jeudi 18 août 2011

Amadou, mon premier black

Yvan pris vite pour habitude de me "prêter" à ses copains. Si, au début, c'était plutôt rare, la cadence s'intensifia au printemps. Il lui arrivait, alors que je n'étais pas obligé de sortir, de me dire qu'un de ses potes allait passer. Je savais tout à fait ce que ça signifiait et je m'y pliais de bonne grâce. J'étais totalement en confiance et, jusque-là, je n'avais rien subi que je ne pouvais supporter même si plusieurs plans cul avaient été très hards. Celui-là allait être soft mais ce fut tout de même une expérience marquante. Je n'avais jamais cours le vendredi et mon Master, lui, bossait comme un malade jusqu'à 19 heures. Après ma ration de sperme du matin, il me nota une adresse en me disant de m'y rendre pour dix heures. Je savais bien ce qui m'attendait et je me préparais à obéir. Je jetais un oeil et me rendis compte que je devais aller dans le huitième arrondissement, à l'opposé de l'endroit où nous habitions. J'avais peur d'être en retard aussi, dès 9 h, je sautai dans le métro. Environ trois quart d'heures plus tard, j'arrivais devant la porte. Je n'osais pas sonner avant 10 h quand une fenêtre du rez-de-chaussée s'ouvrit et une voix me fit signe de rentrer tout en appuyant sur l'interphone. Je m'exécutais. Le couloir était un peu sombre mais la première porte à gauche était entre-ouverte. Je me glissais tremblant à l'intérieur de l'appartement où je fus accueilli par un grand black assez séduisant et souriant. Il était immense, la taille de ses mains était pour le moins impressionnante mais son expression était très
sympathique. Il me pris dans ses bras et m'embrassa avec une sensualité dont je n'avais pas l'habitude. Il ne parlait pas mais me caressait avec une adresse tout à fait troublante et je commençais à bander dans mon jean. Il me dit qu'il s'appelait Amadou et qu'il avait très très envie de baiser. Il me demanda si j'avais peur d'être envoyé chez un inconnu mais je lui affirmai que non. "Très bien, alors tu vas me pomper la queue" dit-il en baissant son pantalon de survêtement. Il était super bien monté et j'avoue que ça m'a un peu inquiété car, à part Yvan, les mecs dont j'avais eu l'habitude, avaient une taille de sexe plutôt normale. Je me laissais aller et enlevais mon pull. Je commençais à m'appliquer et à lécher doucement son sexe et ses couilles. Ses mains se posèrent sur ma tête et commencèrent à appuyer. Sa bite avait du mal à entrer dans ma bouche mais il avait de la force. "Fais-gaffe à tes dents ! Putain !" Le ton de sa voix avait changé et j'ai eu subitement peur. Il était grand et costaud et s'il n'était pas content, il pouvait me casser en morceaux. Le sourire avait disparu de son visage. Il sniffait ce qui s'avéra être du poppers. "T'es là pour mon plaisir, compris ?". Je hochais la tête sans que sa queue sorte de ma bouche tant bien que mal. Il me tirait un peu les cheveux. Je me rendis compte qu'il avait des fantasmes un peu violents.

Il appuyait sur ma tête pour que son sexe entre profondément dans ma bouche puis retirait ma tête tout aussi brutalement. Il était assez puissant pour me faire mal. Il m'ordonna d'ôter mon pantalon et se déshabilla complètement en un clin d'oeil. Son corps était très costaud et sec. Il respirait la force. Son odeur était agréable, presque comme de la cannelle. Je devinais qu'il devait utiliser un lait corporel. Curieusement, elle m'écoeura un peu. Je me collais contre lui, essayant de lui montrer qu'il m'attirait mais il s'en foutait. Il me fit mettre à quatre pattes sur le lit et commença à me bouffer le cul. Son studio était minuscule et ce matelas au milieu de la pièce rendait la situation à la fois effrayante et excitante. Il me claqua les fesses plusieurs fois avec force jusqu'à me faire tomber du matelas. "Si tu bouges, je t'attache !". Je me remis à quatre pattes et il recommença à me fouiller avec sa langue. Ca me plaisais mais son
attitude m'effrayait un peu. Il était très directif et presque menaçant par moment. Subitement, il cessa et enfila une capote. "T'as besoin de gel ?" "Oui, je préfèrerai." Il me regarda avec un sourire méchant et haussa les épaules "Dommage, j'en ai pas, faudra prendre ma queue comme ça." Sans autre forme de procès, il entra en moi jusqu'à la garde. J'enfouis ma tête dans le matelas et me rendis compte que je n'avais pas mal du tout et qu'au contraire, j'aimais ce qu'il me faisait. Il me bourrinait brutalement en me tenant par les hanches et en me traitant de "petite pute".
Je m'accrochais à la couette froissée et continuais à prendre mon pied. Sa brutalité alliée à une sensualité que je ne connaissais pas me faisait grimper aux rideaux. Amadou était mon premier black et, je me souviens avoir eu un préjugé et m'être dit que s'ils étaient tous comme ça j'allais les adorer. 
Il me secouait comme un prunier, claquant mes fesses avec force assez régulièrement. Il me chuchota à l'oreille qu'il m'interdisait de jouir avant lui sinon il me le ferait payer. Je ne savais pas trop ce que cela voulait dire mais je ne m'y risquais pas et je prenais garde de ne pas me masturber pendant la pénétration pourtant j'en mourrais d'envie. J'étais comme un dingue. Il se retira soudain aussi brutalement qu'il était entré et éjacula sur mon dos et dans mes cheveux en poussant un cri terrible. Il s'affala sur moi et m'embrassa dans le cou puis se releva. Je m'apprêtais à faire de même quand il me demanda : "tu veux pas que je te fasse jouir ?" J'acceptais volontiers et il se remis à me bouffer le cul pendant que je me branlais. J'éjaculai sur mon torse rapidement. Il sourit et proposa une douche. Il m'aida à me lever et nous entrâmes tous les deux dans la cabine. Il me nettoya de la tête au pied en m'embrassant de temps en temps. "Je t'ai pas fait mal ?" "Non, c'était super." "Parfois, je suis un peu violent." 

Il me proposa un café que j'acceptais volontiers. Il me dit qu'il connaissait Yvan depuis longtemps et qu'il fallait que je me méfie car il pouvait être très dur. Je ne répondis pas mais je le savais pertinemment et ça ne m'empêchais pas de rester. Il m'embrassa encore et me libéra vers midi.
 

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