dimanche 14 août 2011

Installation et première punition


C'est courant octobre qu'Yvan me proposa d'emménager chez lui. De deux rendez-vous par semaine, nous sommes passés à quatre. J'avoue avoir été content car j'avais de plus en plus de mal à me passer de lui. Certes, il était autoritaire et pas souvent gentil avec moi mais je suis accroc à sa peau et à ce qu'il me fait. Nous avions passé de nombreuses nuits ensemble et je me sens prêt. Bien sûr, là encore, il y avait des règles. Je devais obéir en tout point. C'est donc un samedi matin qu'il débarqua chez mes parents pour m'aider à faire mon sac. Il m'a averti qu'il allait choisir chaque jour ce que j'allais porter. S'il ne trouvait pas pas ce qui lui convenait, il m'achèterait des vêtements car il était hors de question que ce soit moi qui décide. Je trouvais l'idée un peu saugrenue mais pourquoi pas finalement. Il arriva donc sur le coup des sept heures. J'ai eu envie de lui tout de suite. Il était en survêtement. Son corps et ses muscles massifs étaient particulièrement en valeur. Il sentait le gel douche. Il s'approcha de moi avec un air pas commode et me roula une pelle. Il fouilla le placard et la commode de ma chambre et choisit jean, tee shirts, pulls, blousons, boxer et chaussettes. Il m'autorisa a emmener avec moi deux paires de baskets et un peignoir en éponge. Mon sac terminé, il jeta un oeil pour voir s'il n'oubliait rien. Il avisa mon portefeuille sur la table de chevet. Je tressaillit. Il allait se rendre compte que je lui avais menti sur mon âge. J'ai eu très peur qu'il me plaque. Il sortit ma carte d'identité et commença à la scruter.


- T'es un sale petit menteur. T'as pas dix-huit ans ! 




Je n'osais pas répondre. Il me tenait par le poignet fermement. Il avait comme un sourire au coin des lèvres. 

- Tu sais ce que ça signifie. Tu as menti, quand nous serons à la maison tu vas être puni. 


Je ne répliquais pas du tout. Je savais qu'il attendait un faux pas de ma part pour me coller une fessée ou pire. J'étais seulement content qu'il ne me plante pas là avec toutes mes affaires et qu'il ne tourne pas les talons. Je tremblais. Nous nous sommes mis en route, avons repris le métro et sommes montés à l'appartement. Il ne disait rien. Il avait juste un air menaçant. Je me souviens avoir regardé ses paluches et m'être dit qu'il allait me casser en deux. 


Aussitôt arrivé dans l'appart il m'ordonna de baisser mon pantalon et m'attira sur ses genoux. J'avais peur mais je me disais que la fessée était le moindre mal. Je m'exécutait. Je baissais mon jean et m'installait en travers de ses genoux. Le contact du tissus de son pantalon sur mon ventre, mon sexe et le haut de mes cuisses était désagréable,  je glissais mais il me maintenait avec sa main sur ma nuque. Il commença à me frapper avec son autre main.




- J'ai dit pas de mensonge sinon tu prends une raclée. Faut que tu comprennes. 



Il me faisait rougir les fesses. Elles me cuisaient. Je faisais un effort pour ne pas remuer. J'étais un peu excité bizarrement. Je savais qu'il ne fallait pas que je bande car il n'allait pas apprécier. 

Il tapait fort. Ses mains avaient la puissance du reste de son corps. J'étais totalement à sa merci et je le savais. Je comprenais aussi que c'était les  prémices de ce que j'allais vivre.





Je me souviens l'avoir trouvé attirant encore davantage dans cette situation. C'était un réel macho mais j'aimais ça. Mes fesses me cuisaient lorsqu'il me libéra. J'aurais souhaité qu'il  me fasse sucer son sexe mais il n'en fit rien. Je l'avais pourtant senti qui durcissait quand il me corrigeait. Il m'ordonna de ranger mes affaires. Je me rhabillais et obéissait en utilisant les deux placards de la chambre d'amis. 

- J'espère que ça te servira de leçon. Je ne veux aucun mensonge, aucun manquement à la discipline. Tu dois obéir !

- Oui Yvan, c'est promis.


Mon seigneur et maître alla préparer le petit déjeuner comme si de rien n'était. J'étais tremblant et le cul endolori lorsque je rangeais scrupuleusement mes vêtements.



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