dimanche 28 août 2011

Vacances en amoureux

Le week end avec Slavko, Mickaël, Wilfrid et Christian marqua un tournant dans notre relation. Calculateur comme il était, Yvan avait du penser que je ne pouvais que mal supporter ce genre de chose. 

Il me dominait et me faisait dominer mais il ne brûlait jamais les étapes. Il me proposa donc de m'emmener en vacances dans une maison qu'il avait loué en Italie. J'appelais donc mes parents pour leur dire que j'allais partir "avec des copains" et, joyeux, je préparai les valises sous l'oeil vigilant de mon Master. Nous partîmes donc sur la côte Adriatique en voiture. J'étais très fier de partir en vacances alors que nous étions "ensemble" depuis presque deux ans. J'adorai l'idée de lui appartenir. Pendant ce second été, j'allais être exaucé. Il allait vraiment être mon seigneur et maître, autoritaire, protecteur et sévère. 
Après un voyage fatigant nous arrivâmes dans la villa qu'il avait louée. Elle était un peu isolée mais très agréable, de plein pied avec une piscine. Yvan m'ordonna de défaire les bagages. Il se mit à poil et plongea dans la piscine pendant que je rangeais tout avec soin dans les placards. La maison était très sympa, il y avait même une pièce avec un table de massage. Je savais qu'il avait commandé un masseur pour le lendemain. Une fois que j'eus tout rangé, il me fit signe de me déshabiller et de le rejoindre. Il me sauta dans la piscine très brutalement comme toujours. Je sentais son sexe en moi et je m'accrochais à lui pour ne pas tomber. J'étais blotti contre son torse pendant qu'il défonçait mon cul. Il se retira et m'emmena dans le salon et je commençais à le sucer. 

Il se dégageait de lui une virilité incroyable (souvent les homos ne sont très virils que superficiellement mais lui c'était l'homme, le macho dans toute sa splendeur) et son sexe avait le goût du chlore. C'était bizarre mais pas désagréable. Je m'activai pour le refaire bander. Il tenait brutalement ma nuque et me fouillait le cul. Il frappait un peu de temps en temps comme pour me rappeler que j'étais à lui et que je devais obéir. J'aimais ces moments où nous étions vraiment  bien tous les deux et j'accentuai le côté petit soumis en gémissant un peu s'il enfonçait son sexe trop profondément. Il éjacula dans ma bouche. La quantité de son sperme me fit frémir. Il m'embrasse doucement sur le front et me dit :
- Tu m'excites toujours autant au bout de deux ans. C'est bon signe non ?
- Oui, je suis bien avec toi.
Il sourit. Je savais que nos petites baises n'allaient pas lui suffire longtemps mais je profitais du temps présent. Il avait une libido absolument démente. Je préparai un petit dîner avec ce que nous avions apporté et, tout de suite après manger il commença à me donner des ordres :
- A genoux. Suce.
J'obéis sans aucune discussion. Depuis notre arrivée, nous étions absolument nus et ça allait être comme ça presque pendant toute la semaine de vacances. 
- J'ai encore envie de ton cul.

Je m'allongeais face à lui et il me pénétra avec brutalité. Je le sentais en moi. C'était trop excitant et je me mis à a bander très dur. Tous mes muscles étaient tendus. Je lui appartenais totalement et j'avais envie qu'il se sente bien. Certes, je prenais mon pied mais j'accentuai les gestes de la passion car j'étais très heureux de le sentir en moi, presque amoureux comme je pouvais l'être. Je ne sais comment décrire la complicité qui nous unissait à ce moment-là. C'était si rare. 

Nous terminâmes de baiser au lit et, une fois de plus, il éjacula en moi une quantité impressionnante de sperme. Je m'endormis contre lui, nos corps encore gluants. Je me demandais ce que ce soudain accès de tendresse et de libido pouvait bien cacher mais les deux ou trois jours qui ont suivi, hormis les visites du masseurs, nous restâmes tous les deux. Nous mangeâmes dans le petit resto du village, nous nous promenâmes dans la région, nous allions nous baigner au moins une fois par jour sur une plage naturiste toute proche. Mon Maître semblait se comporter comme un petit ami ordinaire si ce n'étaient les ordres qu'ils donnaient et qui n'admettaient pas de discussion. 

J'obtempérai à chaque ordre et rien ne se dessinait, aucune punition, aucune brimade, juste les envies sexuelles de mon homme qu'il fallait satisfaire. Etais-je parvenu  à mes fins ? Avoir avec Yvan une vraie relation, un vrai échange ? Bien sûr la présence du masseur à chaque retour de notre plage m'intriguait et ne laissait pas de me mettre mal à l'aise. C'était un beau black souriant et qui avait très bien compris que nous étions homos. Il ne semblait pas s'en offusquer. Dès le troisième jour, il commença, dans un français parfait, à évoquer le sujet avec nous. Il se montra même fort graveleux. 
- Il te plaît mon copain ? S'enquit Yvan.
- Il est mignon... Il est jeune, non ?
- 18 ans. C'est un bon âge pour bien commencer son éducation sexuelle.
Gino, le beau masseur, rigola en me montrant la blancheur de ses dents et l'étincelle vicieuse de ses yeux. Je soupçonnai Yvan d'avoir tout combiné à l'avance et ça me fit un peu de peine mais bon, Gino était très beau alors pourquoi pas. Yvan m'ordonna de lui servir un whisky et les deux salauds s'installèrent dans le salon tandis qu'ils me faisaient déshabiller et commentaient :
- Il est mignon, assez masculin quand même.
- Oui, il commence à prendre des poils. Allez, fait pas le timide, retire ton slip. Montre-nous ton cul.
- Humm joli cul, ça donne envie de le bouffer.
- Mets-toi à quatre pattes et cambre-toi pour montrer à Gino que t'aimes ça.
J'obéis. La position était très humiliante et je retrouvais l'attitude dominatrice et perverse d'Yvan. Le paradoxe était que j'aimais quand il était gentil mais sa dureté me faisait bander aussi. Lorsque vous parlez d'effet drogue, c'est tout à fait ça. Yvan me faisait un tel effet, que je lui obéissais sans discuter même quand j'aurais préféré être seul avec lui et le satisfaire seulement par ma présence.
- Écarte tes fesses avec tes mains que Gino puisse voir ton trou.
J'obéis, m'humiliant encore d'avantage. Gino se posta derrière moi et commença à me lécher.
- Tu gémis pas sinon je te claque la gueule. D'ailleurs tu va me sucer.
Et Yvan, plus rapide que l'éclair, enfonça sa queue dans ma bouche me provoquant une montée de salive. Les coups de langue de Gino me plaisaient. Je me sentais à la fois humilié et en plein plaisir. C'était terrible. Gino se mit à poil à son tour. Il me porta sur le lit et se mit à cheval sur mon cou afin que je le suce. Yvan nous rejoignit et donna ses ordre :
- Ouvre-lui ta gueule... allez suce-le mieux que ça... Lèche... T'as envie que je te punisse ?

Je m'appliquais mais Gino me faisait mal dans cette position. Il déchira une capote et me sodomisa sans autre forme de procès alors qu'Yvan me fit lécher son trou. La queue du black en moi était bien excitante et mon Maître qui continuait à me donner des ordres me fit bander. J'étouffais entre les poils de ses fesses mais ma langue sortait quand même. J'obéissais à chaque ordre qui tombait. 
- Lèche mieux que ça... Il est bon mon cul ? Allez, rentre ta langue....
Yvan me tirait les cheveux alors que Gino s'agitait en moi. Tout d'un coup, je le sentis se contracter et se relâcher deux fois de suite. Il hurla. Je compris qu'il avait joui. 
- Putain, quelle salope... tu dois pas t'ennuyer toute l'année.
- C'est clair.
Yvan s'était relevé. Il était encore en sueur et le sexe raide car il n'avait pas éjaculé. Il embrassa Gino et lui donna rendez-vous le lendemain. Il le raccompagna après qu'il se fut rhabillé et revint vers moi l'air mi-furieux mi-vicieux.
- Alors bâtard, t'as pris ton pied. T'aimes les queues noires ! Salope.
Il me gifla à toute volée puis m'enfonça sa queue dans la bouche.
- C'est ma bite que tu dois aimer t'as compris ! Suce. Tu ne dois pas prendre de plaisir autant avec les autres.
Je ne comprenais pas car c'était lui qui m'avait imposé Gino. Il semblait en colère. Il éjacula dans ma bouche. 
Il se releva en souriant et en me disant : "t'es un bon esclave quand même".
Ca y était, le terme était lâché. C'était bien ce que j'étais, un esclave. Je le savais bien. Il y eu un ou deux autres plans avec Gino mais le meilleur de ces vacances reste pour moi le va et viens d'Yvan en moi.




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