais envoyer une impulsion d'abord dans tes couilles et ta bite. Je te poserai une question. Si la réponse n'est pas satisfaisante, j'en enverrai une de la même force dans tes seins. Si la réponse n'est pas satisfaisante, je recommencerai l'opération en augmentant l'intensité. Tu es prêt ?
- Non, pas ça...
Il avait vraiment peur j'en était persuadé. Je me suis toujours demandé jusqu'où allait la volonté de subir dans ce genre de plan et où commençait la vraie peur. Avec Cyril c'était impossible à déterminer tant il donnait le change quand il pouvait encore supporter.
Première impulsion. Il hurla.
- Ca fait déjà mal ? Tu vas pas me faire croire ça.
Pourtant, il transpirait. Je voyais la sueur couler sous ses aisselles et le long de ses tempes.
- Bien, alors, avec qui trompes-tu ton Maître ?
- Je suis fidèle, je vous le jure.
- Son nom ?
- Il a la tête dure. On va voir combien de temps il résiste. On t'en envoie une un peu plus forte ?
- Non...
- Alors parle.
- Je ne l'ai pas trompé.... aaah.
Patrick n'avait pas attendu. La décharge était partie. Le sexe de Cyril était dur malgré lui autour de la sonde. Il eut un terrible soubresaut. Il hurla encore. Il haletait. Bizarrement, sa souffrance m'excitait. Je l'enviais et en même temps je n'avais pas envie de ce genre de plan. Je m'explique : j'aimais l'idée de me dépasser pour plaire à Yvan mais je me sentais incapable de subir cette souffrance qui semblait insurmontable.
- Son nom.
Un silence et il envoya une décharge dans les tétons du soumis. A l'époque, je n'avais pas compris que pour électrocuter cet endroit-là, il fallait être sûr que le soumis ne prenait pas de risque cardiaque. Cyril hurla à nouveau.
- Encore ?
Un autre silence puis une autre impulsion dans le sexe. Patrick y allait de plus en plus fort. Sa victime hurlait, haletait mais ne répondait pas. Il restait muet. Une autre décharge dans les tétons, un autre cri. Je commençais à n'être plus excité.
Patrick répéta l'opération deux ou trois fois et finalement lâcha prise.
- Ca marche pas. On va essayer autre chose.
Je me suis dit qu'à sa place, j'aurai balancé un nom n'importe lequel. Je ne savais pas qu'instinctivement, je résisterai moi aussi à la torture jusqu'à me dépasser totalement. La peur et la douleur sont appréhendées bizarrement parfois par les gens ayant un fond masochiste.
Cyril haletait, soufflait. Il était en sueur. Bara s'approcha de lui et arracha les pinces de ses tétons en le faisant gueuler une fois de plus. Le torturé tressaillit en le voyant s'approcher de lui encore pour lui enlever les électrodes des couilles. Il ne réagit pas tellement mais lorsque Patrick retira la sonde d'un coup, son hurlement me glaça. Ils le laissèrent reprendre ses esprits. Il pleurait nerveusement. J'entendis Patrick lui glisser à l'oreille quelques mots concernant le signal à envoyer s'il n'en pouvait vraiment plus. Je fus un peu rassuré car j'avais peur que ça aille trop loin. Les "gardes" le détachèrent. Ils le soutenaient car il avait du mal à tenir sur ses jambes. Bara s'approcha de lui menaçant. Il était tout à fait dans son personnage.
- Tu vas parler ou je te massacre !
- Je n'ai pas trompé mon Maître....
Patrick repris les choses en main.
- Attachez-le à la croix dans l'autre sens.
Les "gardes" le posèrent contre une croix de Saint-André. Il était comme secoué de soubresauts. Je trouvais ça vraiment terrible car même s'il faisait un peu de cinéma, ce qu'il subissait devait être dur à supporter. Patrick lui tira la tête en arrière en le tirant par les cheveux.
- On va te frapper à tour de rôle jusqu'à ce que tu avoue avec qui tu baise. Rappelle-toi qu'on est là jusqu'à demain et que ce n'est que l'interrogatoire. Une sentence va être prononcée contre toi et il faudra en subir l'exécution.
Cette fois, ce qu'il allait subir, je le connaissais et je savais que j'aurai du mal à supporter à sa place. Cyril serra les dents quant à moi, j'étais un contracté et je me sentais un peu ankylosé. Les coups commencèrent à pleuvoir. Patrick frappait avec un long bâton et Bara avec un fouet à une lanière. A chaque coup, la peau du soumis se colorait et il criait. Au bout de quelques minutes, son dos et ses fesses étaient marqués très profondément et des larmes coulaient sur ses joues. Il suppliait mais apparemment il n'avait pas encore donné le code donc la punition repris.
Les marques sur son corps tournaient très vite au violet puis au bleu. C'était très impressionnant et je savais que j'avais déjà été dans cet état-là même si j'avais du mal à voir les marques sur le moment étant donné qu'il me fallait un miroir. Je savais aussi qu'il fallait plus d'une semaine pour qu'elles guérissent même si on nourrissait la peau avec de la crème apaisante car Yvan me soignait après mes punitions. Et les coups continuaient.
- Parle.
- Allez !
Il gémissait, se tortillait. Je voyais les braguettes des "gardes" devenir plus proéminentes. C'était un exercice qui les satisfaisaient. J'avais l'impression que je connaissais l'un d'eux. En fait, c'était Mickaël qui était venu dans la Drôme chez Yvan. Ses cheveux étaient plus courts et il portait un semblant de bouc. Je ne l'avais pas reconnu tout de suite.
- Je vais parler... arrêtez...
Et Cyril éclata en sanglots. Il était si abîmé que je ne comprenais pas pourquoi il n'avait pas cédé avant.
- Il s'appelle Bertrand... Je ne le reverrai plus...
- Parfait. Les mecs, détâchez-le et rentrez-le à la niche.
Ils le traînèrent car il avait du mal à marcher. Je trouvais qu'il en faisait un peu trop mais le spectacle était convaincant.
Cette fois, c'était mon tour...
A suivre
- Bon les gars, c'est le moment de l'interrogatoire. On va s'occuper de votre cas.
Patrick sortit suivi de son acolyte et deux autres mecs entrèrent dans la cellule et me détachèrent. Je les suivis docilement. La pièce était très peu éclairée mais aucune trace des gens à qui appartenaient les pas et les murmures que j'avais entendu. Patrick prit à nouveau la parole.
- Bon, enchaînez-le, on va commencer par son copain.
Il ne me regardait pas. Je me laissai immobiliser bras et jambes dans les fers. C'était inconfortable mais je ne résistai pas. Une odeur de sueur et de cire qui se consumait régnait dans la pièce. Les deux "gardes" amenèrent Cyril. Il était docile. Patrick continua de dominer la situation.
- Allongez-le sur cette table, sur le dos et attachez-le.
Le plus costaud des "gardes" porta Cyril et l'allongea de force sur la table. Il cessa d'être stoïque. Il se débatti.
- Non, pas comme ça....
Il se retourna à plat ventre sur la table. Le black lui tira violemment les cheveux.
- C'est pas toi qui décide bâtard. Tu vas être interroger. T'as intérêt à avouer.
Il se saisit de Cyril et le retourna brutalement pour que les autres puissent l'attacher.
Ce n'était pas de la comédie. Il avait eu un moment de panique. Je tremblai aussi. J'étais enchaîné si serré et dans une position si inconfortable que mes membres me faisaient mal. Je me souviens de la douleur dans ma nuque qui était très difficilement supportable.
Cyril fut immobilisé par les deux sbires et Bara (c'était le nom du black, je le savais car j'avais déjà entendu parler de lui). Patrick faisait des signes pour qu'on l'attache très solidement.
- Il faut qu'il ne puisse pas bouger.
S'adressant à Cyril :
- Tu as trompé ton Master. Tu vas nous avouer avec qui.
- Non, je n'ai rien fait.
- Tu ose répliquer ! Quand tu seras passé dans nos mains, tu feras moins le fanfaron. On va voir si le courant passe entre nous.
Il eut un sourire mauvais. Je ne saurais jamais si l'expression que je pouvais voir sur le visage du soumis était feint ou s'il avait réellement peur. Bara tendis à Patrick une sonde qu'il enfonça dans l'urètre de Cyril avec bien peu de ménagement. Il hurla. Je m'étonnais de ne voir que les "gardes" et les "bourreaux". Où pouvaient bien se trouver Yvan, Jacques et les autres ? Je fus rappelé à la réalité par un nouveau cri de Cyril.
- Non, je t'en prie. J'avouerai tout ce que tu voudras mais pas ça.
- Si si, les couilles aussi.
Bara plaça deux électrodes avec de l'adhésif sur le scrotum du pauvre gars qui commençait bien mal le week end.
- Allez, les tétons et ça sera parfait.
Nouveau cri. Il se débattait mais les cordes et les menottes en cuir ne lui donnait pas beaucoup de latitude.
- Arrête de bouger, bâtard. Tu vas y avoir droit de toute manière. Hurla Bara.
J'avisai un grand miroir sur le mur en face de moi. En fait, les autres nous mataient par une glace sans tain. Jacques avait tout prévu. Je voyais tout le corps de Cyril trembler. Manifestement il avait déjà subi ça et il appréhendait. Je dois dire qu'à l'époque, toute mon expérience SM résidait dans des entraves et des coups. Je ne me doutais pas du tout de la sensation de l'électricité qui traverse les parties génitales. Patrick relia les fils à une espèce de commande. Je savais que ce genre de chose se pratiquait car j'avais lu deux ou trois récits dans une revue SM à laquelle était abonné Yvan et qu'il recevait sous pli discret. Les pinces sur les tétons lui rendait la peau presque violette alors que la séance n'avait pas commencé. A ce moment-là, j'espérai que jamais mon Maitre ne m'imposerait une pareille épreuve... Patrick s'approcha de sa victime :
- Je vais te dire ce qui va se passer. Je vais envoyer une impulsion d'abord dans tes couilles et ta bite. Je te poserai une question. Si la réponse n'est pas satisfaisante, j'en enverrai une de la même force dans tes seins. Si la réponse n'est pas satisfaisante, je recommencerai l'opération en augmentant l'intensité. Tu es prêt ?
- Non, pas ça...
Il avait vraiment peur j'en était persuadé. Je me suis toujours demandé jusqu'où allait la volonté de subir dans ce genre de plan et où commençait la vraie peur. Avec Cyril c'était impossible à déterminer tant il donnait le change quand il pouvait encore supporter.
Première impulsion. Il hurla.
- Ca fait déjà mal ? Tu vas pas me faire croire ça.
Pourtant, il transpirait. Je voyais la sueur couler sous ses aisselles et le long de ses tempes.
- Bien, alors, avec qui trompes-tu ton Maître ?
- Je suis fidèle, je vous le jure.
- Son nom ?
- Il a la tête dure. On va voir combien de temps il résiste. On t'en envoie une un peu plus forte ?
- Non...
- Alors parle.
- Je ne l'ai pas trompé.... aaah.
Patrick n'avait pas attendu. La décharge était partie. Le sexe de Cyril était dur malgré lui autour de la sonde. Il eut un terrible soubresaut. Il hurla encore. Il haletait. Bizarrement, sa souffrance m'excitait. Je l'enviais et en même temps je n'avais pas envie de ce genre de plan. Je m'explique : j'aimais l'idée de me dépasser pour plaire à Yvan mais je me sentais incapable de subir cette souffrance qui semblait insurmontable.
- Son nom.
Un silence et il envoya une décharge dans les tétons du soumis. A l'époque, je n'avais pas compris que pour électrocuter cet endroit-là, il fallait être sûr que le soumis ne prenait pas de risque cardiaque. Cyril hurla à nouveau.
- Encore ?
Un autre silence puis une autre impulsion dans le sexe. Patrick y allait de plus en plus fort. Sa victime hurlait, haletait mais ne répondait pas. Il restait muet. Une autre décharge dans les tétons, un autre cri. Je commençais à n'être plus excité.
Patrick répéta l'opération deux ou trois fois et finalement lâcha prise.
- Ca marche pas. On va essayer autre chose.
Je me suis dit qu'à sa place, j'aurai balancé un nom n'importe lequel. Je ne savais pas qu'instinctivement, je résisterai moi aussi à la torture jusqu'à me dépasser totalement. La peur et la douleur sont appréhendées bizarrement parfois par les gens ayant un fond masochiste.
Cyril haletait, soufflait. Il était en sueur. Bara s'approcha de lui et arracha les pinces de ses tétons en le faisant gueuler une fois de plus. Le torturé tressaillit en le voyant s'approcher de lui encore pour lui enlever les électrodes des couilles. Il ne réagit pas tellement mais lorsque Patrick retira la sonde d'un coup, son hurlement me glaça. Ils le laissèrent reprendre ses esprits. Il pleurait nerveusement. J'entendis Patrick lui glisser à l'oreille quelques mots concernant le signal à envoyer s'il n'en pouvait vraiment plus. Je fus un peu rassuré car j'avais peur que ça aille trop loin. Les "gardes" le détachèrent. Ils le soutenaient car il avait du mal à tenir sur ses jambes. Bara s'approcha de lui menaçant. Il était tout à fait dans son personnage.
- Tu vas parler ou je te massacre !
- Je n'ai pas trompé mon Maître....
Patrick repris les choses en main.
- Attachez-le à la croix dans l'autre sens.
Les "gardes" le posèrent contre une croix de Saint-André. Il était comme secoué de soubresauts. Je trouvais ça vraiment terrible car même s'il faisait un peu de cinéma, ce qu'il subissait devait être dur à supporter. Patrick lui tira la tête en arrière en le tirant par les cheveux.
- On va te frapper à tour de rôle jusqu'à ce que tu avoue avec qui tu baise. Rappelle-toi qu'on est là jusqu'à demain et que ce n'est que l'interrogatoire. Une sentence va être prononcée contre toi et il faudra en subir l'exécution.
Cette fois, ce qu'il allait subir, je le connaissais et je savais que j'aurai du mal à supporter à sa place. Cyril serra les dents quant à moi, j'étais un contracté et je me sentais un peu ankylosé. Les coups commencèrent à pleuvoir. Patrick frappait avec un long bâton et Bara avec un fouet à une lanière. A chaque coup, la peau du soumis se colorait et il criait. Au bout de quelques minutes, son dos et ses fesses étaient marqués très profondément et des larmes coulaient sur ses joues. Il suppliait mais apparemment il n'avait pas encore donné le code donc la punition repris.
Les marques sur son corps tournaient très vite au violet puis au bleu. C'était très impressionnant et je savais que j'avais déjà été dans cet état-là même si j'avais du mal à voir les marques sur le moment étant donné qu'il me fallait un miroir. Je savais aussi qu'il fallait plus d'une semaine pour qu'elles guérissent même si on nourrissait la peau avec de la crème apaisante car Yvan me soignait après mes punitions. Et les coups continuaient.
- Parle.
- Allez !
Il gémissait, se tortillait. Je voyais les braguettes des "gardes" devenir plus proéminentes. C'était un exercice qui les satisfaisaient. J'avais l'impression que je connaissais l'un d'eux. En fait, c'était Mickaël qui était venu dans la Drôme chez Yvan. Ses cheveux étaient plus courts et il portait un semblant de bouc. Je ne l'avais pas reconnu tout de suite.
- Je vais parler... arrêtez...
Et Cyril éclata en sanglots. Il était si abîmé que je ne comprenais pas pourquoi il n'avait pas cédé avant.
- Il s'appelle Bertrand... Je ne le reverrai plus...
- Parfait. Les mecs, détâchez-le et rentrez-le à la niche.
Ils le traînèrent car il avait du mal à marcher. Je trouvais qu'il en faisait un peu trop mais le spectacle était convaincant.
Cette fois, c'était mon tour...
A suivre
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