Dîner entre amis

Yvan aimait me mettre mal à l'aise lorsque ses copains venaient à la maison. Presque à chaque fois, il me faisait de durs reproches lors de dîners ou d'apéros qu'il organisait. Je ne m'y suis jamais habitué. C'est lors d'une de ces soirées que je compris quelles étaient les relations qui l'unissaient vraiment à Laurent. En fait, ils avaient été très amoureux mais ils n'étaient pas très compatibles sexuellement. C'est aussi l'une de ses soirée qui me vit affronter une punition publique. 

C'était un peu avant l'été, en juin je pense car il faisait très chaud. Il avait invité Laurent et Robert dont je vous ai déjà parlé ainsi qu'Alain, un autre "bear" qu'il avait rencontré peu de temps auparavant dans un bar gay et qu'il aimait bien. Laurent s'était fait larguer quelques semaines plus tôt par Jean-Christophe et, alors qu'il ne semblait pas se préoccuper de lui avant, cela l'avait contrarié au possible. 

La soirée était agréable mais très vite, l'alcool et la chaleur aidant, les mâles se retrouvèrent torse nu et commencèrent à déconner sérieusement en parlant de cul. Je me sentais tout à fait coincé et n'osais pas du tout participer à la conversation d'autant plus que mon master me donnait des ordres : "va chercher des bières", "des cacahuètes" etc... Je faisais donc le service en écoutant les conversations mais sans vraiment m'en mêler. 

 

Yvan semblait ne pas remarquer ma présence, il délirait avec ses copains tout en buvant bière sur bière. Il proposa que l'on commande les pizzas. Il faut vous dire qu'une échoppe de pizza à emporter se trouvait au pied de notre immeuble. Il téléphona après avoir demandé à chacun ce qu'il voulait et m'envoya les chercher.

Lorsque je remontais, ils étaient de plus en plus déshabillés et tandis qu'Alain et Laurent se roulaient des pelles, Robert et mon Master faisaient des commentaires graveleux sur les pratiques de chacun. C'était une soirée de beuverie comme je les redoutais même si les gars n'étaient pas encore saouls. Je découpais les pizzas sans dire grand-chose, répondant seulement quand on m'interrogeait. Je mis rapidement la table. Alain, dans les bras de Laurent, en profita pour me faire une remarque :

- T'es mignon quand même, je suis sûre que t'es une bonne salope.

- En tout cas il est obéissant - répondit Laurent- et il encaisse bien.

- Tu l'as déjà baisé ?

- Non mais mon ex oui et devant nous. J'espère qu'il n'en n'est pas tombé amoureux !

Tout le monde éclata d'un rire gras. Je tentais de dévier la conversation en demandant à Yvan si je devais amener du vin ou s'ils continuaient à la bière. Il me répondit vertement que je n'étais là que pour le servir.

- Vous voulez voir à quel point il est obéissant. Allez, Etienne, à poil et tout de suite. 

Je tentais de résister mais le regard qu'il me lança m'en dissuada. J'avais l'impression que les pizzas étaient bien oubliées et que j'allais servir de plat de résistance. Je me déshabillais rapidement.

- A quatre pattes ! Allez, obéis.

Je m'exécutais et m'installai sur la table du salon que je venais de débarrasser.

- Mais tu le frappe - s'exclama Alain - en constatant que j'avais des marques à peine visibles sur le dos et les fesses.

- Il faut qu'il obéisse quand c'est pas le cas, il est puni.

Laurent et Robert étouffèrent un fou-rire. 

- Tu veux essayer de lui faire rougir le cul ? Tu verras c'est excitant. 

Alain marqua un temps d'hésitation puis demanda avec quoi. 

- Fous-lui déjà une fessée à la raquette.

- D'accord mais il remet son slibard et son jean et se refous à poil progressivement. 

Un coup d'oeil de mon Master et j'obéis. Alain alla s'installer sur une chaise dans une autre partie du salon et me fit signe d'approcher. 

 

 

 

Il me fit baisser mon jean et mon slip et m'installa en travers de ses genoux pour me flanquer une fessée. Les autres se calèrent dans le canapé pour assister à ma trempe. Je tremblais car il semblait costaud. Je m'installais sur ses genoux et il commença à faire rougir mes fesses avec la raquette.

 

 

Je me dandinait et gémissait, Robert et Laurent avaient baissé leurs futs. Je vis la queue de Laurent pour la première fois. Alain frappait fort. J'avais mal. Quand les larmes commencèrent à couler sur mes joues. Il arrêta et m'autorisa à me relever. 

Les autres me firent allonger par terre sur le dos avec mon jean et mon slip sur mes cuisses et éjaculèrent sur mon torse et mon visage sous le regard excité de mon Master qui fit de même. Puis on m'envoya sous la douche et ils commencèrent à manger. Je fuis autorisé à me joindre à eux mais Yvan m'obligea à manger à poil.