Quelques semaines plus tard, Yvan m'annonça qu'il allait partir en Bretagne dans sa famille pour Noël. Il me demanda si j'allais monter moi aussi rendre visite à mes frères. Rien n'était prévu si ce n'était un petit coup de fil à mes parents. Le lendemain, il m'appris qu'il refusait de me laisser seul à Lyon pendant les fêtes. J'ai tout d'abord cru qu'il allait me proposer de l'accompagner et je m'en réjouissais mais j'ai très vite déchanté. Il me dit tout de go qu'il allait me confier à Robert, un de ses amis. L'idée m'épouvanta. Il allait me remettre entre les mains d'un parfait inconnu.
C'est le surlendemain que je fis la connaissance de Robert. Je trouvais déjà que la différence d'âge entre Yvan et moi était importante, je fus totalement atterré lorsque je vis que le copain en question avait pratiquement la soixantaine. Certes, il était élégant et séduisant mais quand même, s'il fallait qu'on couche ensemble, ça allait être bizarre.
Robert était affable, charmant et souriant mais cette attitude me sembla suspecte. Je me demandais ce que ça cachait.
Très vite, il me mit à l'aise en me disant que nous allions bien nous entendre. J'étais un peu rassuré. Peut-être qu'il allait se comporter comme un vieil oncle charmant et que je n'aurais qu'à lui tenir compagnie. Je me dis que, finalement, la séparation avec Yvan n'était pas grave et que je serai très excité lorsque nous allions nous retrouver.
Je me débrouillais donc pour me montrer le plus charmant possible lorsqu'il vint s'installer dans l'appartement d'Yvan au
début des vacances de Noël. J'avais préparé un dîner très sympa et demandé à Yvan l'autorisation de déboucher une bouteille de vin pour notre invité. Il avait souri et accepté. J'allais donc me retrouver tout seul avec Robert puisque mon maître était parti dans la journée pour sa Bretagne natale.
Robert arriva toujours aussi affable. Il portait un costard impeccable et un manteau en cachemire magnifique. J'ai toujours évolué dans un milieu plutôt aisé mais je n'avais jamais vu quelqu'un qui avait autant de classe. Pourtant, j'allais vite me rendre compte que derrière cette élégance, se cachait un sadique de la pire espèce doublé d'un homme ayant un solide appétit pour le sexe. Nous dînâmes d'une manière assez agréable, parlant de tout et de rien, de mes études etc. Il semblait vraiment s'intéresser
à ce que je faisais. Vers minuit, je commençais à être un peu plus à l'aise avec lui et il m'informa qu'il avait envie d'aller se coucher mais qu'il me sauterait demain matin au petit déjeuner. Il m'expliqua en deux mots, qu'il aimait faire ça le matin mais qu'il fallait que j'ai tout préparé et que je sois allé lui chercher des croissants. Sur ce, il se retira dans la chambre d'Yvan et me laissa ébahi dans le salon.
Vu le ton employé par Robert, le lendemain matin, je me levai à 6 h 30 et me précipitai à la boulangerie la plus proche. Une fois rentré, je préparai du café, du thé, du jus d'orange et un plateau en espérant qu'il avait plaisanté la veille au soir.
Il se leva vers 7 h 30 et, à moitié habillé, il entra dans la cuisine une capote à la main.
-J'espère que tu as un jockstrap. Ca m'excite bien.
Je lui dit qu'en effet, j'en possédai un et il m'ordonna de courir l'enfiler avant la "petite séance de baise du matin". Je revins quelques secondes plus tard vêtu de ce sous-vêtement et de rien d'autre et je commençais à le sucer. Les poils gris de son sexe et de son ventre me faisaient un drôle d'effet. Il était remarquablement bien foutu et je me pris à aimer le toucher. J'enfonçais son sexe dans ma bouche et, d'une manière experte, je le léchais de partout. Il me renversa sur la table et enfila la capote. Il me bouffa le cul d'une manière très sensuelle et me fit gémir d'un plaisir que je n'avais encore jamais éprouvé jusque-là. J'adorai la sensation de
lui obéir et de le laisser faire ce qu'il voulait de moi. C'était à la fois grisant et très bizarre. Je crois que Robert m'excitait beaucoup plus que ce que je voulais admettre mais je trouvais cette relation sexuelle à la fois inepte et terrible. Il me pénétra avec le moins de bestialité possible et fit des allés et retour en moi en tenant mes chevilles. C'était excellent. Il éjacula dans la capote et, sans se préoccuper de l'état d'excitation dans lequel il m'avait mis, il se retira et acheva de s'habiller sans avoir touché au plateau du petit déjeuner. Il murmura un vague "à ce soi" avec un air entendu et sortit sur le palier, me laissant là, à moitié nu, avec une théière fumante et un préservatif usagé près de ma tête.
C'est le surlendemain que je fis la connaissance de Robert. Je trouvais déjà que la différence d'âge entre Yvan et moi était importante, je fus totalement atterré lorsque je vis que le copain en question avait pratiquement la soixantaine. Certes, il était élégant et séduisant mais quand même, s'il fallait qu'on couche ensemble, ça allait être bizarre.
Robert était affable, charmant et souriant mais cette attitude me sembla suspecte. Je me demandais ce que ça cachait.
Très vite, il me mit à l'aise en me disant que nous allions bien nous entendre. J'étais un peu rassuré. Peut-être qu'il allait se comporter comme un vieil oncle charmant et que je n'aurais qu'à lui tenir compagnie. Je me dis que, finalement, la séparation avec Yvan n'était pas grave et que je serai très excité lorsque nous allions nous retrouver.
Je me débrouillais donc pour me montrer le plus charmant possible lorsqu'il vint s'installer dans l'appartement d'Yvan au
début des vacances de Noël. J'avais préparé un dîner très sympa et demandé à Yvan l'autorisation de déboucher une bouteille de vin pour notre invité. Il avait souri et accepté. J'allais donc me retrouver tout seul avec Robert puisque mon maître était parti dans la journée pour sa Bretagne natale.
Robert arriva toujours aussi affable. Il portait un costard impeccable et un manteau en cachemire magnifique. J'ai toujours évolué dans un milieu plutôt aisé mais je n'avais jamais vu quelqu'un qui avait autant de classe. Pourtant, j'allais vite me rendre compte que derrière cette élégance, se cachait un sadique de la pire espèce doublé d'un homme ayant un solide appétit pour le sexe. Nous dînâmes d'une manière assez agréable, parlant de tout et de rien, de mes études etc. Il semblait vraiment s'intéresser
à ce que je faisais. Vers minuit, je commençais à être un peu plus à l'aise avec lui et il m'informa qu'il avait envie d'aller se coucher mais qu'il me sauterait demain matin au petit déjeuner. Il m'expliqua en deux mots, qu'il aimait faire ça le matin mais qu'il fallait que j'ai tout préparé et que je sois allé lui chercher des croissants. Sur ce, il se retira dans la chambre d'Yvan et me laissa ébahi dans le salon.
Vu le ton employé par Robert, le lendemain matin, je me levai à 6 h 30 et me précipitai à la boulangerie la plus proche. Une fois rentré, je préparai du café, du thé, du jus d'orange et un plateau en espérant qu'il avait plaisanté la veille au soir.
Il se leva vers 7 h 30 et, à moitié habillé, il entra dans la cuisine une capote à la main.
-J'espère que tu as un jockstrap. Ca m'excite bien.
Je lui dit qu'en effet, j'en possédai un et il m'ordonna de courir l'enfiler avant la "petite séance de baise du matin". Je revins quelques secondes plus tard vêtu de ce sous-vêtement et de rien d'autre et je commençais à le sucer. Les poils gris de son sexe et de son ventre me faisaient un drôle d'effet. Il était remarquablement bien foutu et je me pris à aimer le toucher. J'enfonçais son sexe dans ma bouche et, d'une manière experte, je le léchais de partout. Il me renversa sur la table et enfila la capote. Il me bouffa le cul d'une manière très sensuelle et me fit gémir d'un plaisir que je n'avais encore jamais éprouvé jusque-là. J'adorai la sensation de
lui obéir et de le laisser faire ce qu'il voulait de moi. C'était à la fois grisant et très bizarre. Je crois que Robert m'excitait beaucoup plus que ce que je voulais admettre mais je trouvais cette relation sexuelle à la fois inepte et terrible. Il me pénétra avec le moins de bestialité possible et fit des allés et retour en moi en tenant mes chevilles. C'était excellent. Il éjacula dans la capote et, sans se préoccuper de l'état d'excitation dans lequel il m'avait mis, il se retira et acheva de s'habiller sans avoir touché au plateau du petit déjeuner. Il murmura un vague "à ce soi" avec un air entendu et sortit sur le palier, me laissant là, à moitié nu, avec une théière fumante et un préservatif usagé près de ma tête.
A suivre...
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