vendredi 26 août 2011

La punition de Wilfrid (1ère partie)




En juin, je participai à mon premier week end SM. Il y en aura beaucoup d'autres par la suite. Quand je dis "participer" j'exagère un peu car, à part servir de vide-couilles et de larbin, je n'ai pas fait grand-chose. J'étais plutôt spectateur et j'allais en prendre plein les yeux. Un soir, Yvan m'avait envoyé faire quelques courses dans le quartier et lorsque je rentrais, il était au téléphone. Je commençais à connaître le ton de sa voix. Il était en train d'organiser quelque chose de sexuel.
- Bien sûr... il fait beau, ça va être sympa... dans la Drôme, je te donnerai l'adresse... J'ai pas refait d'équipement mais il y a de quoi s'amuser... Vendredi soir... Jusqu'à dimanche... Je pourrais inviter Christian si tu veux... Oui je peux lui en parler aussi mais je crois qu'il est sur Paris... Il faudrait qu'on soit au moins trois... Oui mais pour l'instant je veux qu'il voit... Ok parfait.
Je faisais mine de ne pas écouter la conversation puis je commençai à ranger les courses comme si de rien n'était. Yvan entra dans la cuisine et je sentis son corps derrière moi. Il se colla à moi et m'embrassa dans le cou. 
- Ce week end, on va descendre à la campagne. Tu vas voir ce que c'est qu'un vrai soumis. Ca te donnera un aperçu de ce qui t'attend si tu reste avec moi. Il va morfler. Toi, tu vas mater. On va lui faire sa fête. 
Le ton de sa voix était particulièrement vicieux. La conversation l'avait excité. Il m'enleva mon tee shirt et me pris par la nuque jusqu'au salon où se trouvait le billard. Nous nous embrassâmes et nous déshabillâmes mutuellement. Quelques secondes plus tard, sa queue entrait dans ma bouche. 
J'allais bénéficier d'un plan cul, c'était déjà ça. Et il ne se gêna pas. Je ne savais pas du tout ce que nous réservait ce week end dans son donjon aménagé mais en tout cas, ça le stimulait. Je me sentais vraiment complice. J'obéissais toujours à chacun de ses désirs et là, je le sentais tout à fait stimulé. J'espérai quand m^me que ma présence y était pour quelque chose. 


Le vendredi, il m'ordonna de m'habiller en short et débardeur. Je n'aimais pas trop ça car, vu que j'étais encore un peu fluet, j'avais des bras et des épaules trop fin mais je m'exécutais une fois de plus. Nous partîmes donc en direction du sud. Je portais un short blanc et un "marcel" noir, des baskets et pas de sous-vêtement. Ca allait être un week end de sexe donc pas besoin de s'encombrer de vêtements inutiles. Nous arrivâmes à destination vers 16 h et je m'activai pour donner un coup de chiffon partout ainsi que pour faire les lits des trois chambres. Yvan passait du temps dans sa cave à préparer le matériel. Il avait également sorti des traverses de chemin de fer dans la cour ainsi que tout un arsenal de bricolage et il s'affairait. Je n'arrivais pas à voir ce qu'il préparait et il m'avait ordonné de ne pas venir "traîner ma gueule" à l'arrière de la maison. Elle était fort isolée et tout à fait entourée de murs donc on pouvait facilement baiser à l'extérieur. Je préparai une salade de riz et mis la table très tôt comme il me l'avait ordonné. Il avait précisé : "Un seul plat. On n'est pas là pour bouffer. Il faut que ce soit fait en dix minutes."


Vers 18 h, Christian arriva dans un 4x4 rutilant. Il était en short et torse nu. Il faisait particulièrement chaud. Il me jeta un coup d'oeil et me dit "Ca roule bâtard ?". Je lui souris. Il alla embrasser mon Maître qui l'embaucha pour l'aider à bricoler. Environ deux heures plus tard une voiture se gara dans la cour de devant. Un mec en descendit. Il avait la cinquantaine, grisonnant, musclé en diable et il ne me jeta même pas un regard Les deux autres l'avaient entendu arriver et il venaient à sa rencontre. Un jeune homme était attaché dans le coffre. 
Yvan et Christian allèrent le chercher. Il avait les mains attachées dans le dos et les yeux bandés. "Avance !" dit l'un des deux. Le mec était totalement nu et pieds nus. Il marchait avec hésitation sur le gravier de la cour. Il avait un corps assez musclé et je ne distinguai pas vraiment son visage. Son allure générale me faisait penser qu'il pouvait avoir la trentaine. Ses cheveux étaient coupés très courts, il était fin et dessiné, assez poilu sauf. Ils le firent entrer dans la cave. Yvan me fit signe de les suivre. Ils le forcèrent à s'asseoir sur une chaise et le nouveau venu prit la parole avec un léger accent qui pouvait être soit italien soit d'Europe de l'Est, je ne savais pas trop.
- Sale petit bâtard, tu ne m'as pas obéi comme il faut cette semaine. Tu es là pour être puni et ça va être dur autant t'y préparer. 
- Allez, à la niche, on va manger, on s'occupera de lui après. 

Ils le détachèrent et l'enfermèrent dans le petit réduit à l'arrière de la cave. Le mec était assez mignon. Il avait une expression terrifiée mais se tenait dignement. En fait, je ne l'avais pas vue les fois précédente, mais c'était une vraie cellule avec un lit, des toilettes et des anneaux au mur pour attacher les soumis "mis au fer" tel que j'allais le découvrir ce week end.


Je servis les trois salopards à table. Le maître du jeune homme s'appelait Slavko et était d'origine croate mais il vivait en France depuis plus de vingt ans ainsi qu'il l'expliqua à Christian. Je mangeais brièvement à la cuisine et Ivan m'ordonna d'apporter une assiette et un verre au "prisonnier". J'obéis immédiatement. Je descendis à la cave avec un plateau. J'ouvris la porte et le mec me reçut avec un sourire.
- Tu es le nouveau petit mec d'Ivan ?
- Oui, je m'appelle Etienne.
- Moi c'est Wilfrid. Je suis le soumis de Slavko depuis 4 ans.
- Pourquoi dois-tu être puni ?
- Je lui ai manqué de respect et j'ai été en retard trois fois cette semaine.
- Tu seras puni aussi sévèrement pour ça.
- Oui mais je le veux bien. Lorsque j'ai commencé à voir Slavko, j'ai signé un contrat. Je n'ai pas le droit de résister ni de désobéir sinon la relation s'arrête. 
- Tu tiens tant que ça à cette relation
- J'aime être soumis et je suis trais maso. Ca ne me fait rien de souffrir même si j'ai peur. Au contraire ça m'excite. Tu verras, ça sera pareil pour toi dans quelques années.
Il se dépêcha de manger et avala le verre d'eau. Il me dit qu'il ne voulait pas ne pas être prêt quand son maître allait redescendre. Je remontai donc le plateau et ramassai les couverts de la salle à manger pour remplir le lave-vaisselle. Les masters fumaient le cigare et buvaient un cognac ou quelque chose d'approchant. Tout à coup, Slavko dit : "Bon, on va s'occuper un peu de lui". Et les trois descendirent à la cave. Yvan ne me dit rien mais me fit signe de les suivre d'un regard. Je vis Wilfrid tressaillir dans sa cellule lorsque ses trois bourreaux arrivèrent près de lui. Yvan et Christian vinrent l'extraire et le firent mettre à genoux devant Slavko. 
- Tu m'as désobéi et manqué de respect. Tu dois être puni pour ça. Pour commencer, tu vas être fouetté. Messieurs, préparez-le. 
Le gars fut attaché sur une croix qui était fixée contre le mur. On lui mit un collier en métal un peu rouillé autour du cou. Il tremblait à en tomber lorsque Christian lui immobilisa les pieds. Slavko repris :
- On va commencer par 15 coups de fouet sur le dos ensuite on s'occupera de tes fesses.
Yvan enleva son tee shirt et s'approcha du supplicié.
- Tu vas morfler mon petit gars, je te ferai pas de cadeau.
Il se saisit d'un fouet long avec une lanière en cuir qui se terminait en s'amenuisant.
- Tu peux gueuler personne ne t'entendra. Toi (dit-il en s'adressant à moi), regarde-bien ce que c'est qu'encaisser car ça ce n'est que le début.
Il commença à frapper assez doucement et Slavko lui dit d'y aller plus fort, qu'il pouvait supporter. Mon Maître ne se fit pas prier. Wilfrid ne criait pas, il poussait juste un grognement à chaque coup. Au cinquième, il laissa échapper un cri et tenta de se déplacer dans une tentative désespérée pour éviter les coups.

- Il en reste dix, souligna Christian, tu ferais mieux de serrer les dents. 
Puis Slavko et lui rirent. Ivan ne mollissait pas. Il frappait de plus en plus fort et maintenant le soumis hurlait. Il suppliait. Yvan regarda Slavko pour lui demander s'il devait continuer mais ce dernier lui fit un petit geste de la main en signe d'assentiment. Dans ma tête je comptais les coups on en était à 11. Il en restait 4 et Wilfrid tremblait. Son dos était couvert de stries rouges et boursouflées. 

Yvan poursuivit. Les trois suivant firent crier Wilfrid mais la dernière fut la plus terrible. Il ne tenait plus du tout sur ses jambes. Je me dit que s'ils le libéraient maintenant, il allait s'effondrer sur le sol et c'est ce qui se produisit. Il pleurait et tremblait. 
- Alors, tu tiens le coup ?
- Oui Maître, je l'ai mérité. Merci Maître. 
Christian et Ivan le relevèrent.
- On lui corrige le cul ce soir ou on le laisse dormir.
- On commence ce soir.
Ils portèrent le jeune homme sur une espèce de lit sans matelas et l'attachèrent sur le ventre avec des lanières de cuir. Je pensais qu'ils allaient utiliser ce que j'avais testé quelques mois auparavant mais non.
- Maintenant, tu vas recevoir quinze coups de badine sur les fesses. Tu devras dormir sur le ventre mais ce n'est qu'un avant goût de ce qui t'attend. Tu es prêt ?
- Oui Maître.
Il avait les joues inondées par les larmes mais résistait d'une manière plus qu'étonnante. Ce fut Christian qui choisit la badine appropriée et qui commença à lui administrer. Dès qu'il eu commencé à frapper, je me rendis compte que les fesses du soumis avaient déjà été corrigées. Les nouvelles stries s'ajoutaient aux anciennes. Wilfrid hurlait. Il pleurait. Il suppliait.
- Tu veux qu'on arrête ?
- Oui Maître, je n'en peux plus.
- Tu sais que si on arrête maintenant tu en prendras 10 de plus demain et en plus on recommencera du début. C'est ce que tu veux ?
- Non Maître, dit-il dans un souffle, on continue.
Slavko fit un petit signe de tête à Christian et il recommença. Je savais trop ce que pouvait faire les coups de badine je tremblais pour lui. Il encaissa ses 15 coups sans trop broncher mais il pleurait à chaudes larmes lorsqu'Yvan le détacha. 
Il fut remis dans sa cage.

- Allez, bâtard, à demain pour la suite dors bien.
Nous remontâmes à l'étage et Yvan proposa une "vidange de couilles". Ce fut mon rôle. Je suçais et me fis prendre jusqu'à ce que tout le sperme de ces messieurs soit sur moi puis nous nous retirâmes dans nos chambres en attendant le lendemain.

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