Difficile pour moi de dater le premier week end que nous avons passé dans la maison qu'Yvan possédait près de Valence. Je pense que c'était en novembre ou en décembre. Il faisait beau et froid. J'avais été surpris qu'il me dise que nous devions y aller le week end car, depuis que je partageais sa vie, il ne m'avais jamais parlé de cette propriété. Evidemment, Laurent était de la partie ainsi que Jean-Christophe, qui devait être son amant du moment. Jean-Christophe était plus jeune, il avait un peu un look de skinhead, les cheveux rasés, des jeans troués et des piercings aux tétons qui se voyaient parfaitement sous les pulls à col roulé moulant qu'il portait. Il avait une personnalité qui contrastait fortement avec son physique : il était assez timide.
Nous partîmes donc le vendredi soir dans la voiture d'Yvan. Les deux copains devant et Jean-Christophe et moi à l'arrière. Je ne participais pas à la conversation sauf si Yvan m'interrogeait (ce qui n'arrivait pas très souvent). J'étais surpris de voir que Jean-Christophe, que j'avais déjà vu une ou deux fois mais peu entendu, parlait assez facilement. Il semblait à l'aise avec les deux compères.
Nous fîmes la route dans une ambiance affable mais j'étais très intimidé par l'aisance des trois autres. Il faut vous rappeler qu'à l'époque, j'étais très jeune et la relation que j'entretenais avec Yvan n'était guère propice au développement de ma confiance en moi.
La maison était très isolée. C'était une ancienne ferme qui comportait un étage où se trouvaient les chambres. Elle était glacée et Yvan se précipita pour allumer la chaudière. La rénovation avait du coûter une fortune car tout dans la maison était ultra moderne y compris la cuisine. Yvan m'indiqua la cave et m'ordonna sèchement d'aller chercher une bouteille de vin et des steaks dans le congélateur. Je descendis l'escalier et ouvrit la porte. Là se trouvait un petit cellier. Je me saisis des steaks et de la bouteille qu'il m'avait dit d'aller chercher et je vis qu'une autre porte se trouvait dans le fond de la pièce. J'étais assez curieux et je l'ouvrit. Ma stupéfaction fut grande. Derrière la porte se trouvait un pièce voutée avec une croix de Saint-André, un carcan d'une drôle de forme ainsi que des dizaines de fouets, cravaches et objets de toutes sortes. Je refermais la porte et remontais vivement. Je savais qu'Yvan pratiquait le SM mais j'ignorais qu'il fut aussi bien équipé ! Tout cela plus le froid qui régnait dans la maison me fit frissonner.
Je fis cuire les steaks et préparai une salade que nous avions rapporté. Les trois autres étaient confortablement installés au salon devant un feu de cheminée et sirotaient un apéritif. Yvan aimait le whisky et le bon et il adorait épater ses invités en lui en offrant. A aucun moment il ne me suggéra de se joindre à eux. Nous dînâmes et je me rendis compte que la maison commençait à se réchauffer tout à fait correctement. Je demandais donc à mon seigneur et maître l'autorisation d'ôter mon pull. Cette attitude soumise sembla amuser beaucoup Jean-Christophe et Laurent.
Yvan me regarda d'un air très glacial. J'ai eu soudain l'impression d'avoir fait ou dit quelque chose qu'il ne fallait pas. Je baissai les yeux. Il commença à sourire. Il proposa à ses potes de leur faire visiter la maison. Je me suis tout de suite douté que son attitude cachait quelque chose. Nous nous sommes levés. J'ai débarrassé les assiettes et je les ai mises dans le lave-vaisselle puis j'ai rejoint les autres à l'étage. Il y avait quatre chambres. La mienne était la plus petite. Jean-Christophe s'étonna que nous ne dormions pas ensemble. Yvan répondit que je devais rester à ma place et que je devais venir le matin le rejoindre. Nous redescendîmes et prîmes la direction de la cave. Je commençais à comprendre que j'allais sans doute assurer le spectacle vu la pièce que j'avais découvert. Je commençais à avoir à nouveau froid.
Yvan fit durer le plaisir en indiquant à Laurent les meilleures bouteilles de sa cave. Jean-Christophe semblait s'ennuyer, il n'avait pas bu de bordeaux à table, je devinais que tout cela ne l'intéressait pas et que, s'il était venu avec nous, c'était parce qu'il espérait faire un plan à plusieurs d'ailleurs, il y avait fait des allusions à peine voilées à table. Laurent tendis la perche à Yvan en lui demandant ce qu'il y avait derrière la seconde porte de la cave. Je n'étais pas dupe, il était déjà venu à de nombreuses reprises et il savait très bien ce qui se cachait là. Par la suite, je me suis rendu compte que Laurent ne pratiquait pas vraiment le SM mais il adorait mater.
Yannick ouvrit la porte. Jean-Christophe eut l'air ébahi mais Laurent connaissait manifestement l'endroit malgré ses efforts pour le cacher. Nous entrâmes dans la pièce.
- Voici mon terrain de jeu !
- Ouah - s'exclama Jean-Christophe - Y'a du matos ! Tu te sers de tout ?
- Ouais mais je ne suis pas venu depuis le début de l'été. Je n'avais pas de soumis à utiliser.
Il me regarda d'un air mauvais et m'ordonna de me déshabiller sans autre forme de procès. Je m'exécutais sans discuter. Je retirai mon sweat shirt, mes baskets, mon jean et je me retrouvais en calbut et chaussettes devant les trois salauds qui me regardaient d'un air excité et goguenard. Je tremblais un peu. Je me demandais ce qui allait m'arriver. Laurent était en train d'allumer de grosses bougies et de baisser les lumières. J'avalais ma salive.
- A poil j'ai dit ! Hurla Yannick.
En tremblant, j'ôtais mon slip et mes chaussettes. Il expliqua à ses potes, qu'il avait tout construit lui-même et surtout l'espèce de chevalet qu'il allait utiliser, que le carcan devait enfermer les pieds pendant que les lanières retenaient le corps pendant la punition.
Je dus prendre place. Un trou avait été prévu pour que le sexe du puni ne soit pas collé contre son ventre. Yvan et Laurent fixèrent le carcan sur me pieds et serrèrent les lanières autour de mon corps et de mes bras. J'étais prêt à recevoir la correction que mon maître avait prévu pour moi.
Je ne brillais pas. J'étais attaché comme un condamné médiéval se préparant à la question. Les trois salopards allaient assister à ma punition et j'étais sûr que ça allait leur plaire.
Yvan se saisit d'une espèce de fouet plat avec trois lanières. Laurent se cala dans un fauteuil. J'avais peur. J'aurais presque pissé dans le trou mais je me retenais car j'avais vraiment peur que ça soit pire si je me retrouvais en faute. Yvan m'expliqua que j'allais devoir prendre dix coups pour commencer et qu'il fallait que je les compte. "Un, deux, trois... "je soufflais et gémissais à chaque coup. Je sentais ma peau se contracter et chauffer. J'appréhendais chaque nouveau coup terriblement. Je pouvais voir l'oeil excité de Laurent et entendre les commentaires de Jean-Christophe :
- Putain, l'état de son cul ! S'exclama-t-il après le quinzième coup.
Je dus bien prendre les vingt et les compter. J'étais endolori de partout et l'humiliation était extrême. J'avais certes déjà été puni mais jamais devant témoin et en plus, là, je n'avais rien fait pour le mériter.
Yvan tendis la lanière à Jean-Christophe et lui proposa de continuer. Il ne se fit pas prier et mes fesses furent mordues par des coups rapprochés. Je hurlais. Les larmes coulaient sur mes joues malgré moi.
J'avais l'impression que mon cul se déchirait sous les coups de lanières du jeune salaud. Il était à peine plus âgé que moi et, dans d'autres circonstances, il aurait pu être à ma place. Je suppliais Yvan et je suis certain que ça le faisait bander. Au bout d'un temps qui me parut interminable, il ordonna à Jean-Christophe d'arrêter. Je soufflais, pleurais, j'étais en sueur. La douleur de mes fesses était intense. J'avais l'impression d'être en sang alors que j'allais m'en tirer avec un simple bleu le lendemain.
Yvan se leva et vint me détacher.
Monté dans ma chambre, j'essuyai mes larmes. Je goût du sperme et la douleur que je ressentais m'excita et je me masturbai avec énergie jusqu'à éjaculer dans un mouchoir.
Nous partîmes donc le vendredi soir dans la voiture d'Yvan. Les deux copains devant et Jean-Christophe et moi à l'arrière. Je ne participais pas à la conversation sauf si Yvan m'interrogeait (ce qui n'arrivait pas très souvent). J'étais surpris de voir que Jean-Christophe, que j'avais déjà vu une ou deux fois mais peu entendu, parlait assez facilement. Il semblait à l'aise avec les deux compères.
Nous fîmes la route dans une ambiance affable mais j'étais très intimidé par l'aisance des trois autres. Il faut vous rappeler qu'à l'époque, j'étais très jeune et la relation que j'entretenais avec Yvan n'était guère propice au développement de ma confiance en moi.
La maison était très isolée. C'était une ancienne ferme qui comportait un étage où se trouvaient les chambres. Elle était glacée et Yvan se précipita pour allumer la chaudière. La rénovation avait du coûter une fortune car tout dans la maison était ultra moderne y compris la cuisine. Yvan m'indiqua la cave et m'ordonna sèchement d'aller chercher une bouteille de vin et des steaks dans le congélateur. Je descendis l'escalier et ouvrit la porte. Là se trouvait un petit cellier. Je me saisis des steaks et de la bouteille qu'il m'avait dit d'aller chercher et je vis qu'une autre porte se trouvait dans le fond de la pièce. J'étais assez curieux et je l'ouvrit. Ma stupéfaction fut grande. Derrière la porte se trouvait un pièce voutée avec une croix de Saint-André, un carcan d'une drôle de forme ainsi que des dizaines de fouets, cravaches et objets de toutes sortes. Je refermais la porte et remontais vivement. Je savais qu'Yvan pratiquait le SM mais j'ignorais qu'il fut aussi bien équipé ! Tout cela plus le froid qui régnait dans la maison me fit frissonner.
Je fis cuire les steaks et préparai une salade que nous avions rapporté. Les trois autres étaient confortablement installés au salon devant un feu de cheminée et sirotaient un apéritif. Yvan aimait le whisky et le bon et il adorait épater ses invités en lui en offrant. A aucun moment il ne me suggéra de se joindre à eux. Nous dînâmes et je me rendis compte que la maison commençait à se réchauffer tout à fait correctement. Je demandais donc à mon seigneur et maître l'autorisation d'ôter mon pull. Cette attitude soumise sembla amuser beaucoup Jean-Christophe et Laurent.
Yvan me regarda d'un air très glacial. J'ai eu soudain l'impression d'avoir fait ou dit quelque chose qu'il ne fallait pas. Je baissai les yeux. Il commença à sourire. Il proposa à ses potes de leur faire visiter la maison. Je me suis tout de suite douté que son attitude cachait quelque chose. Nous nous sommes levés. J'ai débarrassé les assiettes et je les ai mises dans le lave-vaisselle puis j'ai rejoint les autres à l'étage. Il y avait quatre chambres. La mienne était la plus petite. Jean-Christophe s'étonna que nous ne dormions pas ensemble. Yvan répondit que je devais rester à ma place et que je devais venir le matin le rejoindre. Nous redescendîmes et prîmes la direction de la cave. Je commençais à comprendre que j'allais sans doute assurer le spectacle vu la pièce que j'avais découvert. Je commençais à avoir à nouveau froid.
Yvan fit durer le plaisir en indiquant à Laurent les meilleures bouteilles de sa cave. Jean-Christophe semblait s'ennuyer, il n'avait pas bu de bordeaux à table, je devinais que tout cela ne l'intéressait pas et que, s'il était venu avec nous, c'était parce qu'il espérait faire un plan à plusieurs d'ailleurs, il y avait fait des allusions à peine voilées à table. Laurent tendis la perche à Yvan en lui demandant ce qu'il y avait derrière la seconde porte de la cave. Je n'étais pas dupe, il était déjà venu à de nombreuses reprises et il savait très bien ce qui se cachait là. Par la suite, je me suis rendu compte que Laurent ne pratiquait pas vraiment le SM mais il adorait mater.
Yannick ouvrit la porte. Jean-Christophe eut l'air ébahi mais Laurent connaissait manifestement l'endroit malgré ses efforts pour le cacher. Nous entrâmes dans la pièce.
- Voici mon terrain de jeu !
- Ouah - s'exclama Jean-Christophe - Y'a du matos ! Tu te sers de tout ?
- Ouais mais je ne suis pas venu depuis le début de l'été. Je n'avais pas de soumis à utiliser.
Il me regarda d'un air mauvais et m'ordonna de me déshabiller sans autre forme de procès. Je m'exécutais sans discuter. Je retirai mon sweat shirt, mes baskets, mon jean et je me retrouvais en calbut et chaussettes devant les trois salauds qui me regardaient d'un air excité et goguenard. Je tremblais un peu. Je me demandais ce qui allait m'arriver. Laurent était en train d'allumer de grosses bougies et de baisser les lumières. J'avalais ma salive.
- A poil j'ai dit ! Hurla Yannick.
En tremblant, j'ôtais mon slip et mes chaussettes. Il expliqua à ses potes, qu'il avait tout construit lui-même et surtout l'espèce de chevalet qu'il allait utiliser, que le carcan devait enfermer les pieds pendant que les lanières retenaient le corps pendant la punition.
Je dus prendre place. Un trou avait été prévu pour que le sexe du puni ne soit pas collé contre son ventre. Yvan et Laurent fixèrent le carcan sur me pieds et serrèrent les lanières autour de mon corps et de mes bras. J'étais prêt à recevoir la correction que mon maître avait prévu pour moi.
Je ne brillais pas. J'étais attaché comme un condamné médiéval se préparant à la question. Les trois salopards allaient assister à ma punition et j'étais sûr que ça allait leur plaire.
Yvan se saisit d'une espèce de fouet plat avec trois lanières. Laurent se cala dans un fauteuil. J'avais peur. J'aurais presque pissé dans le trou mais je me retenais car j'avais vraiment peur que ça soit pire si je me retrouvais en faute. Yvan m'expliqua que j'allais devoir prendre dix coups pour commencer et qu'il fallait que je les compte. "Un, deux, trois... "je soufflais et gémissais à chaque coup. Je sentais ma peau se contracter et chauffer. J'appréhendais chaque nouveau coup terriblement. Je pouvais voir l'oeil excité de Laurent et entendre les commentaires de Jean-Christophe :
- Putain, l'état de son cul ! S'exclama-t-il après le quinzième coup.
Je dus bien prendre les vingt et les compter. J'étais endolori de partout et l'humiliation était extrême. J'avais certes déjà été puni mais jamais devant témoin et en plus, là, je n'avais rien fait pour le mériter.
Yvan tendis la lanière à Jean-Christophe et lui proposa de continuer. Il ne se fit pas prier et mes fesses furent mordues par des coups rapprochés. Je hurlais. Les larmes coulaient sur mes joues malgré moi.
J'avais l'impression que mon cul se déchirait sous les coups de lanières du jeune salaud. Il était à peine plus âgé que moi et, dans d'autres circonstances, il aurait pu être à ma place. Je suppliais Yvan et je suis certain que ça le faisait bander. Au bout d'un temps qui me parut interminable, il ordonna à Jean-Christophe d'arrêter. Je soufflais, pleurais, j'étais en sueur. La douleur de mes fesses était intense. J'avais l'impression d'être en sang alors que j'allais m'en tirer avec un simple bleu le lendemain.
Yvan se leva et vint me détacher.
Il ouvrit la braguette de son jean et m'ordonna de le sucer. Jean-Christophe lui demanda l'autorisation de se faire sucer aussi et il lui fit signe de nous rejoindre. Je leur vidai donc les couilles dans ma bouche et sur mon visage (pour Jean-Christophe). Yvan m'envoya me coucher et leur servit un un autre whisky.
Monté dans ma chambre, j'essuyai mes larmes. Je goût du sperme et la douleur que je ressentais m'excita et je me masturbai avec énergie jusqu'à éjaculer dans un mouchoir.
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