Après l'épisode brûlant de mon anniversaire, les vacances ont été plus calmes. Le réveillon du nouvel an s'est fait à la maison en petit comité. Nous avons mangé et bu mais il n'y a pas eu la partouze à laquelle je m'attendais. J'ai repris les cours au début de janvier. L'attitude d'Yvan avait un peu changé. Il était toujours directif mais il semblait m'imposer moins de choses. Depuis l'été, il m'avait renvoyé une fois chez le coiffeur et choisissait chaque jour les vêtements que je devais porter et là, il se relâchait un peu. Je ne savais pas trop quoi en penser. J'ai eu peur un temps qu'il ne s'intéresse plus à moi mais notre vie sexuelle était toujours très active et très excitante. Durant le mois de janvier, il m'a emmené deux fois dans deux saunas différents mais, s'il me choisissait des partenaires, il ne me malmenait pas. C'était la même chose pour les corrections. Début février, je n'avais reçu aucune raclée depuis mon anniversaire. La situation me convenait car il me permettait souvent de dormir avec lui et me comblait mais je savais qu'il était le spécialiste pour souffler le chaud et le froid et je me demandais ce que ça cachait. Laurent était parti travailler dans le nord pour six mois et je pense qu'il lui manquait. Je suis persuadé qu'Yvan est de ces hommes pour qui des amitiés viriles sont nécessaires. Il devait tenir cela de son passé de rugbyman. Le sport d'équipe créée des liens. Il lui arrivait d'être vraiment gentil avec moi et cela me surprenait toujours car il pouvait aussi être terriblement sévère et injuste. Je savais qu'il avait été à la fois excité et impressionné par ma performance pour mon anniversaire même si, franchement, je n'avais rien maîtrisé. Peut-être que j'avais gagné son respect. Début février, il m'annonça que Patrick, le mec qui m'avait corrigé dans le midi en même temps que son soumis David, allait venir nous rendre visite. Comme je vous le disais précédemment, je le trouvais à la fois très beau et très inquiétant. Il devait passer la nuit chez nous en montant sur Paris.
Le soir dit, vers 18 h, Patrick arriva. Je retrouvais alors ma place de "domestique" et leur servit l'apéritif. Les deux machos étaient installés dans le salon et devisaient sur le sexe, la soumission, le SM. Patrick racontait qu'il était fasciné par les tortures médiévales et affirmait que, dans une autre vie, il avait dû être un bourreau chargé de faire parler les accusés et pourquoi pas aussi de les exécuter.
Il racontait qu'il était fasciné par les livres et les gravures qui traitaient de ces sujets. Yvan rétorquait qu'il était venu au SM par le goût du châtiment corporel alors qu'il n'en n'avais jamais reçu lui même. Patrick repartit en affirmant qu'à Singapour, le châtiment corporel public se pratiquait couramment pour des condamnations pour délit sexuel ou trafic de drogue et que l'instrument le plus utilisé était la cane en bambou. Mon maître n'hésita pas à dire que c'était son instrument préféré et que je commençais à la supporter de mieux en mieux. Patrick eut un petit sourire qui en disait long. Yvan le lui rendit.
- Tu veux essayer ?
- Ouais. Ca peut m'exciter.
- Une punition pour rien ça peut être sympa. Surtout qu'il est sage depuis un mois.
- Ca ne fait rien il l'aura pas volé de toute manière. Et puis ça lui apprendra à trop aimer la queue.
Puis s'adressant à moi :
- Allez jeune homme, à poil qu'on voit un peu ce cul.
- Tu peux t'installer dans ma chambre. A plat ventre sur le pieu, c'est excitant.
Je me déshabillais lentement, un peu tremblant. J'enlevais mon tee shirt, mon survêtement (un des derniers cadeaux de mon Maître qu'il m'obligeait à porter souvent bien que je ne fasse pas de sport), mon boxer, mes baskets.
- Allez, les chaussettes aussi. J'ai dit complètement à poil.
Les deux salauds riaient entre eux, bien contents de ce qu'ils allaient me faire subir.
- Allez à quatre pattes que j'examine ton cul.
J'obéis immédiatement, je me tournai et lui montrait mes fesses. Le beau gosse commença à m'enfoncer un doigt.
- Dis-donc, ça s'ouvre bien, on voit qu'il se fait tirer régulièrement. Quelle petite salope.
Yvan en rajouta :
- Ouais et il aime ça. Quand je le défonce, il gémit comme une petite pute.
- Ca va se payer.
Il enfonça son doigt plus profondément et son ongle me griffa un peu. Je bougeai légèrement ce qui me valut une claque bien appliquée sur les fesse.
- Allez, on passe aux choses sérieuses, va t'installer sur mon lit. Mets deux oreillers sous tes fesses qu'on les voit bien.
J'obtempérai rapidement. Je m'allongeai sur le ventre, deux oreillers sous moi. J'espérais un peu réduire la punition en étant très obéissant. Quelle erreur !
Quelques secondes plus tard. Ils entrèrent dans la chambre. Yvan fit choisir une cane à Patrick, il les examina une par une.
- Tu veux que je t'attache ou je te fouette sans que tu bronche ?
- Je préfèrerai ne pas être attaché, Maître.
- Ok mais tu vas compter les coups et si tu bouges, si tu mets les mains ou si tu te trompes, je recommence de zéro. Combien de coup à ton avis Yvan ? 10... 12... 15 ?
- 15 ça me semble bien. Il le mérite pour gémir autant quand on le saute.
Je serrai les dents. Patrick fit siffler la cane qu'il avait choisi dans l'air comme pour se convaincre qu'il fallait bien prendre celle-là. Je savais que c'était la plus épaisse. Tout dépendait comment on l'utilisait, elle pouvait être terrible comme moins sévère que les plus fines. J'eus peur car je savais qu'il ne me ferait aucun cadeau. J'avais déjà subi ses coups quand nous étions descendus chez lui près de Marseille. Il commença à attaquer un peu fort.
- 1. 2.3.4.
J'avais mal car ce n'était pas très progressif mais je faisais un effort surhumain pour encaisser et ne pas tomber de sur les oreillers. Je n'avais aucune envie de recommencer.
- 5.
Les larmes commençaient à couler sur mes joues malgré moi.
- 5, t'es sûr. Moi j'en avais compté 4. Tu te fous de ma gueule ?
- Non...
- Allez on recommence, tu t'es trompé.
- 1. 2. 3.4. 5.6.
Je n'en pouvais plus. Malgré moi ma main se posa sur mes fesses. J'entendis un beuglement furieux. Il me pris par les cheveux et me cracha au visage.
- Je t'ai interdit de bouger bâtard. On recommence.
- 1. 2. 3. 4. 5.6. 7. 8.
Il espaçait un peu les coups à partir du 8ème. Je me disais qu'il fallait absolument que je tienne. Je pleurai abondamment sous le regard intransigeant d'Yvan. Il n'avais pas la moindre once de compassion pour moi.
- 9. 10. 11. 12. 13.
- Allez, les deux derniers.
- 14.
Mes pleurs redoublèrent tant j'étais endolori et humilié. L'attitude tout à fait complice d'Yvan, si elle ne me surprenait pas, me faisait mal car, depuis plusieurs semaines, nous nous entendions si bien.
- 15 !!!
Le quinzième coup fut terrible je m'accrochais au drap pour ne pas tomber. Je ne pu me relever tout de suite et ils me laissèrent un instant pleurer sur le lit.
- T'as raison, il est endurant. Il ferait un bon sujet pour nos petits week ends. Tu ne trouves pas ?
- C'est encore un peu tôt pour parler de lui à Jacques mais ça viendra.
Je me demandais bien qui pouvait être Jacques, mais j'avais trop mal pour réfléchir.
- C'est une belle performance Patrick. Tu veux le baiser ?
- Volontiers mais d'abord il va me sucer. Laisse la cane par-là au cas où il ne s'applique pas.
Il ouvrit sa braguette et me pris par les cheveux. Je les avais à nouveau un peu longs et du coup c'était plus facile. Je suçais avec fougue et application. J'avais peur d'une nouvelle punition.
- Ca te dérange pas si je me joins à vous ?
- Au contraire.
Yvan se déshabilla lentement pendant que je suçais son pote. Je commençais à moins pleurer mais j'avais mal. C'était terrible. Yvan vint prendre la place de Patrick et je suçais de mon mieux. En se déshabillant, celui-ci dit :
- Tu me dis s'il suce mal, j'ai encore de l'énergie pour lui foutre une correction.
- Non, non, ça il le fait bien. Il y a des capotes dans la table de chevet.
Patrick se saisit des capotes et me doigta pendant que je suçais Yvan. J'essayais de rester stoïque et de ne pas gémir. Mes fesses étaient brûlantes et j'appréhendais la sodomie et le bassin de notre invité qui viendrait les percuter. J'avais raison. La sodo ne fut pas du tout agréable car à chaque coup, il venait taper sur mes fesses endolories. Heureusement, il était bien excité et se soulagea dans la capote tandis qu'imperturbable, je continuais à sucer Yvan. Ce dernier me fit avaler son sperme. Nous tombâmes tous les trois sur le lit et dormirent ensemble. Le lendemain matin, un peu effrayé de ce qui pouvait encore m'arriver, je me levai doucement et allai préparer le petit déjeuner. Je n'osais pas regarder l'état de mes fesses dans le miroir de ma chambre. Je n'osais pas m'habiller et restai nu pour le servir dès qu'ils eurent mis le pied par terre.
Patrick repartit tôt dans la matinée mais j'allais le revoir à de nombreuses reprises et il allait me corriger plus souvent qu'à mon tour pendant les 7 années qui ont suivi.
Le soir dit, vers 18 h, Patrick arriva. Je retrouvais alors ma place de "domestique" et leur servit l'apéritif. Les deux machos étaient installés dans le salon et devisaient sur le sexe, la soumission, le SM. Patrick racontait qu'il était fasciné par les tortures médiévales et affirmait que, dans une autre vie, il avait dû être un bourreau chargé de faire parler les accusés et pourquoi pas aussi de les exécuter.
Il racontait qu'il était fasciné par les livres et les gravures qui traitaient de ces sujets. Yvan rétorquait qu'il était venu au SM par le goût du châtiment corporel alors qu'il n'en n'avais jamais reçu lui même. Patrick repartit en affirmant qu'à Singapour, le châtiment corporel public se pratiquait couramment pour des condamnations pour délit sexuel ou trafic de drogue et que l'instrument le plus utilisé était la cane en bambou. Mon maître n'hésita pas à dire que c'était son instrument préféré et que je commençais à la supporter de mieux en mieux. Patrick eut un petit sourire qui en disait long. Yvan le lui rendit.
- Tu veux essayer ?
- Ouais. Ca peut m'exciter.
- Une punition pour rien ça peut être sympa. Surtout qu'il est sage depuis un mois.
- Ca ne fait rien il l'aura pas volé de toute manière. Et puis ça lui apprendra à trop aimer la queue.
Puis s'adressant à moi :
- Allez jeune homme, à poil qu'on voit un peu ce cul.
- Tu peux t'installer dans ma chambre. A plat ventre sur le pieu, c'est excitant.
Je me déshabillais lentement, un peu tremblant. J'enlevais mon tee shirt, mon survêtement (un des derniers cadeaux de mon Maître qu'il m'obligeait à porter souvent bien que je ne fasse pas de sport), mon boxer, mes baskets.
- Allez, les chaussettes aussi. J'ai dit complètement à poil.
Les deux salauds riaient entre eux, bien contents de ce qu'ils allaient me faire subir.
- Allez à quatre pattes que j'examine ton cul.
J'obéis immédiatement, je me tournai et lui montrait mes fesses. Le beau gosse commença à m'enfoncer un doigt.
- Dis-donc, ça s'ouvre bien, on voit qu'il se fait tirer régulièrement. Quelle petite salope.
Yvan en rajouta :
- Ouais et il aime ça. Quand je le défonce, il gémit comme une petite pute.
- Ca va se payer.
Il enfonça son doigt plus profondément et son ongle me griffa un peu. Je bougeai légèrement ce qui me valut une claque bien appliquée sur les fesse.
- Allez, on passe aux choses sérieuses, va t'installer sur mon lit. Mets deux oreillers sous tes fesses qu'on les voit bien.
J'obtempérai rapidement. Je m'allongeai sur le ventre, deux oreillers sous moi. J'espérais un peu réduire la punition en étant très obéissant. Quelle erreur !
Quelques secondes plus tard. Ils entrèrent dans la chambre. Yvan fit choisir une cane à Patrick, il les examina une par une.
- Tu veux que je t'attache ou je te fouette sans que tu bronche ?
- Je préfèrerai ne pas être attaché, Maître.
- Ok mais tu vas compter les coups et si tu bouges, si tu mets les mains ou si tu te trompes, je recommence de zéro. Combien de coup à ton avis Yvan ? 10... 12... 15 ?
- 15 ça me semble bien. Il le mérite pour gémir autant quand on le saute.
Je serrai les dents. Patrick fit siffler la cane qu'il avait choisi dans l'air comme pour se convaincre qu'il fallait bien prendre celle-là. Je savais que c'était la plus épaisse. Tout dépendait comment on l'utilisait, elle pouvait être terrible comme moins sévère que les plus fines. J'eus peur car je savais qu'il ne me ferait aucun cadeau. J'avais déjà subi ses coups quand nous étions descendus chez lui près de Marseille. Il commença à attaquer un peu fort.
- 1. 2.3.4.
J'avais mal car ce n'était pas très progressif mais je faisais un effort surhumain pour encaisser et ne pas tomber de sur les oreillers. Je n'avais aucune envie de recommencer.
- 5.
Les larmes commençaient à couler sur mes joues malgré moi.
- 5, t'es sûr. Moi j'en avais compté 4. Tu te fous de ma gueule ?
- Non...
- Allez on recommence, tu t'es trompé.
- 1. 2. 3.4. 5.6.
Je n'en pouvais plus. Malgré moi ma main se posa sur mes fesses. J'entendis un beuglement furieux. Il me pris par les cheveux et me cracha au visage.
- Je t'ai interdit de bouger bâtard. On recommence.
- 1. 2. 3. 4. 5.6. 7. 8.
Il espaçait un peu les coups à partir du 8ème. Je me disais qu'il fallait absolument que je tienne. Je pleurai abondamment sous le regard intransigeant d'Yvan. Il n'avais pas la moindre once de compassion pour moi.
- 9. 10. 11. 12. 13.
- Allez, les deux derniers.
- 14.
Mes pleurs redoublèrent tant j'étais endolori et humilié. L'attitude tout à fait complice d'Yvan, si elle ne me surprenait pas, me faisait mal car, depuis plusieurs semaines, nous nous entendions si bien.
- 15 !!!
Le quinzième coup fut terrible je m'accrochais au drap pour ne pas tomber. Je ne pu me relever tout de suite et ils me laissèrent un instant pleurer sur le lit.
- T'as raison, il est endurant. Il ferait un bon sujet pour nos petits week ends. Tu ne trouves pas ?
- C'est encore un peu tôt pour parler de lui à Jacques mais ça viendra.
Je me demandais bien qui pouvait être Jacques, mais j'avais trop mal pour réfléchir.
- C'est une belle performance Patrick. Tu veux le baiser ?
- Volontiers mais d'abord il va me sucer. Laisse la cane par-là au cas où il ne s'applique pas.
Il ouvrit sa braguette et me pris par les cheveux. Je les avais à nouveau un peu longs et du coup c'était plus facile. Je suçais avec fougue et application. J'avais peur d'une nouvelle punition.
- Ca te dérange pas si je me joins à vous ?
- Au contraire.
Yvan se déshabilla lentement pendant que je suçais son pote. Je commençais à moins pleurer mais j'avais mal. C'était terrible. Yvan vint prendre la place de Patrick et je suçais de mon mieux. En se déshabillant, celui-ci dit :
- Tu me dis s'il suce mal, j'ai encore de l'énergie pour lui foutre une correction.
- Non, non, ça il le fait bien. Il y a des capotes dans la table de chevet.
Patrick se saisit des capotes et me doigta pendant que je suçais Yvan. J'essayais de rester stoïque et de ne pas gémir. Mes fesses étaient brûlantes et j'appréhendais la sodomie et le bassin de notre invité qui viendrait les percuter. J'avais raison. La sodo ne fut pas du tout agréable car à chaque coup, il venait taper sur mes fesses endolories. Heureusement, il était bien excité et se soulagea dans la capote tandis qu'imperturbable, je continuais à sucer Yvan. Ce dernier me fit avaler son sperme. Nous tombâmes tous les trois sur le lit et dormirent ensemble. Le lendemain matin, un peu effrayé de ce qui pouvait encore m'arriver, je me levai doucement et allai préparer le petit déjeuner. Je n'osais pas regarder l'état de mes fesses dans le miroir de ma chambre. Je n'osais pas m'habiller et restai nu pour le servir dès qu'ils eurent mis le pied par terre.
Patrick repartit tôt dans la matinée mais j'allais le revoir à de nombreuses reprises et il allait me corriger plus souvent qu'à mon tour pendant les 7 années qui ont suivi.
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