samedi 20 août 2011

Dressage avec Alban (2ème partie)

Je ne dormis pratiquement pas dans cette écurie. La chaleur était étouffante en ce début septembre et il y avait peu d'air. Je fus presque soulagé lorsqu'Alban vint me chercher vers cinq heures du matin pour le petit déj. Il m'emmena dans une grande cuisine plutôt moderne et composa son menu. Je devais lui préparer, lui emmener sur un plateau dans la salle à manger et retourner dans la cuisine pour boire mon café et manger les deux tartines auxquelles j'avais droit. Je m'exécutais sans aucune discussion. Je trouvais tout assez facilement aussi, je cessai de paniquer. Quelques minutes plus tard, je posai le plateau que j'avais préparé avec soin devant lui. Il m'ordonna : "Vas bouffer, prends des forces." Je retournai vivement dans la cuisine et j'avalais un bol de café plutôt froid avec deux tartines de beurre. Je n'aime pas trop le café mais il était le bienvenu. 
Quelques secondes plus tard, Alban entra dans la cuisine et s'assit sur une chaise. Il se tapa sur les cuisses en me faisant signe de venir me mettre en travers de ses genoux. C'était l'heure de la fessée. J'obéis. Mes fesses étaient encore endolories de la séance d'hier mais essayer de me soustraire ne pouvait qu'être pire.


Il m'envoya deux ou trois claques sur les fesses à travers le jean et m'ordonna de le baisser. J'obéis, je me remis sur ses genoux et il continua à taper. Je me tortillais malgré moi. Je ne supportais plus ses claques. J'avais vraiment mal.

- Tu bouges vraiment trop, dit il en attrapant une canne dans un porte-parapluie de l'entrée, tu vas recevoir une vraie correction. Il me fit pencher en avant et commença à me frapper. Je gémissais à chaque coup. J'étais à la limite de pleurer mais je ne voulais pas lui donner cette satisfaction. Je serrai les dents. Bizarrement, la situation m'excitait plus que la veille. Je sentais, tandis que je recevais les coups que je commençais à bander légèrement. Je m'efforçais de penser à autre chose car je ne pouvais imaginer ce qui allait m'arriver si mon sexe devenait raide. 

Il me donna une dizaine de coups de cane et m'ordonna d'aller me doucher. Je savais où je devais aller mais je dus aller chercher ma trousse de toilette de l'autre côté de la cour. Alban m'interdit de remettre mon pantalon et m'obligea à le quitter complètement. Je dus traverser la cour, nu depuis la taille. C'était très humiliant mais je ne fus plus à ça prêt. J'entrai dans la douche en pensant que ça allait soulager la brûlure de mes fesses mais pas du tout. L'eau était bouillante et je dus attendre un moment pour trouver une température acceptable. Je me frottais énergiquement. J'avais un peu transpiré pendant la nuit et sous les coups. J'avais envie de faire partir cela de mon corps. 
Je me séchais scrupuleusement et retournais me présenter devant Maître Alban. Il était très souriant et m'indiqua que je devais retourner "à la niche", qu'une surprise m'attendais. Il ne devait pas être plus de sept heures du matin et j'étais déjà rompu. Je retournai donc sans discuter dans ma "cellule". Alban me rejoignis presque aussitôt. Il était accompagné d'un grand gaillard d'une quarantaine d'années. Assez séduisant, costaud, poilu comme je les aime mais il y avait quelque chose chez lui qui me paraissait bizarre. Je le compris vite, c'était son regard. Il était si intense que ça me mettait encore plus mal à l'aise si c'était possible. 
- Je te présente Franck. C'est un copain. Il a une libido assez énorme et il veut se vider les couilles. Tu vas donc être une bonne pute et le laisser faire ce qu'il veut de toi.
Je me dis que c'était plutôt mieux que de me faire frapper sans raison à tout bout de chant. J'avais tort. Franck avait une endurance absolument colossale. Il me regarda et m'ordonna de me déshabiller. Il proposa à Alban de rester pour regarder ce qu'il accepta bien évidemment. Il me scruta.
- Ah tu l'as corrigé. Qu'est-ce qu'il avait fait ?
- Rien, il avait les fesses trop blanches.
- C'est mieux comme ça. 
Il baissa son pantalon et son caleçon. Il était très bien monté mais vu le calibre d'Yvan, ça ne me faisait pas peur. Il jeta des capotes sur ma paillasse et me pris par les cheveux pour que je me mette à genoux et que je le suce. Il était assez excitant et je n'eus aucun mal à obtempérer. Je m'appliquais. Je passais ma langue sur son gland, son pubis, ses couilles puis je faisais entrer son gland dans ma bouche et repassais ma langue. Il semblait adorer. Il grognait comme un ours qui dévore un pot de miel et me tenait la tête solidement. Au bout d'un moment, il me fit mettre à quatre pattes sur le lit. 
- Humm, joli cul, bien bandant.
J'entendis Maître Alban rire. Franck me massait l'anus très adroitement. Apparemment, il avait de la pratique. Il ôta avec ses doigts une touffe de poils blonds de mon trou. Yvan ne voulait pas que je me rase ni que je m'épile à cet endroit-là, j'allais avoir du mal à lui faire avaler qu'on l'avait fait pour moi. Il continua de me titiller avec son doigt humide et je commençais à me dilater. Il me maintenait à quatre pattes avec son autre main. Je n'arrivais pas à bouger mais je bandais dur. Il cracha dans mon cul à plusieurs reprises et tout à coup, je sentis qu'il immobilisait mes mains. Il les lia entre elles dans mon dos et ma tête, du coup, tomba sur le matelas. 
- C'est mieux comme ça. Ca t'évitera d'essayer de me repousser. Alban, je peux y aller ? Je suis excité.
- Oui , ça lui fera du bien. Je suis sûr que ça va rentrer tout seul. Allez, vas-y.
Il déchira une capote et l'enfila en moins de deux puis je sentis son gland contre mon cul. J'avais envie de lui. Je voulais qu'il me prenne. J'étais excité comme un con. Il entra en moi sans difficultés.
- T'as raison ça rentre bien. On voit que c'est une petite salope habituée aux grosses queues. Je suis sûr qu'il se fait tirer par des arabes à Lyon.
Je trouvais la réflexion très désagréable et xénophobe. Yvan avait des tas de défauts mais n'avais aucun préjugé. J'essayais donc de garder mon excitation et de ne pas penser à ça. Il commença à me pilonner durement aussitôt qu'il fut en moi. J'avais un peu mal mais je me détendis assez vite. J'enfonçais ma tête dans la couverture. Il venait frapper avec son bassin sur mes fesses endolories. C'était terrible. J'avais l'impression de me déchirer. Il ralentissait un peu, je pense pour éviter d'éjaculer, puis recommençais de plus belle quand je m'y attendais le moins. Il me défonça comme ça pendant un temps infini. Je me concentrais pour rester excité car je me disais que sinon j'allais avoir vraiment mal. Il s'allongea sur moi et entra encore plus profondément. Je commençais à ne plus pouvoir mais je ne lui dit pas. Je fus presque soulagé lorsqu'il se retira et inonda mon dos avec son sperme. Alban s'approcha et en fit autant. Ils deux compères se serrèrent la main et me laissèrent comme ça, nu sur le ventre, les mains attachées dans le dos et le corps couvert de sperme. Mon anus était si irrité que je ne savais plus si j'avais mal sur le cul ou à l'intérieur.


De longues minutes s'écoulèrent et Alban vint me délivrer. Il me proposa une nouvelle douche que j'acceptais avec plaisir si on peut dire. Mon corps endolori des coups et d'avoir été tendu et immobilisé me faisait mal. L'après-midi, je ne vis pas Alban, je restai dans ma cellule jusqu'à ce qu'il vienne me chercher pour une autre raclée vers 18 heures. Il m'emmena dans son local et m'attacha sur un tréteau après m'avoir fait déshabiller.

Il choisit une cane très souple et commença à me travailler très sévèrement dès le premier coup. J'essayais de bouger mais j'étais attaché solidement. Je remuais. Mes bras mes mes poignets me faisaient mal. Alban furieux me lança : "je vais te faire tenir tranquille". Je sentis une sensation de froid contre mon trou et ses doigts plein de gel entrer en moi. J'ai eu peur. Qu'allait-il me faire ? Il enfonça une boule en moi et soudain je l'entendis tirer sur quelque chose. Je sentis mon cul remonter de quelques centimètres. En fait, un crochet me soulevait par l'anus pour m'immobiliser encore un peu plus. Je suppliai. Je n'en  pouvais plus.

- Tu dois subir, tu es là pour ça. 
Et il recommença à me frapper. Je commençais a avoir presque la peau anesthésiée par autant de coup. Je me relâchais, éclatais en sanglots mais il n'arrêta pas pour autant. Je subis encore la cane pendant plusieurs minutes puis il cessa et éjacula sur mon dos et dans mes cheveux. Il me laissa un long moment attaché comme ça et nous recommençâmes le même rituel que pour le petit déjeuner. Je dus lui apporter son dîner et aller manger le mien dans la cuisine.
Le soir il s'installa devant la télé et au bout d'un moment, me renvoya "à la niche". Comme il disait. Il m'enferma après m'avoir forcé à me déshabiller devant lui.

Je m'endormis presque tout de suite. La journée du lendemain se déroula à peu près de la même manière sauf que les coups furent donnés avec un martinet. Baise le matin avec Franck et correction l'après-midi. Vers 15 h, Alban décida qu'il avait envie de me baiser. Il me fit venir dans son local à corrections et me fit déshabiller entièrement. Je dus me mettre à quatre pattes devant lui, le cul cambré et le sucer. Puis, il me retourna et me pris après avoir enfilé une capote et enduit son sexe de gel. Il éjacula assez rapidement et me laissa aller rassembler mes affaires.

Trois quart d'heure plus tard, Yvan se garait dans la cour du château. Une conversation commença entre les deux hommes.

- Alors, ça s'est bien passé ?
- Il a de bonnes bases mais il ne comprend pas très bien qu'on puisse le punir même s'il n'a rien fait. En tout cas il progresse. C'est une bonne pute. Il a bien vidé mon copain deux fois et moi je l'ai baisé cet am. Montre-nous ton cul.

Je baissais mon short que j'avais mis pour repartir et mon slip. Yvan admira mon cul tuméfié. J'avais mal et je pense même que la veille j'avais un peu saigné ce qui m'a épargné la cane le second jour. Yvan claqua des doigts et je remontais dans la voiture.
- Tu as aimé ?
- C'était dur.
- Si tu es sage, tu n'y retourneras pas la semaine prochaine.
Je pense qu'il s'était rendu compte que j'étais un peu trop débutant pour tenir le coup tout un week end. En tout cas, je n'ai pas revu Alban jusqu'à un week end SM en Suisse quelques années plus tard. Je n'ai jamais su qui d'Yvan ou de lui avait jugé que je n'étais pas prêt et interrompu le dressage.

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