Notre vie s'organisa tout au long du mois d'octobre.
Un martinet avait été offert à Yvan pour le cas où il aurait besoin de me foutre une nouvelle correction. Il ne s'était pas gêné pour raconter à Laurent qu'il m'avait puni.
Les semaines qui ont suivi furent calmes. La journée se déroulait toujours de la même manière : le matin, j'allais rejoindre Yvan dans son lit à 6 h 30 précise et je le suçais en m'appliquant pour le réveiller. Le petit déjeuner était prêt sur le bar de la cuisine. Il me "nourrissait", c'est à dire que je devais avaler jusqu'à la dernière goutte de son sperme. Il allait ensuite se doucher. Je devais mettre le chauffage dans la salle de bain environ une demi-heure avant qu'il ne se lève. Il y passait à peu près 20 mn pour se laver, entretenir sa barbe et s'habiller. Il ne tolérait pas souvent ma présence à ce moment-là donc, pendant qu'il prenait son petit déj, je me retirai dans la chambre d'amis qu'il m'avait allouée. J'étais un peu déçu au début car il ne m'autorisait pas très souvent à dormir avec lui et puis je me suis habitué. J'avais le droit de partager son lit le week end et pour des occasions spéciales, notamment quand les notes de mes partiels étaient exceptionnelles.
J'aimais l'apercevoir par la fenêtre en costard, allant jusqu'à sa voiture. Sa masculinité m'excitait particulièrement. Je pense que je l'admirais, que j'aurais voulu cesser d'être ce post-ado blond et insipide. Il se dégageait de lui une telle puissance physique et psychique aussi que je me sentais protégé.
Ma journée était toujours composée de la même manière. Je prenais une douche, déjeunais brièvement, enfilait les vêtements qu'Yvan avait préparé pour moi la veille au soir et je partais à la fac. Je n'étais pas autorisé à travailler dans l'appartement d'Yvan. Je devais donc le faire soit à la bibliothèque, soit dans l'appartement de mes parents dans lequel je faisais le ménage une fois par semaine.
Le soir, j'avais droit à un plan cul complet, quelques fois, Yvan ne se déshabillait même pas mais sortait juste son sexe que je devais sucer avant qu'il ne me la mette, de son pantalon de costume. J'adorais ça. J'avais attendu ce moment toute la journée.
Je n'avais pas non plus accès aux courses. Yvan s'en chargeait et ne me demandais jamais mon avis sur ce que je voulais manger. Parfois, nous avions une vraie relation de couple car j'entretenais l'appartement et je m'occupais de son bien être. Parfois, j'étais vraiment son esclave, il me donnait des ordres, me punissait s'ils n'étaient pas parfaitement exécutés à son goût. En ce premier mois d'octobre, outre la première correction, je reçus deux fois le martinet pour des bricoles... en tout cas des manquements à la discipline dont je ne me souviens pas.
Le plus bizarre était que j'étais à la fois angoissé et excité à l'idée de me faire frapper. Il y avait un érotisme certain dans sa manière de me dominer. La morsure du martinet, les marques qu'il engendrait, l'humiliation liée à la trempe que je prenais, tout cela me troublait et je devais faire des efforts pour ne pas bander sous les coups.
Yvan me présenta très vite à ses amis mais il s'arrangea pour que les miens ne me fréquentent plus qu'un court laps de temps pendant la journée. Il s'entourait de gens du milieu échangiste, pas forcément d'ailleurs des homos même s'ils étaient majoritaires. Toute sa vie tournait autour du sexe et de son boulot. Il aimait les saunas et les sex-clubs dans lesquels il rencontrait des partenaires. Je savais que je n'avais pas l'exclusivite et, bizarrement, ça ne me dérangeait pas vraiment. Il aimait aussi le milieu des pierceurs, tatoueurs et autres fétichistes du cuir mais, à cette époque-là, je ne les avais encore pas vus.
D'autre-part, à chaque visite de ses potes, j'en apprenait un peu plus sur lui, sur son passé de rugbyman professionnel, sur la provenance de son argent qui le faisait vivre plus qu'à l'aise. Il me fascinait.
Laurent venait à peu près tous les jours et je n'avais aucun doute sur le fait qu'un jour, je me retrouverai au pieu avec lui ou avec un autre mais, en ce premier mois de vie commune, Yvan voulait l'exclusivité même s'il ne se gênait pas pour souligner que j'avais un beau cul qui commençais à s'élargir avec le traitement auquel il était soumis.
J'avais l'impression d'être un objet mais je le vivais bien et l'acceptais. C'était le prix à payer pour que cette relation perdure. Très vite, je me suis conforté dans l'idée que j'étais soumis et que ça me convenait tout à fait. Ce n'était qu'un prélude et je crois que dès ces premières semaines, j'en avais conscience.
Ma journée était toujours composée de la même manière. Je prenais une douche, déjeunais brièvement, enfilait les vêtements qu'Yvan avait préparé pour moi la veille au soir et je partais à la fac. Je n'étais pas autorisé à travailler dans l'appartement d'Yvan. Je devais donc le faire soit à la bibliothèque, soit dans l'appartement de mes parents dans lequel je faisais le ménage une fois par semaine.
Le soir, j'avais droit à un plan cul complet, quelques fois, Yvan ne se déshabillait même pas mais sortait juste son sexe que je devais sucer avant qu'il ne me la mette, de son pantalon de costume. J'adorais ça. J'avais attendu ce moment toute la journée.
Je n'avais pas non plus accès aux courses. Yvan s'en chargeait et ne me demandais jamais mon avis sur ce que je voulais manger. Parfois, nous avions une vraie relation de couple car j'entretenais l'appartement et je m'occupais de son bien être. Parfois, j'étais vraiment son esclave, il me donnait des ordres, me punissait s'ils n'étaient pas parfaitement exécutés à son goût. En ce premier mois d'octobre, outre la première correction, je reçus deux fois le martinet pour des bricoles... en tout cas des manquements à la discipline dont je ne me souviens pas.
Le plus bizarre était que j'étais à la fois angoissé et excité à l'idée de me faire frapper. Il y avait un érotisme certain dans sa manière de me dominer. La morsure du martinet, les marques qu'il engendrait, l'humiliation liée à la trempe que je prenais, tout cela me troublait et je devais faire des efforts pour ne pas bander sous les coups.
Yvan me présenta très vite à ses amis mais il s'arrangea pour que les miens ne me fréquentent plus qu'un court laps de temps pendant la journée. Il s'entourait de gens du milieu échangiste, pas forcément d'ailleurs des homos même s'ils étaient majoritaires. Toute sa vie tournait autour du sexe et de son boulot. Il aimait les saunas et les sex-clubs dans lesquels il rencontrait des partenaires. Je savais que je n'avais pas l'exclusivite et, bizarrement, ça ne me dérangeait pas vraiment. Il aimait aussi le milieu des pierceurs, tatoueurs et autres fétichistes du cuir mais, à cette époque-là, je ne les avais encore pas vus.
D'autre-part, à chaque visite de ses potes, j'en apprenait un peu plus sur lui, sur son passé de rugbyman professionnel, sur la provenance de son argent qui le faisait vivre plus qu'à l'aise. Il me fascinait.
Laurent venait à peu près tous les jours et je n'avais aucun doute sur le fait qu'un jour, je me retrouverai au pieu avec lui ou avec un autre mais, en ce premier mois de vie commune, Yvan voulait l'exclusivité même s'il ne se gênait pas pour souligner que j'avais un beau cul qui commençais à s'élargir avec le traitement auquel il était soumis.
J'avais l'impression d'être un objet mais je le vivais bien et l'acceptais. C'était le prix à payer pour que cette relation perdure. Très vite, je me suis conforté dans l'idée que j'étais soumis et que ça me convenait tout à fait. Ce n'était qu'un prélude et je crois que dès ces premières semaines, j'en avais conscience.
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