Après avoir satisfait les trois mâles, je me blottis contre Yvan pour dormir. Je pense qu'il aimait le côté petit clebs car il ne me repoussa pas mais me fit sucer son sexe jusqu'à ce qu'il éjacule à nouveau dans ma bouche. Le lendemain, je me levai à 5 h, je fis du café et du thé et je sortis les provisions prévues pour le petit déjeuner. Je pris sur moi d'aller voir comment allait Wilfrid. Il était si ravagé la veille que ça me bouleversait. Je trouvais le beau gosse prostré sur sa couchette. Les marques sur son corps étaient très visible même avec la faible lumière de la cave. Il avait été mis aux fer sans doute par Slavko après que nous soyons retournés dans nos chambres.
- Tu as pu dormir ?
- Oui, j'étais crevé. Il t'ont baisé ?
- Oui brièvement.
- Tu as vu, Slavko est très excitant.
- Oui mais les autres aussi.
- Tu es amoureux d'Yvan ?
- Comme un dingue.
- Vous vivez ensemble ?
- Oui et vous ?
- Non, Zlavko ne veut pas. J'aimerai bien pourtant. Je me sentirai vraiment une appartenance.
- Tu ne la sens pas ? Pourtant tu te dépasses pour lui.
- Oui mais vivre ensemble c'est autre chose.
J'entendis des pas et je sus que l'un des invités était levé. Je remontai dans la maison et commençai mon petit déjeuner. J'étais juste en boxer lorsque Christian arriva dans la cuisine. Il était nu, ensommeillé et me regarda à peine. Il se versa un bol de café puis me considéra d'un air vicieux :
- T'as vu, il tient le coup. A côté, tu es un petit joueur...
- Oui...
- T'inquiète, tu seras bientôt comme lui.
L'idée me fit frémir. Yvan suivi de Slavko entrèrent joyeusement dans la cuisine en discutant. Ils déjeunèrent solidement. Je restais un peu à l'écart. Yvan m'ordonna de descendre un plateau à Wilfrid et me dit de charger sur les tartines car il allait avoir besoin de prendre des forces. J'obtempérai.
Je le laissais manger rapidement et remontai le plateau. Il était plutôt content et manifestement, il avait faim. En haut, les trois autres plaisantaient entre eux. Slavko plaisantait sur la taille du sexe d'Yvan. Tous les trois étaient nus. Je demandai l'autorisation d'aller me doucher. Christian souligna qu'on tenait facilement à quatre dans la douche et nous y allâmes tous ensemble. La douche fut joyeuse et nous nous frottâmes l'un et l'autre, Yvan insistait sur mon trou ostensiblement ce qui fit bander Christian illico.
- Garde ton foutre, tu vas en avoir besoin tout à l'heure.
- T'as raison, mais il ne perd rien pour attendre.
Nous nous séchâmes et descendîmes, moi nu eux habillés un peu comme des militaires sans que ce soit aussi rigoureux. Ils allumèrent la lumière forte et Wilfrid eut l'air terrorisé.
- C'est l'heure de te laver, dit Slavko. Allez, à la douche.
Christian et Yvan le détachèrent et le traînèrent à demi dans la cour. Là un portique en bois se dressait. Je compris ce que les deux compères avaient bricolé la veille. Ils attachèrent leur victime et Slavko alluma un jet d'eau qui servait à arroser le jardin. "Dommage que tu n'ais pas de Karcher." Il commença à asperger le pauvre Wilfrid avec le maximum de pression. Il criait. L'eau semblait très froide et en dépit de la température déjà agréable, ça devait faire un choc. Ils le savonnèrent et le rincèrent à grands coups de seaux d'eau.
Il tremblait lorsque les deux lascars le détachèrent. Ils rigolaient en le séchant. La serviette rêche sur son corps abîmé devait lui faire mal. Il tremblait. Slavko le fit s'appuyer contre le mur une fois qu'il fut détaché et examina son dos et ses fesses.
Il décréta que ce n'était pas grand-chose et qu'ils pouvaient continuer de le punir dès maintenant. Il était à peine onze heure du matin et je frémis en pensant que la punition pouvait se prolonger jusqu'au soir. Yvan suggéra de continuer le supplice dehors mais Slavko avait déjà une idée. Il lui dit que la journée de plein air aurait lieu le lendemain car il formait un jeune dominateur et qu'il arriverait le lendemain matin. Le garçon s'appelait manifestement Mickaël et il aimait la torture au grand air. Je vis le pauvre Wilfrid frémir à nouveau. Manifestement, il connaissait le nouvel arrivant. Christian et Yvan ramenèrent donc leur victime à l'intérieur et le firent asseoir puis allonger sur une espèce de petit banc puis lui lièrent les mains et les pieds en maintenant ses jambes en l'air. Je compris qu'ils allaient soit continuer de le frapper sur les fesses soit lui introduire quelque chose dans l'anus. Ce fut la seconde solution. Yvan prit un petit flacon et commença à graisser le trou de Wilfrid.
- Pas trop de gel sinon ça sera trop facile.
- Oui mais il ne faut pas le déchirer sinon on ne pourra plus s'en servir.
Christian lui enfonça assez doucement un genre de gode en métal assez profondément. Le soumis gémissait. Il était totalement immobilisé. Il lui collèrent dans la bouche une espèce de baillon en métal. Chris lui ligatura les couilles assez serrées comme il me le faisait lorsque j'allais le voir chez lui. Je ne sais pas ce que ressentais Wilfrid mais cet exercice-là, je le trouvais douloureux et pas très excitant. Il ne bandait pas. Cà exaspéra Yvan qui m'ordonna de lui sucer la queue. Je me précipitai et la prenait délicatement dans ma bouche. Mon maître en profita pour enfoncer le gode un peu plus profondément en lui. Il gémit, bougea un peu et se prit une grande claque dans la figure par Yvan.
- Bronche pas ou ça va mal aller pour toi, c'est clair ?
Il fit un léger oui de la tête mais il commençait à étouffer en station couchée avec le baillon. Le banc se basculait alors les deux bourreaux le relevèrent et le mirent dans une position un peu debout. Le gode était encore dans son cul et Christian l'avait fixé par des lanières de cuir. Là, il bandait, plus besoin de le sucer pour le remettre à niveau. Les trois salopards remarquèrent que la salive du soumis commençait à se répandre sur son corps mais aussi par terre. Ils lui ôtèrent son baillon et commencèrent à se faire sucer à tour de rôle. Wilfrid faisait ça bien. Malgré l'épuisement et la douleur, malgré la position inconfortable et le gode qui semblait lui faire mal, il les faisait bander. Christian éjacula sur son visage, Yvan sur son corps et Slavko dans sa bouche. Ils le détachèrent, lui autorisèrent un pantalon de survêtement et un tee shirt puis le remirent en cellule en se disant qu'il était temps de déjeuner voire d'aller piquer une tête dans la piscine. Comme le matin, je dus lui apporter un plateau avec des sandwichs. Il commençait à être très très fatigué et je le lui dis.
- Tu devrais demander une pause. Tu n'en peux plus.
- Je sais mais si je fais ça, la punition sera encore plus terrible.
- Qui est Mickaël ?
- Un sale petit con vicieux dont mon Master s'est entiché.
- Il arrive demain.
- Ouais avec sa moto et sa sale gueule de frimeur.
Je compris que le sujet était un peu tabou et n'insistait pas.
Je remontai sur la terrasse et les trois autres étaient à poil dans la piscine. Yvan m'ordonna de les rejoindre. Je m'exécutai. J'adore l'eau et ce fut un moment de détente mais je ne pouvais m'empêcher de penser à Wilfrid, tout seul dans sa cave. Nous avons déjeuné et passé une partie de l'après-midi sur la terrasse. Yvan me donna l'autorisation d'aller tenir compagnie au "condamné" comme ils disaient. Je descendis donc à la cave pendant que ces messieurs se prélassaient au soleil. Yvan dormait du moins je le croyais. J'allais remonter sans le réveiller lorsqu'il m'interpella.
- Attends, reste un peu.
- Oui, j'ai l'autorisation.
- Tu devrais quitter Yvan, ce genre de relation c'est une drogue.
- Je ne peux pas et je pense que ça me convient.
- Tu es vraiment amoureux ou vraiment tu aimes qu'on te tape dessus.
- J'aime lui obéir.
La conversation à bâtons rompus dura un certain temps. Nous étions de part et d'autre de la porte et pourtant, il y avait chez ce type quelque chose qui me fascinait. J'avais envie de passer mes doigts sur les meurtrissures de son corps.
Vers 17 heures je pense, les bourreaux revinrent. Yvan était vraiment habillé comme tel. Il était torse nu avec une cagoule et les deux autres en uniformes militaires. Ils tirèrent Wilfrid de sa cellule sans prêter attention à moi. Ils l'attachèrent le buste penché et le baillonnèrent encore une fois. Ses jambes étaient retenues par des cordes et ses chevilles aussi. Il allait morfler encore. Je ne comprenais pas pourquoi ils n'utilisaient pas le chevalet mais je sus par la suite que mon Maître voulait le vendre à Jacques que nous avions connu au Keller donc il ne fallait pas prendre le risque de l'abîmer.
- Tu vas recevoir encore la cane. Tu sais qu'on a dit 15 coups par jour.
- Oui Maître.
- Si tu n'arrives pas à supporter, on arrête et demain on recommence 15 coups plus dix plus les 15 de demain alors je te conseille de serrer les dents et de décontracter tes fesses.
- Oui Maître.
- Bourreau c'est à toi.
Yvan choisit une badine plus grosse que celle de la veille. Je l'avais déjà eue et je savais combien elle faisait mal. Il commença. Un, deux, trois, quatre, cinq, six... Wilfrid faillit lui dire stop (le code prévu à l'avance). Slavko lui fit signe de faire une pause et s'approcha du jeune homme.
- On arrête si tu veux mais demain tu ne pourras plus reculer. C'est comme tu veux.
- Non, on continue, répondit-il en sanglots.
Sept, huit, neuf... il criait franchement maintenant. Slavko intervint à nouveau :
- Tu as mal ?
- Heeeee... Oui Maître.
- Tu aimes avoir mal pour ton Maître.
- Oui Maître.
- On continue.
Un temps d'hésitation et :
- Oui Maître.
Yvan repris de plus belle. Les fesses de Wilfrid n'étaient plus rouges, mais bleues et le sang commençait à perler le long de certaines marques. Ca m'épouvanta car je savais que ce genre de correction allait m'arriver un jour ou l'autre.
Dix, onze, douze, treize, quatorze. Je comptais mentalement pour savoir quand le supplice allait s'arrêter. Le quinzième coup fut terrible. On supporte moins bien quand on sait que c'est le dernier. Il hurla et resta immobile en pleurs tandis qu'Yvan nettoyait la badine qui avait pris un peu de sang. Les fesses de Wilfrid étaient littéralement déchirées. Je n'avais jamais rien vu de tel. Il pleurait. Slavko se mit devant lui et ouvrit sa braguette. Son sexe entra dans la bouche du supplicié et il s'appliqua à le satisfaire.
- On va te baiser maintenant. Ca va te récompenser de ton courage.
- Oui Maître, merci Maître.
Je n'en revenais pas de son endurance. Il y a longtemps que j'aurai dit stop à sa place et que j'aurais essayé d'infléchir Yvan. Ce dernier avait ôté sa cagoule et frottait son sexe contre mon visage tandis que, capoté, Christian était dans l'anus de Wilfrid. Il semblait ne plus rien sentir pourtant il poussait de temps à autre de petits gémissements. Le pubis de Christian était maculé d'un peu de sang et la sueur du corps du soumis l'inondait. Il ne pleurait plus, il subissait en essayant de prendre son pied j'imagine. Christian éjacula dans la capote et se retira laissant sa place à Yvan. Celui-ci fut plus doux et s'efforça de donner du plaisir à ce partenaire en si mauvais état. Il ne lâchait pas la queue de son mec et lorsqu'il le pénétra à son tour, il eut comme un soupir de satisfaction. Yvan éjacula dans ma bouche et me dit doucement "avale et nettoie". Slavko continua de baiser son soumis très brutalement jusqu'à ce qu'il se contracte et éjacule en lui.
Ils le laissèrent attaché, les fesses dégoulinantes de sperme, le visage bouffi par les larmes et nous remontâmes dans la maison.
- On viendra te détacher plus tard.
Je préparai le dîner et Slavko vint détacher Wilfrid lorsque je lui apportait son plateau. Je dus remonter avec lui et le laisser manger. Je viendrais chercher le plateau plus tard. Les trois salauds étaient fatigués et désiraient se coucher de bonne heure. Yvan suggéra que je sois enfermé dans la cellule avec Wilfrid. Slavko trouva l'idée géniale. On posa un matelas sur le sol et je dus me coucher là pour la seconde nuit du week end. Je ne dormis pratiquement pas. Je ne discutai pas non plus avec mon co-détenu jusqu'au lendemain matin.
Je le laissais manger rapidement et remontai le plateau. Il était plutôt content et manifestement, il avait faim. En haut, les trois autres plaisantaient entre eux. Slavko plaisantait sur la taille du sexe d'Yvan. Tous les trois étaient nus. Je demandai l'autorisation d'aller me doucher. Christian souligna qu'on tenait facilement à quatre dans la douche et nous y allâmes tous ensemble. La douche fut joyeuse et nous nous frottâmes l'un et l'autre, Yvan insistait sur mon trou ostensiblement ce qui fit bander Christian illico.
- Garde ton foutre, tu vas en avoir besoin tout à l'heure.
- T'as raison, mais il ne perd rien pour attendre.
Nous nous séchâmes et descendîmes, moi nu eux habillés un peu comme des militaires sans que ce soit aussi rigoureux. Ils allumèrent la lumière forte et Wilfrid eut l'air terrorisé.
- C'est l'heure de te laver, dit Slavko. Allez, à la douche.
Christian et Yvan le détachèrent et le traînèrent à demi dans la cour. Là un portique en bois se dressait. Je compris ce que les deux compères avaient bricolé la veille. Ils attachèrent leur victime et Slavko alluma un jet d'eau qui servait à arroser le jardin. "Dommage que tu n'ais pas de Karcher." Il commença à asperger le pauvre Wilfrid avec le maximum de pression. Il criait. L'eau semblait très froide et en dépit de la température déjà agréable, ça devait faire un choc. Ils le savonnèrent et le rincèrent à grands coups de seaux d'eau.
Il tremblait lorsque les deux lascars le détachèrent. Ils rigolaient en le séchant. La serviette rêche sur son corps abîmé devait lui faire mal. Il tremblait. Slavko le fit s'appuyer contre le mur une fois qu'il fut détaché et examina son dos et ses fesses.
Il décréta que ce n'était pas grand-chose et qu'ils pouvaient continuer de le punir dès maintenant. Il était à peine onze heure du matin et je frémis en pensant que la punition pouvait se prolonger jusqu'au soir. Yvan suggéra de continuer le supplice dehors mais Slavko avait déjà une idée. Il lui dit que la journée de plein air aurait lieu le lendemain car il formait un jeune dominateur et qu'il arriverait le lendemain matin. Le garçon s'appelait manifestement Mickaël et il aimait la torture au grand air. Je vis le pauvre Wilfrid frémir à nouveau. Manifestement, il connaissait le nouvel arrivant. Christian et Yvan ramenèrent donc leur victime à l'intérieur et le firent asseoir puis allonger sur une espèce de petit banc puis lui lièrent les mains et les pieds en maintenant ses jambes en l'air. Je compris qu'ils allaient soit continuer de le frapper sur les fesses soit lui introduire quelque chose dans l'anus. Ce fut la seconde solution. Yvan prit un petit flacon et commença à graisser le trou de Wilfrid.
- Pas trop de gel sinon ça sera trop facile.
- Oui mais il ne faut pas le déchirer sinon on ne pourra plus s'en servir.
Christian lui enfonça assez doucement un genre de gode en métal assez profondément. Le soumis gémissait. Il était totalement immobilisé. Il lui collèrent dans la bouche une espèce de baillon en métal. Chris lui ligatura les couilles assez serrées comme il me le faisait lorsque j'allais le voir chez lui. Je ne sais pas ce que ressentais Wilfrid mais cet exercice-là, je le trouvais douloureux et pas très excitant. Il ne bandait pas. Cà exaspéra Yvan qui m'ordonna de lui sucer la queue. Je me précipitai et la prenait délicatement dans ma bouche. Mon maître en profita pour enfoncer le gode un peu plus profondément en lui. Il gémit, bougea un peu et se prit une grande claque dans la figure par Yvan.
- Bronche pas ou ça va mal aller pour toi, c'est clair ?
Il fit un léger oui de la tête mais il commençait à étouffer en station couchée avec le baillon. Le banc se basculait alors les deux bourreaux le relevèrent et le mirent dans une position un peu debout. Le gode était encore dans son cul et Christian l'avait fixé par des lanières de cuir. Là, il bandait, plus besoin de le sucer pour le remettre à niveau. Les trois salopards remarquèrent que la salive du soumis commençait à se répandre sur son corps mais aussi par terre. Ils lui ôtèrent son baillon et commencèrent à se faire sucer à tour de rôle. Wilfrid faisait ça bien. Malgré l'épuisement et la douleur, malgré la position inconfortable et le gode qui semblait lui faire mal, il les faisait bander. Christian éjacula sur son visage, Yvan sur son corps et Slavko dans sa bouche. Ils le détachèrent, lui autorisèrent un pantalon de survêtement et un tee shirt puis le remirent en cellule en se disant qu'il était temps de déjeuner voire d'aller piquer une tête dans la piscine. Comme le matin, je dus lui apporter un plateau avec des sandwichs. Il commençait à être très très fatigué et je le lui dis.
- Tu devrais demander une pause. Tu n'en peux plus.
- Je sais mais si je fais ça, la punition sera encore plus terrible.
- Qui est Mickaël ?
- Un sale petit con vicieux dont mon Master s'est entiché.
- Il arrive demain.
- Ouais avec sa moto et sa sale gueule de frimeur.
Je compris que le sujet était un peu tabou et n'insistait pas.
Je remontai sur la terrasse et les trois autres étaient à poil dans la piscine. Yvan m'ordonna de les rejoindre. Je m'exécutai. J'adore l'eau et ce fut un moment de détente mais je ne pouvais m'empêcher de penser à Wilfrid, tout seul dans sa cave. Nous avons déjeuné et passé une partie de l'après-midi sur la terrasse. Yvan me donna l'autorisation d'aller tenir compagnie au "condamné" comme ils disaient. Je descendis donc à la cave pendant que ces messieurs se prélassaient au soleil. Yvan dormait du moins je le croyais. J'allais remonter sans le réveiller lorsqu'il m'interpella.
- Attends, reste un peu.
- Oui, j'ai l'autorisation.
- Tu devrais quitter Yvan, ce genre de relation c'est une drogue.
- Je ne peux pas et je pense que ça me convient.
- Tu es vraiment amoureux ou vraiment tu aimes qu'on te tape dessus.
- J'aime lui obéir.
La conversation à bâtons rompus dura un certain temps. Nous étions de part et d'autre de la porte et pourtant, il y avait chez ce type quelque chose qui me fascinait. J'avais envie de passer mes doigts sur les meurtrissures de son corps.
Vers 17 heures je pense, les bourreaux revinrent. Yvan était vraiment habillé comme tel. Il était torse nu avec une cagoule et les deux autres en uniformes militaires. Ils tirèrent Wilfrid de sa cellule sans prêter attention à moi. Ils l'attachèrent le buste penché et le baillonnèrent encore une fois. Ses jambes étaient retenues par des cordes et ses chevilles aussi. Il allait morfler encore. Je ne comprenais pas pourquoi ils n'utilisaient pas le chevalet mais je sus par la suite que mon Maître voulait le vendre à Jacques que nous avions connu au Keller donc il ne fallait pas prendre le risque de l'abîmer.
- Tu vas recevoir encore la cane. Tu sais qu'on a dit 15 coups par jour.
- Oui Maître.
- Si tu n'arrives pas à supporter, on arrête et demain on recommence 15 coups plus dix plus les 15 de demain alors je te conseille de serrer les dents et de décontracter tes fesses.
- Oui Maître.
- Bourreau c'est à toi.
Yvan choisit une badine plus grosse que celle de la veille. Je l'avais déjà eue et je savais combien elle faisait mal. Il commença. Un, deux, trois, quatre, cinq, six... Wilfrid faillit lui dire stop (le code prévu à l'avance). Slavko lui fit signe de faire une pause et s'approcha du jeune homme.
- On arrête si tu veux mais demain tu ne pourras plus reculer. C'est comme tu veux.
- Non, on continue, répondit-il en sanglots.
Sept, huit, neuf... il criait franchement maintenant. Slavko intervint à nouveau :
- Tu as mal ?
- Heeeee... Oui Maître.
- Tu aimes avoir mal pour ton Maître.
- Oui Maître.
- On continue.
Un temps d'hésitation et :
- Oui Maître.
Yvan repris de plus belle. Les fesses de Wilfrid n'étaient plus rouges, mais bleues et le sang commençait à perler le long de certaines marques. Ca m'épouvanta car je savais que ce genre de correction allait m'arriver un jour ou l'autre.
Dix, onze, douze, treize, quatorze. Je comptais mentalement pour savoir quand le supplice allait s'arrêter. Le quinzième coup fut terrible. On supporte moins bien quand on sait que c'est le dernier. Il hurla et resta immobile en pleurs tandis qu'Yvan nettoyait la badine qui avait pris un peu de sang. Les fesses de Wilfrid étaient littéralement déchirées. Je n'avais jamais rien vu de tel. Il pleurait. Slavko se mit devant lui et ouvrit sa braguette. Son sexe entra dans la bouche du supplicié et il s'appliqua à le satisfaire.
- On va te baiser maintenant. Ca va te récompenser de ton courage.
- Oui Maître, merci Maître.
Je n'en revenais pas de son endurance. Il y a longtemps que j'aurai dit stop à sa place et que j'aurais essayé d'infléchir Yvan. Ce dernier avait ôté sa cagoule et frottait son sexe contre mon visage tandis que, capoté, Christian était dans l'anus de Wilfrid. Il semblait ne plus rien sentir pourtant il poussait de temps à autre de petits gémissements. Le pubis de Christian était maculé d'un peu de sang et la sueur du corps du soumis l'inondait. Il ne pleurait plus, il subissait en essayant de prendre son pied j'imagine. Christian éjacula dans la capote et se retira laissant sa place à Yvan. Celui-ci fut plus doux et s'efforça de donner du plaisir à ce partenaire en si mauvais état. Il ne lâchait pas la queue de son mec et lorsqu'il le pénétra à son tour, il eut comme un soupir de satisfaction. Yvan éjacula dans ma bouche et me dit doucement "avale et nettoie". Slavko continua de baiser son soumis très brutalement jusqu'à ce qu'il se contracte et éjacule en lui.
Ils le laissèrent attaché, les fesses dégoulinantes de sperme, le visage bouffi par les larmes et nous remontâmes dans la maison.
- On viendra te détacher plus tard.
Je préparai le dîner et Slavko vint détacher Wilfrid lorsque je lui apportait son plateau. Je dus remonter avec lui et le laisser manger. Je viendrais chercher le plateau plus tard. Les trois salauds étaient fatigués et désiraient se coucher de bonne heure. Yvan suggéra que je sois enfermé dans la cellule avec Wilfrid. Slavko trouva l'idée géniale. On posa un matelas sur le sol et je dus me coucher là pour la seconde nuit du week end. Je ne dormis pratiquement pas. Je ne discutai pas non plus avec mon co-détenu jusqu'au lendemain matin.
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