La semaine s'écoulait avec toujours le même rituel. Robert me baisait le matin et sinon j'avais quartier libre toute la journée. Je me baladais, allais au cinéma, boire un café avec des copains. Le jour de Noël, il me laissa seul pour aller déjeuner avec sa famille. Finalement, j'aimais assez cette période même si Yvan me manquait. J'ai très rapidement cessé de trouver Robert excitant. Il était résolument trop vieux pour moi et même s'il était très doué pour le sexe, une fois l'attrait de la nouveauté passé, j'attendais que le plan cul du matin passe en essayant de penser à autre chose.
Je ne sais s'il s'en est rendu compte mais dès le lendemain de Noël, son attitude a changé. Il a commencé à exiger plus de choses de moi, notamment de dormir avec lui. Je m'exécutais de bonne grâce même si je supportais assez mal qu'il me tripote sans arrêt. Il avait de plus en plus envie et j'avais sa bite dans la bouche à tout bout de champ. Il me pinçait cruellement les tétons alors qu'il me baisait et se montrait de plus en plus désagréable au quotidien.
Le surlendemain, il décréta que j'étais rentré trop tard et m'ordonna de baisser mon jean et mon slip et de venir me mettre en travers de mes genoux. Il commença à me fesser comme un gosse pris en faute. Son air mauvais me faisait un peu peur car je
ne comprenais pas son attitude. Ses mains frappaient mes fesses durement. Tout en lui avait changé. Tout d'abord, il n'était pas en costume car il n'avait pas travaillé et ensuite, sa bienveillance à mon égard paraissait s'être envolée tout à coup. Après la séance, il m'obligea à le sucer et plus je résistais plus cela lui plaisait. Il éjacula sur mon visage et me tartina avec son sperme avant de m'envoyer me doucher d'un ton sec.
Nous avions passé la nuit ensemble et j'avais de plus en plus de mal à supporter qu'il me touche. Le lendemain, je lui demandai l'autorisation d'aller à la bibliothèque afin de réviser pour mes partiels de janvier. Après la petite séance de baise matinale, il accepta et proposa même de me déposer avant d'aller travailler. Toute la journée, j'eus du mal à me concentrer tant j'appréhendais le retour le soir.
Sur le coup des 17 h, je repris le métro pour rentrer avec une peur incommensurable. J'arrivais à l'appartement une demi-heure plus tard. Là, Robert m'attendait avec deux autres mecs bcbg en buvant un whisky. Il était à nouveau dur lorsque j'entrai. Il se leva et m'envoya une gifle en plein visage sous le regard goguenard des deux autres. Je compris ce qu'il voulait lorsqu'il me regarda d'un air mauvais et qu'il me gueula :
- A poil petit bâtard et vient d'occuper de mes invités !
Les deux autres rigolaient et se tripotaient. Je me déshabillais comme je pouvais et vint me mettre à genoux entre eux pendant qu'ils s'embrassaient.
L'un d'eux était particulièrement séduisant et je commençais à me sentir excité tout en les suçant à tour de rôle. Robert me donnait des ordres : "Passe ta langue", "Mieux que ça", "t'as envie d'être puni ?". Les deux autres s'embrassaient, se tripotaient. sans me regarder. Robert vint se joindre à eux et déshabilla celui qui me plaisait. Il me gifla à nouveau et m'ordonna d'enlever leurs pompes. Je m'exécutais sans discuter. Il me relevèrent brutalement et me penchèrent sur le bureau d'Yvan. Robert commença à titiller mon anus en m'obligeant, en me tenant la tête, à sucer le mec qui me plaisait.
J'étais totalement offert et je le savais. Je trouvais la situation assez excitante mais je perdais complètement le contrôle de mon corps. Je vis un emballage de préservatif tomber au sol et je senti que l'un d'eux me pénétrait. J'essayais de me détendre le mieux possible pour ne pas avoir mal. J'entendis leur commentaires : "Putain quel cul", "défonce le bien", "tu la sens salope ?". Je gémissais mais la bite du beau mec m'empêchait un peu de respirer. C'était super inconfortable. Les coups de reins s'accentuaient et je gémissais de plus en plus. "Il aime ça ce petit con" dit Robert. "Allez, laisse-moi la place". Le beau mec me tenait par la nuque avec une main et immobilisait un de mes poignets avec l'autre. Il éjacula bientôt sur mon visage tandis que les coups de reins de Robert me faisaient bouger. Le bois du bureau me faisait mal. L'autre type passa devant moi et m'enfonça sa bite qui sentait le latex dans la bouche. Le sperme de son pote qui était resté sur mon visage maculait les poils de son pubis. L'odeur était forte mais surtout je commençais à aimer les coups de bites de Robert. Le second mec éjacula à son tour sur mon visage et mon bourreau se retira pour jouir sur mon dos. Il m'envoya du sperme jusque dans les cheveux. J'éjaculai sur le sol quelques gouttes sans me toucher.
Lorsqu'il me lâcha, je me laissais tomber sur le tapis du salon.
- Allez, à la douche ! dit le beau mec en me surveillant du coin de l'oeil en se rhabillant.
Je filai dans la salle de bain. Lorsque je revins, Robert s'était changé et les deux autres étaient partis.
- Habille-toi et sers-moi un whisky.
- Oui, Robert.
- Ca t'a plu ?
- C'était intense.
- Tu leur a donné du plaisir et à moi aussi. Tu es une vraie petite pute. Tu devras être puni tu le sais ?
- Oui Robert. Répondis-je en baissant les yeux.
Il me regarda en buvant son whisky et commença à faire l'inventaire des objets de la commode. Il en sortit une planchette et m'ordonna de venir sur ces genoux. J'avais à peine eu le temps de remettre mon slip mais j'obéis.
Nous avions passé la nuit ensemble et j'avais de plus en plus de mal à supporter qu'il me touche. Le lendemain, je lui demandai l'autorisation d'aller à la bibliothèque afin de réviser pour mes partiels de janvier. Après la petite séance de baise matinale, il accepta et proposa même de me déposer avant d'aller travailler. Toute la journée, j'eus du mal à me concentrer tant j'appréhendais le retour le soir.
Sur le coup des 17 h, je repris le métro pour rentrer avec une peur incommensurable. J'arrivais à l'appartement une demi-heure plus tard. Là, Robert m'attendait avec deux autres mecs bcbg en buvant un whisky. Il était à nouveau dur lorsque j'entrai. Il se leva et m'envoya une gifle en plein visage sous le regard goguenard des deux autres. Je compris ce qu'il voulait lorsqu'il me regarda d'un air mauvais et qu'il me gueula :
- A poil petit bâtard et vient d'occuper de mes invités !
Les deux autres rigolaient et se tripotaient. Je me déshabillais comme je pouvais et vint me mettre à genoux entre eux pendant qu'ils s'embrassaient.
L'un d'eux était particulièrement séduisant et je commençais à me sentir excité tout en les suçant à tour de rôle. Robert me donnait des ordres : "Passe ta langue", "Mieux que ça", "t'as envie d'être puni ?". Les deux autres s'embrassaient, se tripotaient. sans me regarder. Robert vint se joindre à eux et déshabilla celui qui me plaisait. Il me gifla à nouveau et m'ordonna d'enlever leurs pompes. Je m'exécutais sans discuter. Il me relevèrent brutalement et me penchèrent sur le bureau d'Yvan. Robert commença à titiller mon anus en m'obligeant, en me tenant la tête, à sucer le mec qui me plaisait.
J'étais totalement offert et je le savais. Je trouvais la situation assez excitante mais je perdais complètement le contrôle de mon corps. Je vis un emballage de préservatif tomber au sol et je senti que l'un d'eux me pénétrait. J'essayais de me détendre le mieux possible pour ne pas avoir mal. J'entendis leur commentaires : "Putain quel cul", "défonce le bien", "tu la sens salope ?". Je gémissais mais la bite du beau mec m'empêchait un peu de respirer. C'était super inconfortable. Les coups de reins s'accentuaient et je gémissais de plus en plus. "Il aime ça ce petit con" dit Robert. "Allez, laisse-moi la place". Le beau mec me tenait par la nuque avec une main et immobilisait un de mes poignets avec l'autre. Il éjacula bientôt sur mon visage tandis que les coups de reins de Robert me faisaient bouger. Le bois du bureau me faisait mal. L'autre type passa devant moi et m'enfonça sa bite qui sentait le latex dans la bouche. Le sperme de son pote qui était resté sur mon visage maculait les poils de son pubis. L'odeur était forte mais surtout je commençais à aimer les coups de bites de Robert. Le second mec éjacula à son tour sur mon visage et mon bourreau se retira pour jouir sur mon dos. Il m'envoya du sperme jusque dans les cheveux. J'éjaculai sur le sol quelques gouttes sans me toucher.
Lorsqu'il me lâcha, je me laissais tomber sur le tapis du salon.
- Allez, à la douche ! dit le beau mec en me surveillant du coin de l'oeil en se rhabillant.
Je filai dans la salle de bain. Lorsque je revins, Robert s'était changé et les deux autres étaient partis.
- Habille-toi et sers-moi un whisky.
- Oui, Robert.
- Ca t'a plu ?
- C'était intense.
- Tu leur a donné du plaisir et à moi aussi. Tu es une vraie petite pute. Tu devras être puni tu le sais ?
- Oui Robert. Répondis-je en baissant les yeux.
Il me regarda en buvant son whisky et commença à faire l'inventaire des objets de la commode. Il en sortit une planchette et m'ordonna de venir sur ces genoux. J'avais à peine eu le temps de remettre mon slip mais j'obéis.
Il me bloqua avec son avant-bras et commença à me frapper durement d'entrée. Ma peau n'avait pas eu le temps de s'habituer et je me tortillais de douleur et de gémir à chaque coup de planchette. C'était très dur à supporter. Au bout du dixième ou douzième coup, j'avais l'impression d'avoir les fesses si irritées que je ne pourrais plus m'asseoir. Il continua encore pendant de longues minutes, ponctuant ses coups de "bâtard", "salope", "putain"...
Lorsqu'il finit par me lâcher, il m'ordonna de lui servir son dîner et m'envoya dans ma chambre. J'étais soulagé qu'il n'ait plus envie de baiser car je n'en pouvais plus et je n'avais pas envie de dormir avec lui. Le lendemain, Yvan était de retour. Il lui raconta par le menu le plan cul de la veille et lui affirma que j'avais pris mon pied. Il lui dit en rigolant qu'il y avait de l'argent à se faire avec moi. Par la suite, je n'ai que très rarement revu Robert mais à chaque fois, je ressentais un mélange de plaisir et d'appréhension.
Pour la petite histoire, je reçus une autre fessée par Yvan le soir même. Il me reprochais d'avoir pris mon pied sans avoir demandé l'autorisation de mon gardien.
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