lundi 12 septembre 2011

Les vacances

Pour la troisième année, nous sommes partis en vacances. 

La destination était une maison qu'Yvan avait loué près de Toulon. C'était un endroit agréable, nous y sommes arrivés au début du mois de juillet. Notre relation était au beau fixe depuis qu'il m'avait organisé le plan que je vous ai raconté précédemment. Il faisait un temps splendide et nous allions beaucoup à la plage le matin. J'aime nager, j'ai toujours aimé ça et je savais pertinemment que si j'étais corrigé un peu fort adieu les bains de mer pendant deux ou trois jours alors je m'efforçais d'être parfaitement obéissant. Yvan m'offrit donc de l'accompagner à ses cours de plongée. C'était une activité que j'avais toujours eu envie d'expérimenter alors j'acceptais le cadeau de bon coeur car mes maigres revenus d'étudiant ne me permettaient pas de payer pour le stage. Yvan était très gentil au début des vacances. Il me faisait des compliments, me disait que je devenais un beau garçon, que c'était bien d'être ensemble. Il était presque romantique. Les choses ne pouvaient pas durer. A la fin de la première semaine, il m'informa que Patrick allait venir avec William, un de ses copains pour passer quelques jours avec nous. J'ai su dès ce moment-là que j'allais être le souffre-douleur et je ne me trompais pas. 

William était dans le même style que Patrick, toujours en sportswear, un petit bouc, une gueule séduisante et super souriant mais il ne fallait pas s'y tromper, il était dur comme l'acier. Il me plaisait physiquement et lors de la première soirée quand il manifesta le désir de me sauter, j'étais presque content. Les deux autres me feraient payer mon plaisir et je le savais mais ça ne m'importait pas. Un genre de rapport de force s'était installé avec Yvan : puisque je devais être leur jouet, il fallait que j'y prenne plaisir. En plus, ce n'était pas très difficile. C'était super excitant. C'était le début de l'après-midi, il est venu me rejoindre alors que je lisais sur la terrasse et m'a baissé mon maillot de bain pour qu'on aille dans la piscine. On a chahuté. Je me sentais détendu malgré la présence de Patrick et d'Yvan et je l'ai laissé m'embrasser, me sortir de l'eau et me baiser sur un transat. L'odeur javellisée de son corps me grisait. Mon erreur fut, le soir au dîner, de laisser tomber un verre et de le briser. Patrick sauta sur l'occasion :
- Ah, tu vas être puni, tu le sais ?
- Oui...
Yvan intervint :
- Ce n'est pas une faute grave, on pourrait commencer par une fessée.  
- Ca me semble un bon choix. Will tu veux t'en charger.
- Ok super !

Il me fit signe de m'allonger sur ses genoux en se claquant les cuisses.  Je baissais mon pantalon et m'allongeais sur le ventre. Je bandais déjà un peu. J'étais assez bien habillé car Yvan tenait à ce que les vacances soient "classes", à l'image de la maison, je portais donc pantalon et chemise. 
- Garde ton calbut pour le moment, dit William en enlevant sa chemise. 
Il commença à me claquer gentiment les fesses. Je me dandinais un peu mais j'aimais bien ça. Il baissa mon boxer petit à petit et frappa mes fesses nues un peu plus fort. Yvan bandait dans son pantalon en lin, je pouvais le voir alors je décidai de me trémousser un peu plus. J'avais envie de sexe et je me disais que ça pouvait être le départ d'un plan à trois. Patrick intensifia le jeu en proposant autre chose :
- C'est un peu juste comme punition, que pensez-vous de le frapper avec quelque chose ?

- Une ceinture, dit Yvan en décrochant la sienne. 
William me fit relever et pencher sur le canapé et commença à me donner des coups de ceinture. Je bandais carrément sous les coups, William le remarqua :
- En fait, il est carrément maso, il aime qu'on le frappe !
- C'est trop gentil, tape plus fort. Passe-le moi, je vais te montrer.
J'avais l'impression d'être un objet.
Il me fit relever et Patrick me pencha sur la table qu'Yvan avait débarrassé. Il commença à me frapper très fort à mains nues puis mon Master fit tout arrêter. Je dus me déshabiller pour aller chercher le café et le leur servir complètement nu. Yvan savait distiller ce genre de situation car plus rien ne se passa ce soir-là. Tous, nous étions excités mais il a fallu attendre le lendemain pour que les "festivités" recommencent. Dès le matin, William vint me trouver pour me dire :
- Dis-donc, elle était un peu brève ta punition hier ! Allez, baisse ton maillot de bain, on va reprendre. 

J'obéis et me penchai pour me reprendre une fessé. Les deux autres prenaient leur petit déjeuner sur la terrasse avec la porte fenêtre ouverte et je pouvais les voir me regarder avec leur sourire en coin.
William me frappait à nouveau. La correction était plus forte que la veille. Il se lâchait complètement pour le grand plaisir de Patrick qui devait se dire qu'il l'avait bien formé. Les coups étaient régulier. Mes fesses chauffaient.
Yvan lui donna un ordre :
- Frappe-le fort mais uniquement sur le cul. Je veux qu'il vienne à la plage avec nous. C'est quand même ses vacances et s'il a des marques, ça ne sera pas possible.
- Ok Boss !
Et la correction repris. Ce n'était pas facile à encaisser mais je supportai bien. Je serrai les dents. Aucun son ne sortait de ma bouche mais j'avais quand même mal. Je me tendais et me fixais pour ne pas bouger. Je ne bandais pas. En fait, j'aurais plus eu envie de sexe que de raclée même si parfois j'y prenais plaisir. William était un mec jeune, à peine plus âgé que moi et, même si je suis en général attiré par des gars plus vieux, son énergie un peu maladroite m'excitait. 
- On pourrait le corriger à la badine, dit Patrick.
- Oui, mais sur les fesses uniquement.

William s'approcha d'un porte-parapluie où se trouvaient deux canes anglaise et se saisit de l'une d'entre elle. Il frappait mes fesses de manière régulière et les coups de cane commencèrent à me mordre dès le second. C'était cinglant, douloureux. Je n'arrivais plus à me contrôler et je gémis un peu fort. Patrick se moqua de moi :
- Allons, d'habitude, tu supportes mieux que ça. Arrête de faire ta fillette.
- C'est déjà fort non ?
Yvan regarda William en souriant.
- Non, c'est une petite raclée. Il la mérite. Continue et tu peux y aller plus fort, n'hésite pas. 
Il ne se fit pas prier et je reçus d'autres coups de cane.
- Maintenant, tu vas les compter et à chaque coup tu dis "Merci William, puis-je en avoir un autre ?"
La badine fendit l'air :
- Un... Merci William, puis-je en avoir un autre ?
Il frappa encore plus fort en se prenant au jeu.
- Deux.... trois... quatre.... aaahhh.... Cinq, Merci William, puis-je en avoir un autre ?

- Il résiste, t'as raison !
- Ouais, tu vois, c'est un bon petit gars.
- Six... Sept... Huit... Neuf... Dix... Merci William...
Ma voix tremblait.
- On arrête ?
Patrick répondit :
- Ca, il faut demander à Yvan.
William interrogea mon maître du regard.
- Ouais allez, c'est les vacances.
- Seulement, maintenant on bande, il va falloir qu'on se les vide, dit Patrick.
Ils me firent déshabiller entièrement et m'emmenèrent dans la plus grande des chambres. Ils baissèrent leurs shorts et pantalons et je dus les sucer très longuement. J'aime baiser le matin aussi je me mis à l'ouvrage très volontiers. William était très excité donc il éjacula sur mon visage, répandant une quantité de sperme impressionnant, très rapidement. Les deux autres entreprirent de me baiser. Franchement, j'aimais le sexe de Patrick et quand il me pénétra, je ressentis du plaisir. Sa cruauté disparaissait presque quand il baisait. C'était excellent. Yvan eut une idée :
- Je vais pas te baiser ce matin mais tu vas boire mon sperme devant nos invités pour qu'ils voient comme tu es bien soumis. 
Il m'enfonça son sexe dans la bouche et j'avalai tout. La quantité était impressionnante aussi car nous n'avions pas baisé la veille. 

Il n'en fallu pas plus pour que Patrick se lâche, il se retira d'un coup jeta la capote sur le sol et inonda mon dos et mes cheveux. Yvan me tendis de quoi m'essuyer mais il y avait du sperme sur le lit et il m'ordonna de changer la housse de couette et d'aller me doucher.
J'obtempérai. Mes fesses douloureuse et mon corps encore un peu gluant, je me mettais au travaux ménagers tandis que les trois autres allèrent finir leur petit déjeuner comme si de rien n'étaient. Lorsque je revint sur la terrasse, ils étaient nus dans la piscine et rigolaient. Je n'osai pas les rejoindre mais Yvan m'y invita.
- Allez, t'as été bien puni, viens avec nous.
Il me prit dans ses bras et m'embrassa sur le front. Le reste du week end se déroula sans autre punition mais j'eus droit à une seconde partouze avant que nos invités ne nous quittent. Ensuite, les vacances reprirent leur cours et Yvan se montra gentil jusqu'à la rentrée.






 

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