* Les prénoms de ce récit ont été changés ainsi que le lieu pour ne gêner personne. En revanche, j'ai trouvé des photos particulièrement adaptées à ce que j'ai vécu !
Après les vacances, le mois d'août fut calme. Je ne dis pas que je n'ai pas reçu quelques raclées lorsque mon maître pensait que je les méritais mais rien de vraiment notable. Côté sexe, c'était un peu la même chose, hormis quelques plans à trois avec Yvan et son pote Laurent, toujours célibataire, rien à signaler de spéciale. En septembre, mon Maître réalisa que j'avais encore un mois de vacance avant de retourner à l'université. Il jugea qu'il fallait que je m'occupe.
Un soir, le téléphone sonna et la conversation fut pour le moins inquiétante :
- Allo. Bonsoir. Oui c'est moi qui ait passé cette annonce... 18 ans... très soumis et obéissant mais il mérite d'être dressé... oui déjà un peu d'expérience mais pas tant que ça... Le week end, ce n'est pas trop possible car je ne bosse pas mais deux ou trois jours en semaine je peux te l'amener... Ok parfait.
Je compris tout de suite ce qui allait arriver. J'allais être confié à un dominateur. Yvan me donna quelques explications :
- Au début de l'été, j'ai passé une annonce dans "Markus" pour te trouver un dresseur. Je pense que c'est bien que tu sois éduqué par quelqu'un d'autre. J'ai trouvé un Master et tu vas y aller d'abord deux jours et si je suis content du résultat, tu y retourneras.
J'ai du avoir un air implorant. A l'époque, tout ce qui était nouveau me faisait peur. Comment Yvan pouvait-il me laisser deux jours chez un type qu'il ne connaissait pas ?
- Ne fais pas cette tête. C'est ce que je veux et tu devras t'y plier. Je t'emmène dimanche soir. Tu ne lui diras pas que tu n'as pas encore 18 ans, je ne veux pas qu'il change d'avis. Tu lui obéiras. Je mettrai au point le programme avec lui, je dois le rappeler demain mais je le ferai quand tu ne seras pas là. Tu dois être éduqué. Tu as des dispositions mais il y a encore à faire.
Je compris qu'il ne fallait pas discuter et je me tus. C'est complètement angoissé à l'idée de cette expérience que j'allais me coucher lorsque mon maître me l'ordonna.
Le week end passa sans aucun soucis. Sexe, invitation à dîner le samedi et dimanche tranquille à la maison. Sur le coup des 15 h, il m'ordonna de préparer une trousse de toilette et il entra dans ma chambre avec une tenue qu'il m'avait préparée. Il y avait trois slips différents, un jean et un tee shirt. Il faisait encore chaud et ça devait suffire d'autant plus que je serai le plus souvent à poil. Dans le sac, avec mes affaires de toilette, il ajouta un short et des paires de chaussettes. Sans dire un mot, j'enfilai les fringues prévues pour moi. Nous prîmes la route en direction de l'Ain. Je tremblais, je n'arrivais pas à m'en empêcher. Yvan avait l'attitude de celui qui ne voit rien. Nous avions roulé environ une heure lorsqu'il prit un petit chemin en pleine campagne. Je ne savais pas vraiment où nous étions mais je supposais que nous nous rapprochions de Bourg-en-Bresse. "On est bientôt arrivés". Mon coeur se serra et tous mes muscles se tendirent. J'étais mort de trouille. La voiture remonta un chemin en terre bordé d'arbres et nous arrivâmes devant un château. Un endroit assez délabré et fait de bric et de broc. Il me sembla que les parties avaient été construites à des époques différentes. C'était le type même du lieu de résidence de la noblesse de campagne désargentée qui a du mal à entretenir son patrimoine.
Avant que nous ayons eu le temps de nous garer, un type arriva à notre rencontre. Grand, costaud, il avait manifestement dépassé la cinquantaine. Il n'était pas très attirant mais avec un je ne sais quoi de virilité qui rendait son visage taillé à la serpe intéressant. J'étais tétanisé. Yvan se gara et me fit sortir de la voiture. Il alla au devant de notre hôte tandis que je restais un peu en retrait. Il lui serra la main et me fit signe d'approcher :
- Voilà mon bâtard. Je l'ai depuis un an. Il est obéissant, mais il manque un peu d'expérience.
Le type me regarda d'un air méprisant et me détailla de la tête au pieds.
- Il est jeune. J'avais pas réalisé. Après-tout, il faut bien commencer.
Son langage était soutenu. On sentait une éducation particulière. Il nous emmena visiter. Il nous fit d'abord entrer dans un immense garage qui devait être une ancienne écurie. Il y avait des tas d'outils, d'objets hétéroclites ainsi qu'un cheval d'arçon ou quelque chose d'approchant et un tas de matériel SM. La pièce était sombre mais sans excès.
- C'est là que je m'amuse mais avec lui, ça sera partout et à chaque fois que j'en aurais envie. Je vis seul donc aucun danger d'être dérangés.
- Parfait, et il va dormir où ?
- J'ai une autre écurie pour les soumis, viens voir.
Nous traversâmes la cour intérieure du château et Alban, puisque c'est le prénom que je lui ai donné, nous fis visiter une écurie transformée. C'était un petit endroit assez sombre avec une porte vitrée. Ca ressemblait à une cellule avec des toilettes et un lit en fer. Des draps et des couvertures étaient pliées sur le matelas. C'était particulièrement sordide comme lieu et je n'avais pas du tout envie de rester là. Yvan prit la parole :
- Comme convenu, je te le laisse deux jours. Je viendrais le chercher mardi soir après le boulot. Il est à toi. Tu peux en faire ce que tu veux. J'espère que tu le puniras correctement. Je regarderai les marques sur son corps lorsque je viendrais le chercher. Si je suis satisfait je te le ramènerai dimanche prochain. Tu peux bien sûr le baiser. Au contraire, j'aimerai qu'il prenne des coups de bites.
- Côté quéquette, je ne suis pas très motivé. Il est quand même un peu trop jeune mais j'ai un copain qui sera ravi de se vider les couilles pendant que je le regarde.
- Parfait, à mardi. Et toi, obéis et sois sage.
Il traversa la cour et remonta en voiture sans rien ajouter. Alban m'ordonna de faire mon lit et de poser mes affaires sur le lavabo -assez dégueulasse d'ailleurs- Il me dit de le rejoindre après dans l'autre écurie. Il me fit comprendre que je n'avais pas trop intérêt à lambiner sinon je serai puni.
Je fis mon lit tant bien que mal et je traversai la cour. Il avait ôté sa veste et était en débardeur. Je compris que j'allais être testé. Il me fit m'appuyer contre le mur et commença à baisser mon jean et mon slip.
- Joli cul mais un peu blanc, tu ne trouves pas ?
Je ne répondis pas et il m'envoya une gifle terrible qui me fit presque décoller du sol.
- Quand je t'interroge tu n'as qu'une réponse possible "oui maître" et t'as intérêt à me la faire à chaque fois.
- Oui maître, répondis-je en baissant les yeux.
Il se saisit d'un paddle et commença à claquer mon cul avec en me laissant m'appuyer sur le mur légèrement cambré. Je supportais assez bien aussi intensifia-t-il les coups. Je n'étais pas du tout excité aussi ne bandais-je pas (heureusement pour moi), je serrai les dents et essayais de me dire que je le faisais pour Yvan, pour qu'il soit content de moi à défaut d'être fier de moi.
Les coups pleuvaient. A un moment donné, c'est devenu insupportable et je me tortillais pour éviter le suivant. C'était presque inconscient mais aussitôt que je l'eus fait je l'ai regretté. Sans se départir de son calme, Alban me lança :
- En place. Puisque tu as bougé tu auras droit à dix coups supplémentaires et tu vas les compter. Tu as le choix, soit tu les encaisse de toi-même soit je t'attache.
- Je préfère les encaisser. Merci maître.
Il eut un petit sourire en coin et recommença de plus belle :
- Un, deux, trois, quatre...cinq...six...sept, huit, neuf... dix.
Je gémissais à chaque coup et ça semblait lui faire plaisir.
- C'est bien, en plus tu m'as fait bander. Je n'y croyais pas. Tu vas me sucer pour me soulager. Je vais jouir sur ta gueule ne t'inquiète pas je te forcerai pas à avaler.
Il ouvrit sa braguette et commença à sortir sa bite. Elle était longue, pas spécialement épaisse mais avec un gros gland luisant et humide. Son odeur ne me plaisais pas trop mais je m'exécutais. Au bout de quelques coups de langues, il m'éjacula sur le visage. Aussitôt après, il m'envoya dormir. Yvan devait savoir ce qu'il en serait car il m'avait fait manger un sandwich pendant le trajet. Je remontais donc mon pantalon et retournai dans ma "cellule". Quelques minutes plus tard, sans dire un mot, Alban s'improvisa Geôlier et m'enferma à l'intérieur. J'étais nu entre les draps et mon cul était douloureux. Je sentais encore l'odeur de son sperme sur mon visage même si j'avais été autorisé à m'essuyer. Je me demandais ce qui allait m'arriver le lendemain.
A suivre...
Avant que nous ayons eu le temps de nous garer, un type arriva à notre rencontre. Grand, costaud, il avait manifestement dépassé la cinquantaine. Il n'était pas très attirant mais avec un je ne sais quoi de virilité qui rendait son visage taillé à la serpe intéressant. J'étais tétanisé. Yvan se gara et me fit sortir de la voiture. Il alla au devant de notre hôte tandis que je restais un peu en retrait. Il lui serra la main et me fit signe d'approcher :
- Voilà mon bâtard. Je l'ai depuis un an. Il est obéissant, mais il manque un peu d'expérience.
Le type me regarda d'un air méprisant et me détailla de la tête au pieds.
- Il est jeune. J'avais pas réalisé. Après-tout, il faut bien commencer.
Son langage était soutenu. On sentait une éducation particulière. Il nous emmena visiter. Il nous fit d'abord entrer dans un immense garage qui devait être une ancienne écurie. Il y avait des tas d'outils, d'objets hétéroclites ainsi qu'un cheval d'arçon ou quelque chose d'approchant et un tas de matériel SM. La pièce était sombre mais sans excès.
- C'est là que je m'amuse mais avec lui, ça sera partout et à chaque fois que j'en aurais envie. Je vis seul donc aucun danger d'être dérangés.
- Parfait, et il va dormir où ?
- J'ai une autre écurie pour les soumis, viens voir.
Nous traversâmes la cour intérieure du château et Alban, puisque c'est le prénom que je lui ai donné, nous fis visiter une écurie transformée. C'était un petit endroit assez sombre avec une porte vitrée. Ca ressemblait à une cellule avec des toilettes et un lit en fer. Des draps et des couvertures étaient pliées sur le matelas. C'était particulièrement sordide comme lieu et je n'avais pas du tout envie de rester là. Yvan prit la parole :
- Comme convenu, je te le laisse deux jours. Je viendrais le chercher mardi soir après le boulot. Il est à toi. Tu peux en faire ce que tu veux. J'espère que tu le puniras correctement. Je regarderai les marques sur son corps lorsque je viendrais le chercher. Si je suis satisfait je te le ramènerai dimanche prochain. Tu peux bien sûr le baiser. Au contraire, j'aimerai qu'il prenne des coups de bites.
- Côté quéquette, je ne suis pas très motivé. Il est quand même un peu trop jeune mais j'ai un copain qui sera ravi de se vider les couilles pendant que je le regarde.
- Parfait, à mardi. Et toi, obéis et sois sage.
Il traversa la cour et remonta en voiture sans rien ajouter. Alban m'ordonna de faire mon lit et de poser mes affaires sur le lavabo -assez dégueulasse d'ailleurs- Il me dit de le rejoindre après dans l'autre écurie. Il me fit comprendre que je n'avais pas trop intérêt à lambiner sinon je serai puni.
Je fis mon lit tant bien que mal et je traversai la cour. Il avait ôté sa veste et était en débardeur. Je compris que j'allais être testé. Il me fit m'appuyer contre le mur et commença à baisser mon jean et mon slip.
- Joli cul mais un peu blanc, tu ne trouves pas ?
Je ne répondis pas et il m'envoya une gifle terrible qui me fit presque décoller du sol.
- Quand je t'interroge tu n'as qu'une réponse possible "oui maître" et t'as intérêt à me la faire à chaque fois.
- Oui maître, répondis-je en baissant les yeux.
Il se saisit d'un paddle et commença à claquer mon cul avec en me laissant m'appuyer sur le mur légèrement cambré. Je supportais assez bien aussi intensifia-t-il les coups. Je n'étais pas du tout excité aussi ne bandais-je pas (heureusement pour moi), je serrai les dents et essayais de me dire que je le faisais pour Yvan, pour qu'il soit content de moi à défaut d'être fier de moi.
Les coups pleuvaient. A un moment donné, c'est devenu insupportable et je me tortillais pour éviter le suivant. C'était presque inconscient mais aussitôt que je l'eus fait je l'ai regretté. Sans se départir de son calme, Alban me lança :
- En place. Puisque tu as bougé tu auras droit à dix coups supplémentaires et tu vas les compter. Tu as le choix, soit tu les encaisse de toi-même soit je t'attache.
- Je préfère les encaisser. Merci maître.
Il eut un petit sourire en coin et recommença de plus belle :
- Un, deux, trois, quatre...cinq...six...sept, huit, neuf... dix.
Je gémissais à chaque coup et ça semblait lui faire plaisir.
- C'est bien, en plus tu m'as fait bander. Je n'y croyais pas. Tu vas me sucer pour me soulager. Je vais jouir sur ta gueule ne t'inquiète pas je te forcerai pas à avaler.
Il ouvrit sa braguette et commença à sortir sa bite. Elle était longue, pas spécialement épaisse mais avec un gros gland luisant et humide. Son odeur ne me plaisais pas trop mais je m'exécutais. Au bout de quelques coups de langues, il m'éjacula sur le visage. Aussitôt après, il m'envoya dormir. Yvan devait savoir ce qu'il en serait car il m'avait fait manger un sandwich pendant le trajet. Je remontais donc mon pantalon et retournai dans ma "cellule". Quelques minutes plus tard, sans dire un mot, Alban s'improvisa Geôlier et m'enferma à l'intérieur. J'étais nu entre les draps et mon cul était douloureux. Je sentais encore l'odeur de son sperme sur mon visage même si j'avais été autorisé à m'essuyer. Je me demandais ce qui allait m'arriver le lendemain.
A suivre...
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