Je vous ai déjà parlé de Jean-Christophe, le petit ami de Laurent à cette époque et qui s'était déjà bien lâché sur moi lorsque nous étions allés dans la maison de campagne d'Yvan quelques mois auparavant. Je ne l'avais pas beaucoup revu jusqu'à ce matin des vacances de février. Lorsque je n'avais pas cours, j'avais un rituel : après avoir satisfait mon Master qui me "nourrissait" avec son sperme tous les matins, je prenais mon petit déj et je me préparai pour aller étudier soit chez mes parents soit à la bibliothèque de la fac d'histoire. Si j'envisageais de boire un café avec un copain ou un des membres de ma famille qui vivait encore dans la région, je demandais à Yvan l'autorisation mais c'était rare. Ce jour-là, j'avais prévu d'aller dans l'appartement vide de mes parents. J'étais presque prêt lorsque l'on sonna à la porte. Ma première envie fut de ne pas répondre mais on insista aussi je me décidai à aller ouvrir.
Quelle ne fut pas ma surprise en voyant que mon visiteur n'était autre que Jean-Christophe. Il faisait encore plus petite frappe que d'habitude avec ses cheveux hyper courts, son jean moulant et son bombers. Je dois avouer que je le trouvais séduisant. Je lui demandai ce qu'il faisait là.
- Yvan m'a proposé de passer pour que je puisse te baiser. Il a dit que tu devais faire tout ce que je t'ordonnerai. J'avais envie de me vider les couilles et on baise pas beaucoup avec Laurent.
Je savais pertinemment qu'il me disait la vérité aussi ne discutais-je pas et le laissais-je entrer. Je n'avais pas vraiment envie de sexe mais bon, s'il fallait en passer par là pour satisfaire Yvan, j'allais obéir. Jean-Christophe était loin d'être laid et j'aurais pu tomber pire. Je lui proposai un café qu'il accepta en prenant ses aises dans le salon. Il avait un côté arrogant et très désagréable mais vraiment, ce jour-là, je le trouvais attirant.
Je m'efforçais d'être agréable même si je n'avais pas forcément envie de passer à la casserole à ce moment-là. Je me dis que c'était pour Yvan et que j'allais être bien obéissant. Jean-Christophe me regardait des pieds à la tête comme on reluquerait un esclave sur le marché que l'on s'apprête à acheter. Il m'ordonna de me déshabiller ce que je fis sans discuter. Au bout de quelques secondes j'étais à genoux devant lui, nu comme un verre et les mains sur la tête. Il m'ordonna de lui ôter ses baskets et ses chaussettes et de "nettoyer ses panards". Je n'avais pas du tout envie de ce genre de délire mais je n'osais pas résister. Je fis donc ce qu'il voulait. Il portait des chaussettes de tennis blanches et sans me laisser le temps de les lui enlever, il enfonça un de ses pieds dans ma bouche. En même temps, il enleva son pull et son tee shirt. Il était beaucoup plus fin que les hommes de l'entourage d'Yvan avec lesquels j'avais eu des relations sexuelles mais j'aimais bien son physique. J'essayais de ne pas l'énerver car je voulais me contenter de la baise. Je n'avais pas envie qu'il me punisse. Je savais qu'il en était capable.
J'ai eu à peine le temps de penser cela qu'il bondit du canapé comme un léopard et me jeta par terre. Il me gifla. "T'es une pute. Dis que t'es une pute !". "Tu vas morfler !". Il m'attrapa par les cheveux et me traîna jusqu'à ma chambre. Manifestement, Yvan avait tout prévu car il n'hésitait pas. Il avait apporté son sac à dos avec lui et je compris que j'allais être puni. Il me jeta sur le lit. Il n'était pas vraiment costaud mais avait une force peu commune. Il sortit de son sac une badine en bois et m'immobilisa d'une main.
Il commença à me frapper en se tenant au dessus de moi. Il n'y allait pas de main morte. "Arrête de bouger petite pute ou je t'éclate la gueule !". Il tapait fort, je le suppliai d'arrêter mais il redoubla de violence. Il me faisait horriblement mal à chaque coup mais je prenais sur moi pour ne pas broncher. J'avais vraiment peur de lui.
La punition continua de plus belle. J'avais vraiment mal. Je gémissais à chaque coup. "Tu m'excites, salope !". Il continuait encore et encore. C'était terrible. Je me tortillais comme une anguille. Je suppliai "Arrête, je n'en peux plus." mais ça le motivait encore plus et il recommençait à me frapper. "Yvan a dit que t'aimais ça !".
Mes fesses étaient dans un état terrible, j'étais tombé du lit et il continuait de me frapper alors que j'étais sur le sol. Soudain, il laissa tomber sa badine et ouvrit les boutons de braguette de son jean. "Tu vas y passer ! A quatre pattes !". Tremblant, je lui obéis et m'installai à quatre pattes sur le lit, cambrant mon cul endolori du mieux que je pouvais. Il enfila une capote et jeta l'emballage sur le sol. Il cracha dans mon cul et entra d'un coup sec m'arrachant un cri que j'étouffai en enfouissant ma tête dans la couette. Je n'aime pas qu'on rentre brutalement en moi. J'avais mal et je cherchais malgré moi à me dégager puis, en quelques instants, heureusement, la douleur disparut et je pu le laisser me pilonner. Ses coups de reins étaient secs et saccadés. Je commençais à bander dur. Il attrapa ma queue et me branla en même temps. "Je savais que t'aimais ça". Il me faisait mal tant il me serrait le pénis. Il éjacula dans la capote et m'obligea à faire de même sur la couette puis il me repoussa en avant et je tombais à plat ventre sur mon sperme.
Il jeta la capote pleine sur le sol et me dit d'un air mauvais : "maintenant t'as plus qu'à nettoyer". Il enfila son slip, attrapa son jean et s'en fut dans le salon pour terminer de s'habiller me laissant là, avec les fesses en compote et baignant dans mon sperme. Quelques secondes plus tard, je l'entendis sortir de l'appartement.
Je me levais tant bien que mal et nettoyais toute la chambre. Je rangeais le salon. Je dus même changer mes draps. Le soir, Yvan rentra de bonne heure et m'interrogea :
- Alors, c'était bien avec Jean-Chris ?
- Il m'a fait un peu mal.
- Arrête de faire ta chochotte. Je lui avais dit d'y aller à fond. Je suis content de toi car il m'a dit qu'il avait pris son pied.
- Je crois oui.
- Allez, baisse ton fut et montre-moi tes fesses.
Je m'exécutais. J'avais le cul un peu rouge et bleu et encore chaud du matin. Yvan passa la main dessus et me gratifia d'un "c'est bien". Contre toute attente il me pris dans ses bras et m'embrassa avec une certaine douceur.
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